Aller au contenu

Fresnicourt-le-Dolmen

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fresnicourt-le-Dolmen
Fresnicourt-le-Dolmen
L'Église.
Blason de Fresnicourt-le-Dolmen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Dany Clairet
2020-2026
Code postal 62150
Code commune 62356
Démographie
Gentilé Fresnicourtois
Population
municipale
802 hab. (2021 en évolution de +5,8 % par rapport à 2015)
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 08″ nord, 2° 36′ 02″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 186 m
Superficie 7,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bruay-la-Buissière
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fresnicourt-le-Dolmen
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fresnicourt-le-Dolmen
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Fresnicourt-le-Dolmen
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Fresnicourt-le-Dolmen

Fresnicourt-le-Dolmen [fʁɛnikuʁ lə dɔlmɛn] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fresnicourtois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Fresnicourt-le-Dolmen est une commune rurale de l'Artois, localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais. Elle se situe à 6 km au sud d'Houdain, 10 km au nord d'Aubigny-en-Artois, 16 km au sud de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement) et 21 km au nord d'Arras.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes. Les communes limitrophes sont Barlin, Maisnil-lès-Ruitz, Rebreuve-Ranchicourt, Servins, Estrée-Cauchy, Gauchin-Légal et Hersin-Coupigny.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 7,95 km2 ; son altitude varie de 77 à 186 m[1].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Brette, cours d'eau d'une longueur de 7,32 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lawe au niveau de la commune d'Houdain[3], et le ruisseau de Caucourt, d'une longueur de 4,66 km, qui prend sa source dans la commune de Caucourt, se jette dans la Brette au niveau de la commune[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Fresnicourt-le-Dolmen[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le coteau et la forêt domaniale d'Olhain. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[11].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques

[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 801 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 83 protégées et 36 menacées[12].

Au , Fresnicourt-le-Dolmen est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,9 %), forêts (29,9 %), prairies (11,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,3 %), zones urbanisées (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]
Fresnicourt, hameau de Verdrel.

Sur le territoire de la commune se trouvent deux hameaux : Olhain et Verdrel.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Voies de communication

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 57, D 57 E2 et D 301 appelée rocade minière[18].

Transport ferroviaire

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 9 km, au nord de la gare d'Aubigny-en-Artois, située sur la ligne d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, et à 16 km, au sud, de la gare de Béthune, située sur les lignes d'Arras à Dunkerque-Locale et de Fives à Abbeville, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[19].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Friscini curtis en 680 ; Frescicort en 1141 ; Fresini curtis de 1154 à 1159 ; Fresincurt de 1168 à 1169 ; Frisincurt en 1171 ; Fresincourt en 1191 ; Fressincort en 1214 ; Fresincort en 1222 ; Frisincort en 1235 ; Fresnecourt en 1295 ; Freniecourt en 1298 ; Fraisnecourt au XIIIe siècle ; Fressincourt au XIVe siècle ; Frenicourt en 1507[20] ; Frenicourt en 1793 ; Fresnicourt en 1801 et Fresnicourt-le-Dolmen depuis le décret du [1].

Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes stationnent à Fresnicourt située en arrière du front de l'Artois du au . Le , ont lieu sur la commune une revue des troupes et une remise de croix de la Légion d'honneur[21].

En janvier 1915 déjà, d'autres soldats avaient pris leur cantonnement sur Ohlain, dépendant de Fresnicourt[22]. D'autres y cantonnent en avril 1915[23]. En mai 1915, Ohlain et le hameau de Verdrel accueillent également des soldats relevés du front, mis au repos[24]. De nouveau en août, des soldats viennent récupérer sur Verdrel[25], ou encore en octobre 1915 et à plusieurs reprises postérieures à cette date[26].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités

[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bruay-la-Buissière. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Houdain[1].

Circonscriptions électorales

[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
  • Serge Deprez (PS), maire en 1981 (sources : JO du 15 avril 1981).
Titulaires de la fonction de maire de Fresnicourt-le-DolmenVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Gaston Beltrémieux[27]
( - )
8 ans Section française de l'Internationale ouvrière
Gaston Beltrémieux
( - )
années 1940 Section française de l'Internationale ouvrière
Michel Fréville (d)[28]
( - )
12 ans et 9 mois Parti socialiste
Dany Clairet (d)[29],[30]
(né le )
En cours16 ans et 7 mois

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre l'école primaire « Jean Moulin » en Regroupement pédagogique concentré (RPC) située au hameau de Verdrel[31].

