Gouy-Servins
Gouy-Servins | |||||
![]() L'église Saint-Roch. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | CA de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Alain Lherbier 2020-2026 |
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Code postal | 62530 | ||||
Code commune | 62380 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Goisais | ||||
Population municipale |
350 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 105 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 14″ nord, 2° 39′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 124 m Max. 171 m |
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Superficie | 3,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bully-les-Mines | ||||
Législatives | 10e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Gouy-Servins est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Goisais.
Elle fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin (CALL) qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Gouy-Servins est une commune rurale située à 18 km à l'est de la commune de Lens (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 3,32 km2 ; son altitude varie de 124 à 171 mètres[1].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique semi continental de type 2 »[Note 1] , selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- le coteau boisé de Camblain-l'Abbé et de Mont-Saint-Eloi. Cette ZNIEFF est composée de bois plus ou moins pentus. Dans le bois d’Écoivres, une couche géologique du Landénien continental affleure au sommet, avec un sol constitué de sables fins et de blocs de grès, grès qui a été exploité dans le bois d’Écoivres[3] ;
- le coteau d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny-Boyeffles et bois de la Haie. Ce site est composé d’une mosaïque de végétations neutrophiles à calcicoles sur un relief fortement marqué par la présence de vastes coteaux crayeux du Sénonien et du Turonien au nord d’Ablain-St-Nazaire[4].

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]
Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 84 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 44 protégées et 23 menacées[5].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Gouy-Servins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,9 %), prairies (8,3 %), zones urbanisées (7,8 %), forêts (4 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par les routes départementales D 57 et D 57 E1 et est située à 8 km au sud-ouest de la sortie no 6.2 de l'autoroute A26, aussi appelée autoroute des Anglais, reliant Calais et Troyes et à la même distance de l'autoroute A21[12].
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
La commune se trouve à 18 km à l'ouest de la gare de Lens, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[13].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Gouy est attesté sous les formes Gois en 1104 ; Gohi en 1200 ; Goi en 1222 ; Goii in Gauheria en 1233 ; Goy en 1249 ; Goy en le Gohere en 1261 ; Goy in Goheria en 1257 ; Goy en le Gohiele en 1273 ; Goys in Goeria en 1300 ; Goy-en-le-Gohelle en 1378 ; Gouy-Servain en 1593 ; Gouy-en-Gohelle au XVIIIe siècle[14]; Gouy en Gohelle en 1793 ; Gouy et Gouy-Servins depuis 1801[1].
Gouy est un type toponymique normanno-picard issu du gallo-roman *GAUDIACU, formé du nom de personne chrétien Gaudius (du latin gaudium, gaudia qui a donné « joie ») et du suffixe marquant la propriété -acum. C'est l'équivalent des formes du français central Jouy, de l'ouest Joué et du sud Gaugeac, Gaujac, etc.[15] Dans le domaine wallo-picard, on trouve également la variante Ghoy.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le , la ville d'Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[16].
Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes ont séjourné sur la commune, à différents moments, par exemple en juin 1915, en fonction des besoins et de l'évolution de la situation sur le front de l'Artois[17].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune de Gouy-Servins se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle se trouve dans l'arrondissement de Lens, depuis 1962, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Béthune[1].
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin, qui rassemble 36 communes, pour une population totale 241 268 habitants en 2019.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune fait partie du canton de Bully-les-Mines. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1991, rattachée au canton de Sains-en-Gohelle[1].
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[24].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Goisais[25].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2020, la commune comptait 350 habitants[Note 6], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 176 hommes pour 168 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Une entreprise, spécialisée dans la conception et la fabrication de pièces en matériaux composites hautes performances, est installée dans la commune depuis 1999. Elle emploie 3 personnes en 2019septembre 2023[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Roch datant du XVIe siècle[31]. Elle héberge neuf éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, inscrits au titre d'objet des monuments historiques[32].
- Le monument aux morts[33].
-
L'église.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blason | Fascé d'or et d'azur de huit pièces; au franc-canton d'azur chargé d'un croissant d'or[34]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- « Gouy-Servins » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Le climat semi-continental de type 2 fait transition entre les climats de montagne et, au nord, le type 3, au sud-ouest, le type 4, au sud-est, le type 8. Il regroupe les périphéries montagnardes et s'étend sur de vastes secteurs en Bourgogne, Lorraine et Alsace où les températures sont moins froides qu'en montagne (elles sont cependant, à altitude égale, plus froides que partout ailleurs), les précipitations légèrement plus faibles et moins fréquentes, mais la variabilité climatique sur la normale 1971-2000 tout aussi élevée. Le faible rapport entre les précipitations d’automne et d’été est une autre caractéristique de ce type(Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013735 - Coteau d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny-Boyeffles et bois de la Haie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare de Lens », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 313a
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Christian Larivière, « Le bilan d’Alain Lherbier, maire de Gouy-Servins : un mandat de respiration pour remettre les finances du village à flot : Se refaire une santé financière, c’était l’objectif du troisième mandat d’Alain Lherbier, maire d’une commune de 320 habitants aux capacités d’investissement limitées. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Gouy-Servins : Alain Lherbier, maire sortant réélu à l’unanimité : La liste, Ensemble continuons, ayant été entièrement élue au 1er tour des élections municipales le dimanche 23 mars, s’est réunie, vendredi soir dernier pour l’élection du maire et des membres du conseil municipal. Alain Lherbier, maire sortant, a été réélu à l’unanimité. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Les projets d’Alain Lherbier, maire de Gouy-Servins : « Fermez une école, vous ouvrirez une salle des associations et une microcrèche » ou Victor Hugo revisité : Après un mandat « de respiration », Alain Lherbier, maire de Gouy-Servins, relance l’investissement. Au menu : une salle des associations et une microcrèche dans l’ancienne école. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gouy-Servins (62380) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
- « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).