Brebières
Brebières | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | cc Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat |
Lionel David 2020-2026 |
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Code postal | 62117 | ||||
Code commune | 62173 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brebiérois | ||||
Population municipale |
5 169 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 479 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 20′ 15″ nord, 3° 01′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 48 m |
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Superficie | 10,8 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Brebières (bureau centralisateur) |
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Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.brebieres.fr/ | ||||
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Brebières est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Brebiérois.
La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 651 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Brebières, commune de l'Artois limitrophe du département du Nord, est située à 5 kilomètres au sud-ouest de Douai (aire d'attraction), 18 kilomètres au nord-est d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et à 17 kilomètres au sud-est de Lens.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont deux situées dans le département du Nord :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 10,8 km2 ; son altitude varie de 25 à 48 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- la Scarpe canalisée, d'une longueur de 67 km, qui prend sa source dans la commune d'Arras et se jette dans L'Escaut canalisée au niveau de la commune de Mortagne-du-Nord dans le département du Nord[3] ;
- le Filet de Noyelles, d'une longueur de 4,66 km, qui prend sa source dans la commune de Noyelles-sous-Bellonne et se jette dans la petite Sensée au niveau de la commune de Courchelettes[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]La commune est surtout entourée de zones d'agriculture intensive, et de zones industrielles et urbaines (à l'est). Elle a souffert de lourdes séquelles physiques et environnementales lors des deux guerres mondiales.
La renaturation des friches industrielles et des terrils et des cavaliers miniers situés dans le proche bassin minier sont aussi devenu un atout environnemental, avec notamment l'inscription d'une partie des milieux renaturés dans la trame verte du bassin minier dont le prolongement est le parc de la Deûle et la trame verte de Lille-LMCU qui déclineront ou complèteront localement le Réseau écologique paneuropéen dans le cadre de la trame verte et bleue nationale à la suite du Grenelle de l'environnement.
La commune qui en 2008 disposait d'environ 8 personnes pour la gestion de 40 ha d'espaces verts a depuis l'an 2000 engagé une démarche de gestion différenciée, notamment pour entretenir l'ancienne voie ferrée transformée en coulée verte et améliorer ses fonctions de corridor biologique. On y pratique en particulier le désherbage thermique[11].
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les bassins de Brebières et bois du grand marais. Cette ZNIEFF bénéficie de zones humides et est situé à une altitude de 32 à 35 m). Ces zones humides sont souvent artificielles (bassins de décantation, fossés…) mais néanmoins garnis de vasières et roselières eutrophes abritant une richesse ornithologique. Selon le ministère chargé de l'Environnement, ces sites jouent un rôle important pour le « stationnement migratoire, nidification, hivernage d’Anatidés »[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Brebières est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,1 %), zones urbanisées (17 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), forêts (2,6 %), prairies (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), eaux continentales[Note 6] (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la D 950 (ex-RN 50 qui relie Arras à Douai et la frontière belge.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]La gare de Brebières-Sud, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares : d'Achiet et de Douai ; d'Arras et de Douai ou Lille - Flandres.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La première mention de Brebières est faite dans un document de Charles II le Chauve le .
Le nom de la localité est attesté sous les formes Berbiariæ (871) (Histor. de Fr., t. VIII, p. 634 ; dipl. Caroli Calvi), Berbera (1038), Berbere (1081), Bierberiæ (1096), Berbire (XIIe siècle), Berberia (1208), Breberia (1228), Brebiere (1242), Berbiere (1264), Brebiere (1289), Brebyère (1311), Brebieres lez Douay (1507), Brebierre (XVIIIe siècle)[19], Brébiére (1793) puis Brebières depuis 1801[1].
Pluriel de l'adjectif latin *vervicaria (casa) « cabane à brebis » , qui a donné en ancien français *berchière « bergerie »[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'occupation du lieu par les êtres humains est bien ancienne puisque :
- En 2008, la nouvelle ZAC des Béliers de 60 hectares fait l'objet de fouilles et révèle un important site occupé par des Gaulois et des Celtes. 17 hectares ont été fouillés et trois sites confirment cette présence :
- le premier site révèle trois enclos agricoles d'époque gauloise datant du IIe siècle av. J.-C., composés chacun de cinq bâtiments ;
- le deuxième, un enclos entouré de deux fossés concentriques datant du Ier siècle av. J.-C. Une activité métallurgique est prouvée par des résidus de fonte de fer. On trouve également des perles en pâte de verre, de la céramique et des ossements d'animaux et humains ;
- le troisième site appartient à l'époque celtique, vers le Ve siècle av. J.-C., avec cinq bâtiments et à proximité une concentration de fosse ayant servi à chauffer ou à cuire[21].
