Billet de 200 euros

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Deux cents euros
Pays officiellement utilisateurs
Valeur 200 
Largeur 153[4] mm
Hauteur 1ère série : 82 mm ; série Europe (2019) : 77 mm
Caractéristiques de sécurité
Type de papier 100 % pure fibre de coton[8]
Années de circulation depuis 2002[2]

Recto

Deux cents euros, Face recto
Design Arche en architecture métallique du XIXe siècle[4]
Créateur Robert Kalina[10]
Date de création 3 décembre 1996[10]

Verso

Deux cents euros, Face verso
Design Pont d'architecture du XIXe siècle en acier et carte de l'Europe[4]
Créateur Robert Kalina[10]
Date de création 3 décembre 1996[10]

Le billet de 200 euros (200 ) est le sixième billet de banque en euro par ordre croissant de valeur. Mis en circulation en 2002, il est utilisé par plus de 340 millions de personnes dans les 22 pays dont l'euro est la monnaie commune (dont 20 pays qui l'ont adopté officiellement).

Par ses dimensions, il est le deuxième des billets en euros et mesure, pour la première série, 153 × 82 millimètres,et pour la seconde série, 153 × 77 millimètres. Il est de couleur jaune. Il représente une arche en architecture métallique du XIXe siècle sur le recto et un pont en acier en architecture du même style entre les XIXe et XXe siècles sur le verso.

Le billet de 200 euros possède de nombreuses caractéristiques de sécurité telles qu'une pastille holographique, un filigrane, de l'encre ultraviolette, des microimpressions, une impression en relief, une fenêtre portrait transparente, etc. qui certifient son authenticité.

Au , il y avait 652 790 496 billets de 200 euros en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 130 558 099 200 [11].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant l'introduction[modifier | modifier le code]

L'euro a été mis en place le [2]. Il devint alors la monnaie de plus de 300 millions de personnes en Europe[2]. Pendant les trois premières années d'existence, l'euro était une monnaie « invisible », uniquement utilisée en comptabilité[2]. L'euro liquide fut officiellement introduit le [12], il remplaça alors les pièces et les billets des monnaies nationales de la zone euro (12 membres à l'époque[1]), à des taux fixes[2]. Cette nouvelle monnaie remplaça alors des monnaies telles que le franc français, le Deutsche Mark, la livre irlandaise[2].

Après l'introduction[modifier | modifier le code]

La période de double-circulation, durant laquelle les billets et pièces des monnaies nationales et de l'euro étaient acceptés, dura deux mois, jusqu'au , date officielle à laquelle les monnaies nationales cessèrent d'avoir un cours légal. Cette date varia cependant de quelques semaines selon les pays[2] : c'est en Allemagne où la monnaie nationale cessa la première d'avoir un cours légal, à la date du . La période de double-circulation y durera cependant également deux mois. Même une fois le cours des anciennes monnaies devenu illégal, ces dernières continuèrent d'être acceptées par les banques centrales durant une période minimale de dix ans, voire sans limite dans le temps, selon les pays[2],[13]. En Belgique, tous les billets émis après 1945 et d'une valeur supérieure à 100 francs belges peuvent être échangés pour une durée illimitée auprès de la banque centrale de ce pays.[réf. nécessaire]

Différentes séries de billets de 200 euros[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Jusqu'au , il n'y a officiellement qu'une seule série de billets de 200 euros, gardant les mêmes signes de sécurité. Leur tirage initial porte la signature du président de la Banque centrale européenne, Wim Duisenberg, remplacé par Jean-Claude Trichet le , lui-même remplacé par Mario Draghi le . Il y a donc trois billets différents de 200 euros avec trois signatures différentes[14], en fonction de leur date d'impression[14]. Toutefois, ils sont tous estampillés 2002, date à laquelle les coupures de la première série ont été introduites.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Le nouveau billet de 200 euros de la série « Europe » a été présenté le et mis en circulation le avec des signes de sécurité renforcés et plus complexes, ce qui rendra la contrefaçon encore plus difficile[15].

Comparaison visuelle[modifier | modifier le code]

Avers du premier billet de 200 .
Revers du premier billet de 200 .
Avers du second billet de 200 .
Revers du second billet de 200 .

Signatures[modifier | modifier le code]

Signatures des présidents de la BCE

Design[modifier | modifier le code]

Billet de 200 euros sous lumière fluorescente (UV-A)
Billet de 200 euros sous lumière UV (Recto)
Recto
Billet de 200 euros sous lumière UV (Verso)
Verso
ensembe de quatre photographies en couleurs
Quatre pastilles holographiques d'un billet de 200 euros sous différentes positions.

