Buire-le-Sec
Buire-le-Sec | |||||
![]() La mairie et l'école. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CC des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Quenehen 2020-2026 |
||||
Code postal | 62870 | ||||
Code commune | 62183 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Buirois | ||||
Population municipale |
759 hab. (2020 ![]() |
||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 03″ nord, 1° 49′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 93 m |
||||
Superficie | 13,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier ![]() |
Buire-le-Sec est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Buirois.
La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune se situe à environ 10 km, au sud-est, de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
|
Paysages[modifier | modifier le code]
La commune s'inscrit dans le « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[2].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[3].
Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la basse Vallée de l’Authie et ses versants entre Douriez et l’estuaire. Cette ZNIEFF forme une longue dépression au fond tourbeux et offre plus de 4 000 ha de marais, de prairies humides et d'étangs[4].

Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Buire-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), prairies (13,7 %), zones urbanisées (6,6 %), forêts (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par les routes départementales D 129e2, D 130 et est limitrophe de la D 939 qui relie Arras et Le Touquet-Paris-Plage[11].
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
La commune se trouve à 7 km de la gare de Beaurainville, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[12].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Buyrœ en 1042 ; Buiriœ 1125 ; Buiris en 1104-1124 ; Buries en 1139 ; Burœ 1197 ; Bures XIIe siècle ; Buires en 1203 ; Buriœ en 1239 ; Buires-les-Sekes en 1252 ; Buirez en 1324 ; Buyres en 1477 ; Buir-le-Secq en XVIIIe siècle ; Buire-le-Secq en 1789[13], Buire le Sec en 1793 et Buire-le-Sec depuis 1801[14].
Buire semble reproduire un Buria, formé sur le vieux haut-allemand bûr : « hutte , habitation »[15], du germanique burja, qui signifie « cabane » (puis sans doute hameau).
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[14].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[16].
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[22].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Buirois[23].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2020, la commune comptait 759 habitants[Note 6], en diminution de 4,29 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 372 hommes pour 399 femmes, soit un taux de 51,75 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Monument historique[modifier | modifier le code]
- La motte féodale avec sa basse-cour. Cet édifice fortifié fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [29].
Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Maurice.
- Cette église est en partie du XIIIe siècle (construite sur les fondations de celle élevée au XIIe siècle). Comme beaucoup, elle est en forme de croix latine et bâtie en craie. Elle est assez spacieuse, en voici d'ailleurs les dimensions : 32 mètres de long, dont 19 pour la nef, 6 pour le transept et 7 pour le chœur. La largeur du chœur et de la nef est de 6 mètres, celle du transept 15,50 m en tout.
- La nef est du XVIe siècle. Le porche est vouté sur croisée d'ogives. Le portail en anse de panier sous une archivolte en accolade, surmontée de deux culs de lampe ornés d'anges portant une couronne.
- Le Château de Romont.
- Romont est un lieu-dit situé au nord-ouest de la commune. Le château y fut construit en pierres et en briques au XVIIe siècle et a été ravagé par un incendie en 1931 puis restauré les années suivantes. C'est une propriété privée.
- la mairie.
- Le monument aux morts[30].
-
L'entrée de la mairie.
-
La mairie, l'école et la cantine scolaire.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Armand Nicolas Leroy de Barde (1772-1845), chevalier de l'ordre de Saint-Louis, né à Buire-le-Sec.
- Albéric de Calonne (1843-1915), historien, mort à Buire-le-Sec.
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | D'or à la croix de gueules chargée en cœur d'un alérion du champ[31]. |
---|---|---|
Détails | Adopté par la municipalité en 1995. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Buire-Le-Sec »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Buire-Le-Sec » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013700 - La basse Vallée de l’Authie et ses versants entre Douriez et l’Estuaire », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare de Beaurainville », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 74.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 46.
- « Liste des communes composant le canton d'Auxi-le-Château (6206) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- « Buire-le-Sec : Jean-Paul Grémont succède à Bernard Gillarès à la mairie », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Les projets de Jean-Paul Grémont: trottoirs, aire de jeux, réseau électrique... : Retraité cadre bancaire de 66 ans, Jean-Paul Grémont (SE) entame son premier mandat. Il n’avait jamais siégé au sein d’un conseil municipal jusqu’alors. L’heure de la retraite venue, Jean-Paul Grémont a souhaité renouer avec ses racines et s’est installé dans le village de son enfance. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Buire-le-Sec (62183) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Motte féodale », notice no PA00108242, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).