Saint-Hilaire-Cottes
Saint-Hilaire-Cottes | |||||
L'église Saint-Omer de Cottes. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Freddy Defebvin 2020-2026 |
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Code postal | 62120 | ||||
Code commune | 62750 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cottihilariens, Saint-Hilairois | ||||
Population municipale |
823 hab. (2022 ![]() |
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Densité | 114 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 34′ 20″ nord, 2° 24′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 102 m |
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Superficie | 7,24 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Norrent-Fontes (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aire-sur-la-Lys | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Saint-Hilaire-Cottes est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Cottihilariens ou Saint-Hilairois. La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
La commune possède deux églises issues du regroupement de Sainte-Hilaire et de Cottes entre 1790-1794.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le centre-est du département du Pas-de-Calais, Saint-Hilaire-Cottes est un bourg rural situé, à vol d'oiseau, à 16 km au nord-ouest de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement)[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Auchy-au-Bois, Bourecq, Lespesses, Lières, Norrent-Fontes et Rely.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 7,24 km2 ; son altitude varie de 24 à 102 mètres[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[3], est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par trois cours d'eau :
- un cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu, d'une longueur de 24,99 km qui prend sa source dans la commune de Busnes et termine sa course au niveau de la commune de Guarbecque[4] ;
- le Ravin de la Méroise, d'une longueur de 9,32 km, qui prend sa source dans la commune de Febvin-Palfart et se jette dans la Nave au niveau de la commune de Lespesses[5] ;
- le ruisseau le Warrenghem, d'une longueur de 2,61 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans un cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu au niveau de la commune d'Ham-en-Artois[6].

Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,2 | 1,8 | 3,1 | 4,8 | 8,1 | 11 | 12,8 | 12,9 | 10,3 | 8,3 | 5,4 | 2,9 | 7 |
Température moyenne (°C) | 4,7 | 4,8 | 7,2 | 10,2 | 13,1 | 16,1 | 18,2 | 18,2 | 15,5 | 12,1 | 8,2 | 5,4 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,2 | 7,8 | 11,3 | 15,7 | 18,2 | 21,3 | 23,6 | 23,4 | 20,7 | 15,9 | 11 | 7,8 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,5 25.01.13 |
−16,3 04.02.12 |
−10,3 13.03.13 |
−5,4 08.04.03 |
−1 14.05.10 |
1,9 01.06.11 |
4 03.07.11 |
5,4 31.08.11 |
0,6 30.09.18 |
−4,5 28.10.03 |
−5,3 30.11.16 |
−11,3 18.12.10 |
−16,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,9 01.01.22 |
18,8 24.02.21 |
24,8 31.03.21 |
27,3 20.04.18 |
32 27.05.05 |
34,1 29.06.19 |
41 25.07.19 |
37,5 06.08.03 |
34,3 09.09.23 |
29 01.10.11 |
20,7 07.11.15 |
16,5 30.12.22 |
41 2019 |
Précipitations (mm) | 60,2 | 51,3 | 46,5 | 44,1 | 57,5 | 60 | 65,4 | 69,6 | 59,6 | 67,3 | 73,6 | 76,4 | 731,5 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Hilaire-Cottes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Norrent-Fontes[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[Insee 2],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[Insee 3],[Insee 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), zones urbanisées (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), prairies (5,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie
[modifier | modifier le code]Saint-Hilaire-Cottes
[modifier | modifier le code]Saint- Hilaire absorbe Cottes entre 1790-1794[2].
La localité prend le nom de Saint Hilaire en 1793 ; Saint-Hilaire et Saint-Hilaire-Cottes depuis 1801[2]
Saint-Hilaire
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Hilarius en 1184 ; Sanctus Hylarius en 1201 ; Mons Sanctus Hilarius en 1210 ; Sanctus Ylarius en 1316 ; Saint-Ylaire en 1400 ; Sanctus Hilarius Ariensis vers 1512 ; Saint Hilaire au XVIIIe siècle[16].
Saint Hilaire est un hagiotoponyme.
Cottes
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Cotenez vers 1149 ; Cothenes en 1187 ; Cotenes en 1209 ; Cautenes en 1269 ; Cote au XIIIe siècle ; Cautenez au XIVe siècle ; Cottenes-Saint-Hilaire en 1720 ; Cottes en 1780[17].
