Écourt-Saint-Quentin
Écourt-Saint-Quentin | |||||
Une entrée de la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CA Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat |
Stéphane Tonelle 2020-2026 |
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Code postal | 62860 | ||||
Code commune | 62284 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Écourtois | ||||
Population municipale |
1 691 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 178 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 15′ 04″ nord, 3° 04′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 35 m Max. 73 m |
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Superficie | 9,49 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ecourt-saint-quentin.fr | ||||
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Écourt-Saint-Quentin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Écourtois.
La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 651 habitants en 2021.
Géographie
Localisation
La commune, limitrophe du département du Nord, se situe à 24 km à l'est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Douai.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes, dont trois dans le département du Nord :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 9,49 km2 ; son altitude varie de 35 à 73 m[1].
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par six cours d'eau :
- la rivière la Sensée, d'une longueur de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[3] ;
- l'Agache, d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune d'Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune de Palluel[4] ;
- la rivière de la Sensée, d'une longueur de 9,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Étaing et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Arleux[5] ;
- l'Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin, d'une longueur de 6,33 km, qui prend sa source dans la commune de Saudemont et se jette dans l'Agache au niveau de la commune[6] ;
- le canal Malderrez, d'une longueur de 2,65 km, qui prend sa source dans la commune d'Arleux et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[7] ;
- l'Auberge Rouge, d'une longueur de 0,42 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[8].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
Écourt-Saint-Quentin est une halte verte au cœur de la vallée de la Sensée.
Espace protégé et géré
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le marais de Rumaucourt, d’une superficie de 61,544 ha, terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 ha constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles[17].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 km depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[18].
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Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Écourt-Saint-Quentin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[20]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,5 %), eaux continentales[Note 5] (10,9 %), zones urbanisées (9 %), zones humides intérieures (5,8 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 19 et D 13 et est située à 10 km, au nord, de la sortie no 8 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[24].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 10 km, à l'ouest, de la gare d'Aubigny-au-Bac , située sur la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, desservie par des trains TER Hauts-de-France[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ahilcurt en 1081 ; Haicort en 1115 ; Hicort en 1186 ; Hailcort en 1125 ; Hailcurth en 1145 ; Hailcurt en 1152 ; Ailcurt en 1167 ; Aicort en 1171 ; Ailcort en 1178 ; Aicurt en 1186 ; Aycourt en 1276 ; Escourt au XIIIe siècle ; Écou-Saint-Quentin en 1559 ; Escou-Saint-Quentin en 1720 ; Aycourt-Saint-Quentin au XVIIIe siècle ; Écourt-le-Long en 1793[26], Ecourt Saint Quentin en 1793 ; Ecourt-Saint-Quentin et Écourt-Saint-Quentin depuis 1801[1].
Histoire
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].
Commune et intercommunalités
Écourt-Saint-Quentin était membre de la communauté de communes de Marquion, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [27], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marquion[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bapaume
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Équipements et services publics
Espaces publics
La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[32], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre une école maternelle et une école élémentaire[33].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[34].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Écourtois[35].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 1 691 habitants[Note 7], en évolution de +0,77 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 811 hommes pour 868 femmes, soit un taux de 51,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Quentin transformée en style néogothique par Charles Leroy, l'architecte de la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille de Lille. On peut y voir la sculpture bois du supplice de Saint Quentin, datant de la première moitié du XVIIe siècle, classée au titre d'objet des monuments historiques depuis le [41], et un reliquaire.
- Le monument aux morts[42].
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L'église.
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Le clocher de l'église Saint-Quentin.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Parmentier (1907-1977), footballeur et entraîneur, mort dans la commune.
Héraldique
Blason | Parti: au 1er de gueules au buste de saint Quentin d'argent, les épaules percées par deux clous du même, au 2e d'or au rais d'escarboucle de sable percée de gueules[43].
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Détails | Le premier du parti est au buste du saint patron, Quentin, et le second du parti est aux armes de l'abbaye de Marchiennes. Adopté par la municipalité en 1981. |
Pour approfondir
Bibliographie
Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[44] :
- G. Bacot, Écourt-Saint-Quentin dans la vallée de la Sensée, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2004.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Écourt-Saint-Quentin » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- L'école primaire de la commune portera le nom de cette maire à partir du 1er juillet 2021
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Agache (E1560840) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière de la Sensée (E1560610) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin (E1560900) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal Malderrez (E1560820) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - l'Auberge Rouge (E1561150) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Écourt-Saint-Quentin et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Espace protégé FR4506008 - marais de Rumaucourt », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007251 - marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
- C.L.C., « Écourt-Saint-Quentin : l’école maternelle porte le nom de Marie Mathon : Ouverte en 1977, l’école maternelle de la commune n’avait curieusement jamais été baptisée. Un oubli réparé. Jeudi, elle a reçu le nom de celle qui en fut la première directrice jusqu’en 2000, Marie Mathon, « reconnaissante » de cet honneur. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Écourt-Saint-Quentin : Stéphane Tonelle, nouveau maire, veut « redynamiser le village » : Edmond Gazel, maire sortant qui ne se représentait pas après trois mandats, a rapidement laissé la place au nouveau conseil. Stéphane Tonelle est le nouveau maire de ce village de près de 1 800 habitants », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Julien Lechevestrier, « Écourt-Saint-Quentin (les projets des maires): « le dossier de la vitesse en ville et bientôt une première aire de jeux » : Stéphane Tonelle est maire d’Écourt-Saint-Quentin depuis mars. Cet Écourtois de toujours, policier à Arras dans la vie professionnelle, veut redynamiser son village et renforcer la cohésion sociale », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Bourgois, « À Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle prend goût à la fonction de maire : Élu d’une courte tête en 2014, le maire d’Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle, briguera un deuxième mandat en mars. Il se dit satisfait de la première expérience de son équipe », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- C. L. C, « Avec Haucourt et Écourt-Saint-Quentin, les villages patrimoine d’Osartis-Marquion passent à cinq », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « Annuaire des établissements de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écourt-Saint-Quentin (62284) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « sculpture », notice no PM62000594, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62284 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune d'Écourt-Saint-Quentin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).