Wikipédia:Bons contenus
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![]() Watch Dogs (stylisé WATCH_DOGS) est un jeu vidéo d'action-aventure et d'infiltration développé par les studios Ubisoft Montréal et Ubisoft Reflections, et édité par Ubisoft. Il s'agit du premier volet de la série Watch Dogs. Le jeu est annoncé par Ubisoft lors de sa conférence à l'E3 de . Il sort le sur PC, Xbox 360, PlayStation 3, PlayStation 4 et Xbox One, en sur Wii U, et le sur Google Stadia. Le jeu fait usage de la vue à la troisième personne, et le joueur peut parcourir son univers à pied ou en véhicule. L'histoire se déroule dans une version fictive de la région métropolitaine de Chicago et suit la quête de vengeance d'Aiden Pearce, un hacker qui utilise ses compétences informatiques pour commettre des crimes. Après l'assassinat de sa nièce lors d'un accident de la route, il se transforme en « justicier » qui cherche à venger sa mort. En plus d'armes à feu, Aiden fait usage de son téléphone portable pour exploiter les failles du CTOS, un système informatique centralisé contrôlant tous les appareils technologiques de la ville, et stockant des informations détaillées sur ses habitants. Après son annonce et une démo montrée à l'E3 2012, Watch Dogs provoque l'engouement du public et se fait très attendre. La presse spécialisée fait notamment l'éloge du gameplay, de la conception des missions et du monde ouvert, du système de combat, du piratage et de la variété des missions, mais fustige les problèmes techniques, l'écart de qualité graphique entre la démo et le jeu final, l'intrigue, et le protagoniste. Watch Dogs est un succès commercial, battant le record des ventes du premier jour pour un jeu Ubisoft et devenant le plus grand lancement d'une nouvelle propriété intellectuelle au Royaume-Uni à cette période. Le jeu se vend à plus de 10 millions d'exemplaires. La sortie du jeu est suivie par Watch Dogs 2 en , et par Watch Dogs: Legion en . |
![]() Le Douglas DC-8 est un avion de ligne quadriréacteur à fuselage étroit, moyen et long-courrier, produit entre 1958 et 1972 par la Douglas Aircraft Company, puis par McDonnell Douglas, après la fusion de l'avionneur avec la McDonnell Aircraft Corporation en 1967. Le DC-8 est l'un des tout premiers avions de ligne à réaction et est, avec son concurrent direct, le Boeing 707, l'un des emblèmes de l'ère du jet. Selon les versions et les configurations, la capacité de l'avion varie entre 117 et 259 passagers et son autonomie est comprise entre 5 900 et 10 800 km. Développé en tant que premier avion de ligne à réaction de l'avionneur, le DC-8 est un modèle avec voilure en flèche et des moteurs placés dans des nacelles suspendues sous les ailes. Construit dans l'usine Douglas de Long Beach, en Californie, le prototype effectue son premier vol le ; les compagnies United Airlines et Delta Air Lines mettent simultanément en service le DC-8 le . Par la suite, l'avionneur développe des versions remotorisées, d'autres optimisées pour les vols long-courriers à travers les océans, et certaines avec le fuselage allongé. Selon les versions, les moteurs peuvent être des Pratt & Whitney J57, JT4A, JT3D ou Rolls-Royce Conway ; dans les années 1980, plusieurs appareils voient leurs turboréacteurs d'origine remplacés par des CFM International CFM56, plus puissants et économiques. Le DC-8 rencontre un certain succès commercial, sans toutefois égaler les ventes de son grand rival. Il reste principalement utilisé comme avion de ligne, un certain nombre d'exemplaires étant convertis au fil des années pour le transport de fret. Quelques-uns deviennent des avions de transport gouvernemental, des bancs d'essais volants, des avions privés et des plate-formes de guerre électronique. Au total, il est produit à 556 exemplaires, les derniers étant livrés en 1972 ; les principaux clients sont United Airlines, Air Canada et Japan Airlines avec respectivement 105, 42, et 41 avions réceptionnés. Au fil des années, avec l'arrivée sur le marché d'avions plus récents, plus économiques et à plus grande capacité, les compagnies clientes retirent progressivement les DC-8 qui sont ensuite utilisés par des plus petites compagnies, ou dans des pays en voie de développement. En 1995, il reste 260 appareils en service, puis 233 en 2000. En 2025, un unique appareil est encore utilisé par une organisation humanitaire. | |