- dans les années 1960, un grand village mérovingien a été découvert près de la Scarpe qui traverse le village. De nombreuses céramiques ont été trouvées comme des céramiques sans décor (90 pour cent des céramiques trouvées) sûrement utilisées quotidiennement, des céramiques tournées, des cruches, des bols et des plats[22]. La construction de bâtiments en 2003 a permis de trouver des objets similaires et de terminer de repérer le village.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Brebières était membre de la communauté de communes Osartis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des prescriptions du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [23], cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former la communauté de communes Osartis Marquion, dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Vitry-en-Artois[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Brebières.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais .
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 966 inscrits, dont 2 026 votants (51,08 %), aucun vote blanc et 1 958 suffrages exprimés (96,64 %). Quatre listes s'affrontent au premier tour, et à l'issue de celui-ci, aucun siège n'a été pourvu :
- la liste menée par Jean-Pierre Moreau recueille 411 voix (20,99 %) ;
- la liste étiquetée divers droite menée par Lionel David recueille 486 voix (24,82 %) ;
- la liste étiquetée divers gauche menée par Jocelyne Cieslak recueille 464 voix (23,70 %) ;
- la liste étiquetée divers gauche menée par Nicolas Cicoria recueille 597 voix (30,49 %)[24].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[32].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Brebiérois[33].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2021, la commune comptait 5 169 habitants[Note 7], en évolution de +5,4 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 420 hommes pour 2 663 femmes, soit un taux de 52,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie associative
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une importante vie associative, dans le sport, la chasse, la pêche, l'aide sociale, la mémoire, la culture ainsi que d'autres associations[39].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monument historique
[modifier | modifier le code]- L'ancien château de la Bucquière. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [40].
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Vaast, reconstruite après 1918.
- La gare de Brebières-Sud.
- Le champ d'aviation de la Brayelle
- Le château Pilat
- Le château Prévost
- Le monument aux morts[41].
- Le monument à la mémoire du capitaine Louis Gabriel Madiot, avec la citation suivante : « Ici, le 23 octobre 1910 / Le capitaine L.G. Madiot / trouve la mort dans une chute d'aéroplane / victime de la science / mort pour la Patrie / 1867-1910 »[42].
- Le Brebières British Cemetery au lieu-dit chemin de la Brayette[42].
- Le parc municipal
- Le stade et complexe sportif
-
L'église Saint-Vaast.
-
La gare.
-
Le champ d'aviation.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Joseph Pilat (1735-1809), député suppléant du tiers-état aux États généraux en 1789, né et mort dans la commune.
- Maurice Grossemy, né en 1897 à Gavrelle et mort en 1975 à Brebières, boucher.
- Durant la Première Guerre mondiale, il est porté mort pour la France en 1918 mais retrouvé vivant dans un camp de prisonniers en Pologne, blessé il est pensionné à 100 %. En 1934, il est élu conseiller municipal socialiste de Brebières.
- Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans la résistance française dans le groupe « Voix du Nord », au sein du réseau « CENTURIE ». Arrêté en , il est incarcéré à la prison Saint Gilles de Bruxelles, puis déporté en Allemagne dans les prisons de différentes villes. Le , il est transféré au camp de concentration de Buchenwald puis évacué au camp de concentration de Flossenbürg. Ce camp est évacué en avril et 14 à 15 000 prisonniers partent à pied vers le sud, plus de la moitié seront décimés. Maurice Grossemy est libéré le par les Américains dans la région de Cham.
- De retour de captivité, il est élu de à 1967, conseiller général du canton de Vitry-en-Artois, maire de Brebières en 1947 et réélu en 1953 et 1959, et délégué cantonal de l’Éducation nationale en 1962.