Le billet de 200 euros est la deuxième coupure en euro avec la valeur la plus haute, mesurant 153 × 82 millimètres (série 2002) et 153 × 77 millimètres (série 2019). Il est de couleur jaune[4]. Ces billets représentent tous des ponts, arches et portes dans des styles historiques européens différents. Le billet de 200 euros dépeint l'architecture « verre et acier » de la fin du XIXe et du début du XXe siècle[4]. Les dessins initiaux de Robert Kalina devaient représenter des monuments existants, mais pour des raisons politiques, le pont et l'arche sont plus simplement des exemples stylisés de l'ère architecturale romane[16].

Comme sur tous les billets en euro, on peut observer la dénomination de la coupure (200 EURO/ΕΥΡΩ/ЕВРО)[14], le Drapeau de l'Union européenne[14], la signature du président de la Banque centrale européenne (BCE)[14], les initiales de la BCE dans toutes les Langues officielles de l'Union européenne (BCE, ECB, ЕЦБ, EZB, EKP, EKT, ESB, EKB, BĊE et EBC)[14], une carte de l'Europe[14], une représentation des territoires d'outre-mer de l'UE (on peut observer, en bas au centre, les îles Canaries et des territoires français utilisant l'euro)[14] et les étoiles du drapeau de l'UE[14].

Caractéristiques de sécurité[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Les billets de 200 euros sont protégés par une pastille holographique[5], un nombre à couleur changeante[5], une constellation EURion[6], un filigrane[7], des micro-impressions[6], de l'encre ultra-violette[6], une impression en relief[8], un fil de sécurité[7], des micro-perforations[7], un nombre incomplet[7] (visible par transparence), et un numéro de série[14]. Le numéro de série commence par une lettre. Cette lettre correspond à la banque centrale à laquelle les billets sont destinés[14]. Par exemple, un numéro de série commençant par la lettre F, indique que le billet a été destiné et distribué par la banque centrale de Malte, mais ce n'est pas forcément cette dernière qui l'a produit.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Suivant le site de la BCE[17], il y a six signes de sécurité principaux : l’impression en relief (le billet comporte au recto des petites lignes imprimées en relief sur les bordures), le filigrane portrait (par transparence, le portrait d’Europe, une copie du motif principal et la valeur du billet apparaissent à gauche), la fenêtre portrait située dans l’hologramme (devient transparente et fait apparaître un portrait d’Europe sur les deux faces du billet), le nombre émeraude (la valeur passe du vert émeraude au bleu profond) avec de petits symboles de l’euro à l’intérieur, l’hologramme portrait et l’hologramme satellite (en haut de la bande argentée, de petits symboles de l’euro gravitent autour du nombre lors d'une inclinaison).

Identification des billets[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Chaque coupure de 200 euros possède un numéro de série commençant par une lettre qui correspond à la banque centrale à laquelle il est destiné[14]. L'imprimeur est signalé par une lettre dans l'étoile du recto. Cette lettre est suivie par une série de chiffres désignant la matrice utilisée à l'impression puis par un code (une lettre et un chiffre) correspondant à la position du billet sur la planche.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Chaque billet de la deuxième série possède un numéro de série qui commence par deux lettres. La première correspondant à l'imprimeur, dont les codes diffèrent des précédents, en partie inspirés par les anciens codes d'identification de la banque centrale destinataire des billets. La seconde varie séquentiellement en suivant l'alphabet, en parallèle avec la séquence numérique. La mention de la banque centrale destinataire disparaît donc.

Production et stockage des billets[modifier | modifier le code]

En , la Banque centrale européenne (BCE) décide qu’après l'introduction de l’euro, la production des billets en euros sera décentralisée et mise en commun (pooling). Dès lors, depuis 2002, chaque banque centrale nationale de chaque État membre de la zone euro fournit une partie de la production annuelle totale de certains billets. La banque centrale concernée prend en charge les coûts de production au titre de la part qui lui a été dévolue[18].

En , la BCE décide de mettre en place un stock stratégique de l’Eurosystème (c’est-à-dire elle-même et les dix‑sept banques centrales nationales de la zone euro). Ce stock est utilisé dans des circonstances exceptionnelles, lorsque les stocks au sein de la zone euro sont insuffisants pour faire face à une hausse inattendue de la demande en billets ou en cas d’interruption inattendue de leur approvisionnement[18]. Les stocks permettent aux banques centrales nationales de gérer à tout moment une variation de la demande de billets. Grâce aux stocks logistiques, il est possible de répondre à leur demande dans des circonstances normales. Ces stocks permettent également de remplacer les coupures impropres à la circulation, de faire face à une progression attendue de leur utilisation, de répondre aux fluctuations saisonnières de leur demande et d’optimiser leur transfert entre les succursales des banques centrales[18].

