Framecourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Framecourt
Framecourt
L'église.
Blason de Framecourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Claude Devaux
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62352
Démographie
Gentilé Framecourtois
Population
municipale
112 hab. (2021 en augmentation de 9,8 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 47″ nord, 2° 18′ 27″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 150 m
Superficie 2,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Framecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Framecourt
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Framecourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Framecourt

Framecourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Framecourtois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Framecourt est une commune de l'Artois située à mi-distance de Frévent et Saint-Pol-sur-Ternoise.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Framecourt
Hautecloque
Écoivres Framecourt
Nuncq-Hautecôte Sibiville

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 898 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[8].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espèces faunistiques et floristiques recensées[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 24 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont treize protégées et une menacées[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Framecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,9 %), prairies (23,9 %), zones urbanisées (9,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 102 E1, D 103 et D 916 reliant Doullens et Saint-Pol-sur-Ternoise[17].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 8 km au sud de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, située sur les lignes de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples et d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wulfrancourt en 1079 ; Wlfrancourt en 1120 ; Wulframecurt en 1084 ; Wulfrancourt vers 1112 ; Auframacourt en 1183 ; Offrenmecort, Offremmecort au XIIe siècle ; Offramecort en 1218 ; Framecourt en 1341 ; Framiecourt en 1534[19] ; Framecourt depuis 1793 et 1801[20].

D'un nom de personne germanique Wolfhramnus + cortem[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Framecourt a donné son nom à une famille noble dont plusieurs membres sont cités dans les anciennes chartes.

Le chevalier Acard (seigneur de Framecourt et de Sains-les-Hauteclocque ?) fils de Jean (bienfaiteur de l'Abbaye Sainte-Berthe de Blangy-sur-Ternoise), est cité dans une charte de Gérard, évêque de Thérouanne en 1084 [22]. Il donna son habitation à Sains et le quart du village pour obtenir l’établissement d’un prieuré de Bénédictins[23] sous l'élection de l'abbaye Saint-Sauveur de Ham-les-Lillers.

Jean de Framecourt, écuyer, seigneur de Framecourt et Rebreuves, épousa Anne de Ricametz (vers 1350). Son fils Pierre joint à son blason paternel (« De gueules au chef d'argent ») celui de la famille de sa mère [24]. Les armoiries de Framecourt deviennent : « De gueules au chef d'argent, écartelé de gueules à 3 coquilles d'or »[24].

En 1469, il y avait 13 feux. Framecourt eût sa part de désastres. Pierre de Saissy, receveur des exploits du comté de Saint-Pol constate en 1474 qu'il n'y demeure personne et que les habitants se sont retirés sur le comté[22].

En juillet 1604, est délivrée une sentence de noblesse pour Jean Debruyn, seigneur de Framecourt, « débile d'entendement », marié à Péronne De Brandt. Ses armes sont : « De gueules, à 3 écussons d'argent 2 et 1 »[25].

Le prieuré de bénédictins avait la seigneurie vicomtière de Framecourt, relevant de la sénéchaussée de Saint-Pol et donnant droit de haute, moyenne et basse justice [22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[20].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[26] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27]. À l'initiative des intercommunalités concernées[28], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[29] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [30],[31].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [32].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Framecourt.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2021 M. Claude Devaux PRG puis MRSL Ancien proviseur de lycée
Commandeur dans l’ordre des Palmes académiques[33]
Président de la Ligue des droits de l’Homme du Ternois[23]
Réélu pour le mandat 2014-2020[34],[35],[36]
8 avril 2021 En cours
(au 6 mars 2022)
Jérôme Grare   Professeur, profession scientifique[37],[38],[39]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 48) qui regroupe Nuncq-Hautecôte, Framecourt et Hautecloque, et qui comporte cinq classes, dont une maternelle, avec cantine et garderie[40],[41].