![]() L'église de Dalby (en suédois : Dalby kyrka), également connue sous le nom d'église de la Sainte-Croix (Heligkorskyrkan i Dalby), est une église protestante luthérienne située à Dalby, dans la commune de Lund, au cœur du comté de Scanie, en Suède. Érigée dans la seconde moitié du XIe siècle, elle est fondée à l'initiative du roi Sven II de Danemark. Des fouilles archéologiques ont mis au jour des vestiges à l’ouest de l’église, considérés par les chercheurs comme les ruines d'un ancien palais royal ou d'un ensemble ecclésiastique. Au XIIe siècle, l'église est agrandie et une communauté de chanoines s'y développe, formant un monastère. Au siècle suivant, de nouveaux bâtiments sont érigés, dont certains subsistent au nord de l'église. La Réforme et la dissolution du monastère en 1541 entraînent une période d'abandon et de dégradation : l'abside est démolie en 1686 et la partie est s'effondre dans les années 1750. À partir de la fin du XIXe siècle, l'église fait l'objet de recherches archéologiques et de plusieurs campagnes de restauration. Moins de la moitié de la structure originelle de l'église subsiste. L'accès principal se fait par un porche ajouté au XIIIe siècle, et l'édifice est recouvert d'un badigeon blanc, sauf pour certaines parois de la première église. Dans la nef, le pilier sud-ouest présente une niche avec une colonne plus petite, symbolisant Jakin et Boaz, les colonnes légendaires du temple de Salomon. La crypte, inspirée de la cathédrale de Lund, repose sur quatre piliers décorés soutenant des voûtes d'arêtes. L'église de Dalby relève du diocèse de Lund. |
![]() Le Vanneau couronné (Vanellus coronatus) est une espèce d'Oiseaux limicoles appartenant à la famille des Charadriidae et au genre Vanellus. Il est répandu en Afrique de l'Est et en Afrique australe. Décrit par Buffon en 1781, le Vanneau couronné tient son nom du cercle noir et blanc formé par ses plumes autour de sa tête. C'est un Oiseau limicole d'assez grande taille, avec de longues pattes rouge vif, le ventre blanc et des ailes contrastées portant une large bande noire à l'extrémité lorsqu'elles sont déployées. Il est habituellement discret, grâce à son attitude silencieuse et au reste de son plumage de couleur sable qui lui permet de se fondre dans son environnement. Très commun en Afrique du Sud et au Botswana, qui forment le cœur de son aire de répartition, il affectionne les paysages ouverts avec une végétation rase. Il peut changer de zone si l'herbe devient trop haute et préfère les espaces récemment brûlés, voire des parcs en zone urbaine, des terrains de golf ou des aéroports. Hors de la période de reproduction, il est grégaire et forme souvent des groupes de plusieurs dizaines d'individus. Sa période de reproduction s'étend de juin à octobre, pendant le printemps austral. Il ne construit pas de nid mais couve dans une cuvette légèrement creusée au sol et garnie de débris végétaux et de petites pierres. Habituellement silencieux, le Vanneau couronné devient bruyant et agressif si un intrus s'approche du nid et met en place différents comportements pour éloigner les prédateurs, tels que des cris, une attitude menaçante, des attaques en piqué ou une fausse blessure. Pour supporter des chaleurs extrêmes, les parents couvent en étant légèrement surélevés au-dessus de leurs œufs afin de se rafraîchir. Les poussins ne sont pas homéothermes dès la naissance et doivent eux aussi réguler leur température corporelle, en s'abritant à l'ombre ou en haletant. En 2024, l'estimation du nombre de Vanneaux couronnés montre un léger déclin sur les trois dernières générations — soit environ 12 à 13 ans —, mais l'espèce reste très répandue, avec une aire de répartition vaste. Elle est classée comme une espèce de préoccupation mineure par l'Union internationale pour la conservation de la nature. |
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