Justice, sécurité, secours et défense

[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Fresnicourtois[33].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 802 habitants[Note 3], en évolution de +5,8 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380370415428446472484518554
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
529558591580543554558532574
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5926226306866335816109011 175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1591 0781 014974907880872855832
2014 2019 2021 - - - - - -
763797802------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 391 hommes pour 394 femmes, soit un taux de 50,19 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,0 
6,3 
75-89 ans
6,0 
17,9 
60-74 ans
21,0 
25,7 
45-59 ans
22,5 
22,2 
30-44 ans
20,0 
11,6 
15-29 ans
13,5 
16,1 
0-14 ans
16,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Monuments historiques

[modifier | modifier le code]
  • Le château d'Olhain est certainement le plus connu des châteaux artésiens. Cette célébrité est largement due à une situation privilégiée au milieu d’un grand étang dans lequel se reflète son pittoresque groupe de tours et de courtines. C’est aussi une des grandes forteresses de l’Artois médiéval, témoignage de la puissance de l'entourage des « grands ducs d'Occident » Car si la famille d'Olhain est citée dès le XIIe siècle, si l’existence du château est attestée dès le début du XIIIe siècle, la construction actuelle est pour l'essentiel l'œuvre de Jean de Nielles, qui épouse Marie d'Olhain à la fin du XIVe siècle.
Le mariage d'Alix de Nielles avec Jean de Berghes, grand veneur de France, fait passer le château dans cette famille, qui le gardera plus de 450 ans. Un moment confisqué par Charles Quint, il a à souffrir des guerres qui ravagent l'Artois : assiégé en 1641 par les Français, il est en partie démoli par les Espagnols en 1654, et enfin bombardé et pris par les Hollandais en 1710. Restauré vers 1830, il est abandonné après 1870, et vendu par le dernier prince de Berghes en 1900. Pendant les deux dernières guerres, l'ensemble du château fut réquisitionné par les troupes françaises, puis canadiennes et britanniques.
Le propriétaire actuel a restauré ce château. Le château d'Olhain, sa tour nord, les bâtiments de la basse-cour ainsi que le sol de la cour du château et de la basse-cour, les douves en eau ou comblées, le pont reliant la basse-cour au château et les deux ponts et voie d'accès au château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [39].

Autres lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Notre-Dame construite fin XIXe siècle, qui fait partie des églises fortifiées du comté d'Artois[41]. L'église héberge treize éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont un est classé[42].
  • L'église Saint-Martin au hameau de Verdrel[41].
  • Le monument aux morts[43].
  • Une étude menée par l'Office national des forêts (ONF) en 2019 sur la forêt domaniale d’Ohlain avec la technologie LIDAR a révélé un site fortifié datant du néolithique. La ceinture de fortification est composée de deux rangs de fossés et d'un talus, mesure 50 m de large. Trois entrées ont été identifiées : deux à l'est et une au sud. Le site remarquable de par la qualité de conservation et malgré les dommages causés par la forêt, d'une superficie de 25 hectares, pourrait recevoir une protection au titre des monuments historiques[44],[45].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Jacques Mellick (1941-), ancien maire (PS) de Béthune, ancien député du Pas-de-Calais et ancien ministre, né dans la commune.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Fresnicourt-le-Dolmen Blason
Écartelé : au 1er de sinople au dolmen d'argent, au 2e d'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur, au 3e d'argent à trois tourteaux de gueules, au 4e de sinople à la croix de pierre d'argent[46].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[47] :

  • Roger Rodière, Une des dernières forteresses féodales du Nord de la France : Olhain (Pas-de-Calais), Arras, Commission départementale des monuments historiques, 1926.
  • Notes historiques sur le vieux Barlin et sur le château d'Olhain, 1947.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Brette (E3660610) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Caucourt (E3660900) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Fresnicourt-le-Dolmen et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013736 - Coteau et forêt domaniale d'Olhain », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Fresnicourt-le-Dolmen ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare de Béthune », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  21. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  27. Yves Le Maner, « Beltrémieux Gaston, Jean-Baptiste, François, Joseph », Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social,  : « Élu maire de Fresnicourt-le-Dolmen le 15 novembre 1904, premier maire socialiste du canton d’Houdain, il était alors l’un des plus jeunes maires de France. Réélu en 1908, il fut battu en 1912, mais resta conseiller municipal. »
  28. Annuaire des mairies du Pas-de-Calais (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 335 p. (ISBN 978-2-35258-162-8), p. 139.Voir et modifier les données sur Wikidata
  29. « Fresnicourt-le-Dolmen : second mandat pour Dany Clairet », La Voix du Nord,
  30. Sarah Binet, « Fresnicourt-le-Dolmen : gérer les petits et gros travaux du quotidien, le défi de Dany Clairet », La Voix du Nord,  : « La commune n’a pas le budget d’une mégalopole… Quatre cent mille euros de fonctionnement, la même somme pour l’investissement. Le maire Dany Clairet doit optimiser au mieux pour assurer les travaux. Et il y a plusieurs chantiers en cours ou dans les cartons. »
  31. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnicourt-le-Dolmen (62356) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. « château d'Olhain », notice no PA00108454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Dolmen La Table des Fées », notice no PA00108284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. a et b « Lieux de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  42. « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  43. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  44. « Pas-de-Calais : Premières fouilles d’une « capsule temporelle » du néolithique », sur 20minutes (consulté le ).
  45. « Un site préhistorique fortifié découvert par hasard dans le Pas-de-Calais », sur LEFigaro (consulté le ).
  46. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  47. « La commune de Fresnicourt-le-Dolmen », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).