Équipements communaux[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 1997 d'une salle communale, régulièrement utilisée pour les activités sportives et culturelles du RPI et par les manifestations du Comité des fêtes[40].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[42].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Framecourtois[43].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

En 2021, la commune comptait 112 habitants[Note 4], en augmentation de 9,8 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
168166145151161165156157153
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
145148147146143135142137122
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11812713213410810491108103
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
10311792110117113124101105
2021 - - - - - - - -
112--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 50 hommes pour 56 femmes, soit un taux de 52,83 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,6 
10,0 
75-89 ans
9,1 
20,0 
60-74 ans
20,0 
14,0 
45-59 ans
14,5 
24,0 
30-44 ans
20,0 
14,0 
15-29 ans
7,3 
18,0 
0-14 ans
25,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • Le prieuré Saint-Wulfran de Framecourt, qui dépendait en 1746 de l'abbaye Saint-Sauveur de Ham-en-Artois[50]. Le prieuré fut fondé au XIe siècle à la suite d'une donation du chevalier Acard de Framicourt.
  • L'église Saint-Vulgan[51] est placée sous le vocable de Saint Wulfran et dédiée à Notre-dame du Mont Carmel, brûlée sous le règne de Louis XV et reconstruite. Son chœur a une voûte de style ogival avec une retombée des arceaux reposant sur des consoles. Une clef de voûte porte la date de 1685[23]. Elle héberge deux éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, inscrits au titre d'objet des monuments historiques[52].
  • L'arbre de la liberté, commémorant la Révolution française planté le 14 juillet 2015[23].
  • La commune de Framecourt ne possède pas de monument aux morts. Les morts de la commune sont inscrits sur le monument de Hautecloque[53].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Framecourt Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à la coquille d'or, aux 2e et 3e d'or plain[54].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Données de la commune », sur le site du Sandre (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Framecourt et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  18. « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  20. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  22. a b et c Commission départementale des Monuments Historiques, Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais - Arrondissement de Saint-Pol, Arras, , Tome III - pages 74 à 79.
  23. a b c et d Anthony Hoyer, « Un petit village à la riche histoire », L'Abeille de la Ternoise, nos 8581-1629,‎ , p. 19.
  24. a et b Casimir de Sars de Salmon, Recueil de généalogies, fragments, notes et épitaphes des provinces du Nord, Volume 5 page 2010 - Volume 11 pages 449 et 450 - Volume 12 pages 507 et 508.
  25. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 20, lire en ligne.
  26. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  28. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  30. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  31. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  32. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  33. Alexis de Groote, « Framecourt : la plus haute distinction de l’Éducation nationale décernée à Claude Devaux! : Samedi après-midi, Claude Devaux a été élevé au grade de commandeur dans l’ordre des Palmes académiques. « Le plus haut grade de l’Éducation nationale », a rappelé le sénateur Jean-Claude Leroy. Une distinction qui vient mettre un coup de projecteur sur une carrière exemplaire mais aussi des engagements multiples… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Aline Chartrel, « Un mandat abouti pour le maire de Framecourt, même si «on constate une baisse régulière de l’engagement de l’État» : Claude Devaux en est à son troisième mandat de maire, et siège au conseil municipal depuis 1989. Impliqué jusqu’au bout des ongles dans l’association Sillons de culture qu’il préside, il a par ailleurs mené ces dernières années une série d’investissements dans la commune, tambour battant. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. Aline Chartrel, « Framecourt – « Nous pouvons faire des travaux annuels pour environ 35 000€ » : Nouveau et dernier mandat pour Claude Devaux. Un exercice a priori sans surprise puisque, rigueur d’ancien proviseur exige, le maire a déjà planifié l’ensemble de ses travaux pour les trois ans à venir. Le tout avec une capacité d’autofinancement mesurée et sans augmenter les impôts. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. David Derrieux, « Framecourt : Jérôme Grare élu maire à la suite de Claude Devaux », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  40. a et b Anthony Hoyer, « Ecole et salle communale », L'Abeille de la Ternoise, nos 8581-1629,‎ , p. 19.
  41. « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  42. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  43. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Framecourt (62352) », (consulté le ).
  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  49. « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  50. Tableau général numérique par fonds des archives départementales antérieures à 1790,Impr. Nationale, 1848,[1]
  51. « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  52. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
  53. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  54. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).