Émission du billet[modifier | modifier le code]

Légalement, la Banque centrale européenne et les banques nationales de chaque pays membre de la zone euro ont le droit d'émettre les sept coupures en euro différentes. En pratique, seules les banques nationales sont dans la capacité d'émettre ces dernières. La Banque centrale européenne ne possède pas de caisses et n'est engagée dans aucune opération de trésorerie[2].

Circulation[modifier | modifier le code]

Au , il y avait 652 790 496 billets de 200 euros en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 130 558 099 200 [11].

La Banque centrale européenne contrôle constamment la circulation et le stock de pièces et de billets en euro. C'est une tâche effectuée par l'Eurosystème (c’est-à-dire la Banque centrale européenne (BCE) et les dix-sept banques centrales nationales (BCN) de la zone euro) pour assurer un approvisionnement efficace et sans heurts de l'euro et pour en maintenir l'intégrité.

Statistiques[modifier | modifier le code]

La Banque centrale européenne fournit chaque mois des statistiques[11] sur le nombre de billets en circulation.

Il s’agit d’un nombre net, à savoir du nombre de billets émis, diminué de la somme des billets retirés ou rentrés et des billets en dépôt dans les banques nationales de la zone euro.

Les chiffres fournis sont les suivants :

Année Coupures Montant Année Coupures Montant Année Coupures Montant
* 75 421 757 15 084 351 400 2007 155 685 857 31 137 171 400 2013 198 885 476 39 777 095 200
2002 120 848 425 24 169 685 000 2008 170 096 095 34 019 219 000 2014 203 899 589 40 779 917 800
2003 135 427 641 27 085 528 200 2009 178 236 652 35 647 330 400 2015 206 894 602 41 378 920 400
2004 143 140 953 28 628 190 600 2010 180 607 600 36 121 520 000 2016 233 613 819 46 722 763 800
2005 148 773 663 29 754 732 600 2011 181 310 811 36 262 162 200 2017 246 699 262 49 339 852 400
2006 152 824 231 30 564 846 200 2012 184 234 341 36 846 868 200 2018 255 696 896 51 139 379 200
* : au lancement de l'euro fiduciaire ().

Le , une nouvelle série « Europe » a été émise.

Les billets de la première série ont été émis concurremment durant quelques mois avec ceux de la série « Europe » jusqu’à épuisement des stocks existants, puis ils seront progressivement retirés de la circulation. Les deux séries circulent donc parallèlement mais la proportion tendra inévitablement vers une forte diminution de la première série.

Année Coupures Montant Reliquat 1re série Proportion Année Coupures Montant Reliquat 1re série Proportion
2019 412 700 600 82 540 120 000 259 859 053 63,0 % 2020 652 790 496 130 558 099 200 257 177 851 39,4 %

La publication des statistiques les plus significatives du nombre de billets en circulation relevées chaque année est celle du , ce nombre étant le plus élevé de l'année, sauf en 2008 avec 171 129 645 billets en novembre, en 2010 avec 181 858 874 billets en juillet, en 2012 avec 186 993 311 billets en juillet et 2015 avec 207 347 096 billets en juillet.

Les statistiques pour l'ensemble des billets et pour chaque valeur au sont disponibles à la page générale des billets de banque en euros.

Suivi des billets[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs sites web et communautés qui permettent de suivre les billets de banque en euro, de savoir où ils voyagent et où ils ont voyagé[12]. Le site web le plus connu est EuroBillTracker[12]. Le but est d'enregistrer le plus de billets possibles afin de connaître les détails de leur propagation, par exemple d'où et vers où ils se déplacent. Ou encore où un billet a été vu, pour générer des statistiques et des classements, par exemple, dans quels pays il y a le plus de billets[12]. EuroBillTracker en a enregistré plus de 96 millions en [19], soit plus de 1,876 milliard d'euros[19].

Contrefaçon[modifier | modifier le code]

Pour la BCE, les billets en euro sont très difficiles à contrefaire en raison d'un nombre important de signes de sécurité. Cependant, la qualité des planches qui sortent des ateliers clandestins est croissante et les nouvelles technologies permettent de produire plus facilement des faux billets de bonne facture[20],[21]. La coupure de 200  est la quatrième la plus contrefaite. Elle représentait 2 % des billets en euro contrefaits au second semestre 2011, soit 6 200 billets de 200  contrefaits[22]. La BCE et les banques centrales nationales recommandent d'être vigilant, et de reconnaître les faux-billets par la méthode simple de « Toucher-Regarder-Incliner »[22]. Selon l'expert judiciaire Gilles Duteil, ces estimations ne sont pas réalistes et il est « très difficile de déterminer un chiffre réellement significatif »[21].