- Il est commandeur dans l'ordre national de la Légion d'honneur et est décoré de la médaille militaire, de la croix de guerre 1914-1918 avec citations, de la croix de guerre 1939-1945, de la médaille de la Résistance française, il est officier d’académie, chevalier du Mérite social et chevalier du Mérite agricole. En 2014, la commune lui rend hommage en posant une stèle à son nom au monument aux morts[43],[44],[45].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à dix losanges d'argent accolées et aboutées, 3, 3, 3 et 1, surmontées d'un label d'azur ; au chef cousu d'azur chargé d'une roue de moulin d'or accostée de deux moutons affrontés d'argent[46].
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Détails | * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules Les deux brebis sont le symbole de l'élevage qui fut la première richesse du village. La roue de moulin est le symbole de la première industrie qui fut ruinée par la Première Guerre mondiale, donnant naissance aux usines actuelles.. Adopté par la municipalité en 1920. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[47] :
- J.-P. Brémard, Brebières et ses environs, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 1999.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Brebières » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Scarpe canalisée (E2--0110) (E2--0110) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Filet de Noyelles (E2250700) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brebières et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Fiche Gestion différentiée de Brebières
- « ZNIEFF 310013748 - bassins de Brebières et bois du grand marais », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Brebières ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 69.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genéve, Droz, (lire en ligne), p. 353.
- La Voix du Nord du 12 avril 2008
- Max Vauthey et Paul Vauthey, « Pierre Demolon, Le village mérovingien des Brebières (VIe – VIIe siècles) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 12, no 3, , p. 327–328 (lire en ligne, consulté le ).
- « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
- « Élections municipales, Brebières », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 30.
- Les maires de Brebières depuis la révolution, site de la mairie
- « Brebières : le 11 septembre 1914, l’étonnante aventure du maire de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas André, « Maurice Grossemy : un Brebiérois mort pour la France... ou pas ? : À l'heure où l'on célèbre le centenaire du déclenchement de la Grande Guerre, et le 70e anniversaire de la Libération, le conseil municipal a désiré se prononcer pour l'inscription du nom de Maurice Grossemy, son ancien maire, sur le monument aux morts. Problème : il est mort en 1975 ! », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Brebières : Maurice Grossemy a traversé deux guerres et marqué l’histoire d’une ville : Dans le cadre de la commémoration de la Grande Guerre, la municipalité de Brebières a choisi de mettre à l’honneur un de ses illustres habitants. Maurice Grossemy, décédé en 1975, a traversé deux guerres mondiales avant d’être élu maire de la commune. Un parcours hors du commun. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 ; Géraldine Szizmadia, « Brebières: Des rues aérées, du logement, un œil sur le site Stora et sur le projet éolien : Parmi les premiers grands projets du mandat de Jean-Pierre Hecquet, le changement du sens de circulation autour de la place des Héros est en cours. Des travaux de voirie et des mesures pour l’économie locale sont également prévus, ainsi que la poursuite des projets immobiliers. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Bourgois, « À Brebières, le début de mandat de maire très « actif » du médecin Lionel David : La nouvelle équipe municipale de Brebières, pilotée par le médecin Lionel David, a entamé son mandat sur les chapeaux de roue avec déjà des projets et des transformations à tous les niveaux. Son ambition : améliorer le cadre de vie et le quotidien des habitants d’ici cinq ans », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Nathalie Labreigne, « À Brebières, le futur maire, Lionel David, dément avoir reçu le soutien du Rassemblement national : Lundi soir, un tweet du Rassemblement national a relancé la polémique sur les liens entre le parti de Marine Le Pen et le futur maire de Brebières. Celui-ci dément avoir mené une liste RN et a demandé le retrait du tweet », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « En 2004, Lionel David avait en effet mené une liste aux régionales en Bretagne sous la bannière du Mouvement national républicain (MNR) de Bruno Mégret. Un passé que le candidat n’a jamais caché mais sur lequel il était resté très discret ».
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brebières (62173) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Les associations sur le site de la commune », sur villedebrebieres.fr (consulté le ).
- « ancien château de la Bucquière », notice no PA00108237, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- La Voix du Nord, « Brebières : Maurice Grossemy a traversé deux guerres et marqué l’histoire d’une ville », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « GROSSEMY Maurice, Henri, Joseph », sur le site Le Maitron (consulté le ).
- « GROSSEMY Maurice KLB 87198 », sur asso-buchenwald-dora.com (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Brebières », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).