Cottes est une section de Saint-Hilaire[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1115, Eustache de Souys, en latin Eustatius de Sauuye, seigneur de Le Souys (sur la commune actuelle de Saint-Hilaire-Cottes), fait partie de l'entourage du seigneur de Lillers[19].
Cottenes était, avant la Révolution française, le siège d'une seigneurie. La terre de Cottenes a été érigée en marquisat, donnant droit au titre de marquis à son possesseur en février 1700 par lettres données à Versailles. Elle relève en partie de la terre et châtellenie de Lillers. Elle possède la justice vicomtière ou moyenne justice (voir justice seigneuriale), et un ancien château bâti en forme de forteresse, composé d'une grande et grosse tour de pierres blanches surmontée et flanquée d'autres tours moins élevées, et un autre grand château bâti à la moderne avec terres, prés, droits honorifiques, rentes seigneuriales en argent, graines et volailles, et soixante-et-un fiefs et seigneuries qui en relèvent[20].
Adrien de Melun (Maison de Melun), seigneur de Saint-Hilaire, Hérin, Worcourt, Bresse, reçoit des lettres de chevalerie données à Bruxelles le 11 janvier 1620. Il est le fils unique du sieur de Cottes et petit-neveu du seigneur de Marles, chef des domaines et des finances. Il reçoit ces lettres en récompense de la bonne relation qui a été faite de sa personne et à cause des services rendus par ses prédécesseurs, notamment son grand-père et son aïeul, qui furent gouverneurs et capitaines de la ville de Béthune et honorés du titre de chevaliers[21].
Adrien Frédéric de Melun bénéficie en 1700 du titre de marquis pour sa seigneurie de Cottenes. D'abord page auprès du roi, il a servi ensuite dans une compagnie de mousquetaires pendant plusieurs années. Il possède plusieurs terres et près de 20 000 livres de rente, a droit d'entrée aux États d'Artois et appartient à l'ancienne maison de Melun, une des plus honorées du pays. L'aïeul et le père du seigneur de Cottens ont quitté le service d'Espagne pour celui de France où ils ont donné des marques de leur valeur[22].
D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Saint-Hilaire, en 1789, faisait partie du bailliage de Lillers et suivait la coutume d'Artois. Son église paroissiale, d'abord diocèse de Thérouanne, puis de Saint-Omer, doyenné d'Aire, était consacrée à saint Hilaire ; l'abbé de Ham-lez-Lillers présentait à la cure[23]. »
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais[Insee 5].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et totalise 275 327 habitants en 2021[Insee 5].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Aire-sur-la-Lys[Insee 5].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais[24].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Cottihilariens ou Saint-Hilairois[29].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2022, la commune comptait 823 habitants[Note 5], en évolution de +1,73 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 372 hommes pour 434 femmes, soit un taux de 53,85 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Hilaire de Saint-Hilaire du XVIIIe siècle.
- L'église Saint-Omer de Cottes du XVe siècle, ancienne chapelle du château.
- La chapelle Notre-Dame-Immaculée-Conception de 1884 dans le mur d'enceinte du château.
- Le monument aux morts[34].
- Au cimetière, deux tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
- La statue du Sacré-Cœur.
- Le calvaire de Saint-Hilaire et le calvaire de Cottes.
-
L'église Saint-Hilaire de Saint-Hilaire.
-
L'église Saint-Omer de Cottes.
-
Le monument aux morts.
-
La chapelle N.-D.-d'Immaculée-Conception.
-
Le calvaire de Saint-Hilaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]![]() |
Blason | Parti : au 1er vairé d'argent et de gueules, au 2e d'argent à deux fasces bretessées de gueules[35]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Dossier de la commune sur la base nationale sur les intercommunalités (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 7], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- ↑ Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Norrent-Fontes comprend deux villes-centres (Norrent-Fontes et Saint-Hilaire-Cottes) et une commune de banlieue.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
[modifier | modifier le code]- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Norrent-Fontes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Hilaire-Cottes (62750) », (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- ↑ « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu (E3639999) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin de la Méroise (E3640700) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau le Warrenghem (E3631010) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Saint-Hilaire-Cottes et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Hilaire-Cottes ».
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- ↑ Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 109.
- ↑ Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 109.
- ↑ P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 985-86, lire en ligne.
- ↑ Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 66, lire en ligne.
- ↑ Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 29, lire en ligne.
- ↑ Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 66, lire en ligne.
- ↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Saint-Hialire-Cottes : Philippe Cauwet, élu dès le premier tour, repart pour six ans », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ Armorial de France, p. 11431