Pour lutter contre cette contrefaçon, la BCE utilise des techniques de pointe lors de l'impression et un certain nombre de signes de sécurité, signes qui suffisent à dissuader les faux-monnayeurs. Elle dispose d'un centre d'analyse de la contrefaçon, qui coopère étroitement avec Europol[23]. Ce centre analyse les billets contrefaits récupérés par la police, afin de mieux prévenir les futures contrefaçons[23]. La BCE dispose également d'un Groupe de dissuasion de la contrefaçon des banques centrales (CBCDG)[23]. Il a pour mission de dissuader la contrefaçon numérique et, en empêchant la production de faux-billets, de réduire les dommages causés aux particuliers et aux entreprises qui seraient amenés à recevoir de faux-billets[23]. Il utilise des technologies de lutte contre la contrefaçon qui empêchent l’acquisition ou la reproduction, au moyen d’ordinateurs individuels ou d’outils d’imagerie numérique, de l’image d’un billet protégé. Le CBDG a également pour but de prévenir la reproduction non autorisée de billets[23].

Impact environnemental[modifier | modifier le code]

L'UE ayant une politique environnementale très stricte, il est important à ses yeux de réduire le plus possible l'impact environnemental résultant de la fabrication de coupures en euros. La Banque centrale européenne s'efforce donc de faire un usage judicieux des ressources naturelles dans sa fourniture en billets, en gardant la qualité de l'environnement et en garantissant la santé des personnes[24].

Des tests indépendants confirment que les billets en euros sont sains et qu'ils satisfont à tous les critères imposés par l'Union européenne, y compris les critères sur les substances chimiques utilisées[24]. Toutes les substances utilisées dans les billets sont dans une concentration en dessous des limites autorisées[24].

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Carte interactive.
  2. a b c d e f g h i et j BCE : Introduction - L'utilisation de l'euro.
  3. a b c d et e [1].
  4. a b c et d BCE : les signes de sécurité Incliner..
  5. a b c d e et f BCE : signes de sécurité supplémentaires..
  6. a b c d e f g et h BCE : les signes de sécurité Regarder..
  7. a b et c « BCE : les signes de sécurité Toucher. », sur Banque centrale européenne, Banque centrale européenne, (consulté le ).
  8. « BCE : caractéristiques de sécurité. », sur Banque centrale européenne, Banque centrale européenne, (consulté le ).
  9. a b c et d BCE : Concours graphique organisé en vue de la première série de billets en euros.
  10. a b et c (en) « Banknotes and coins circulation », sur ecb.europa.eu (consulté le ).
  11. a b c et d Girolami, Johansson et Schilde 2002.
  12. Banque d'Italie - avril 2011.
  13. a b c d e f g h i j k et l BCE - Les billets.
  14. « Monnaie. De nouveaux billets de 100 et 200 euros à partir de mai 2019 », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  15. BBC News - décembre 1996.
  16. « Les coupures », sur le site de la Banque centrale européenne, (consulté le ).
  17. a b et c BCE - production et stocks.
  18. a et b Girolami, Johansson et Schilde - 2002, section Statistique.
  19. Christophe Cornevin, « La France cultive la tradition du faux-monnayage », Le Figaro,‎ .
  20. a et b Céline Rastello, « Faux billets : la France, un pays de faussaires », sur le site du magazine L'Obs, .
  21. a et b BCE - 16 janvier 2012, Information sur la contrefaçon.
  22. a b c d et e BCE, Lutte contre la contrefaçon.
  23. a b et c BCE - 20 décembre 2007.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Olivier Fournier et Michel Prieur, Euro 3, Monnaies et Billets (1999-2006), Paris, Les chevau-légers, , 284 p. (ISBN 2-903629-80-3)
  • L'avènement de l'euro, notre monnaie, Banque centrale européenne, (lire en ligne)
  • Antti Heinonen, The first euros (the creation and issue of the first euro banknotes and the road to the Europa series), Banque centrale européenne, , 271 p. (ISBN 978-92-899-1508-3, lire en ligne)

Conventions monétaires et législation[modifier | modifier le code]

  • Convention monétaire entre le gouvernement de la République française et le gouvernement de Son Altesse sérénissime le prince de Monaco, JOUE, , 15 p. (lire en ligne)
  • Convention monétaire entre la République italienne, au nom de la Communauté européenne, et la République de Saint-Marin, JOUE, , 4 p. (lire en ligne)
  • Convention monétaire entre la République italienne, au nom de la Communauté européenne, et l'État de la Cité du Vatican, représenté par le Saint-Siège, , 4 p. (lire en ligne)
  • (en) Implementing UNMIK Regulation n° 1999/4 of 2 september 1999 on the currency permitted to be used in Kosovo, Unmikonline.org, (lire en ligne)

Sites officiels[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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