Fouquières-lès-Béthune
Fouquières-lès-Béthune | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Sophie Duby 2021-2026 |
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Code postal | 62232 | ||||
Code commune | 62350 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fouquiérois | ||||
Population municipale |
1 124 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 464 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 56″ nord, 2° 36′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 49 m |
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Superficie | 2,42 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Béthune (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nœux-les-Mines | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.fouquieres-lez-bethune.fr/ | ||||
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Fouquières-lès-Béthune est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fouquiérois.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Fouquières-lès-Béthune est un bourg périurbain du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais dans le Pas-de-Calais, limitrophe au sud-ouest de Béthune, et situé à 48,3 km de Lille.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par trois cours d'eau :
- le Fossé d'Avesnes, d'une longueur de 9,41 km, qui prend sa source dans la commune d'Haillicourt et se jette dans la Blanche au niveau de la commune de Béthune[1] ;
- la Blanche, d'une longueur de 4,48 km, qui prend sa source dans la commune de Gosnay et se jette dans la Lawe au niveau de la commune de Béthune[2] ;
- le Château du Prieuré Saint-Pry, d'une longueur de 1,1 km, qui prend sa source dans la commune de Vaudricourt et se jette dans le Fossé d'Avesnes au niveau de la commune[3].
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[4].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
Espèces faunistiques et floristiques recensées[modifier | modifier le code]
Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 65 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont sept protégées et deux menacées[5].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Fouquières-lès-Béthune est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[9] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), zones urbanisées (35,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15 %), prairies (8,4 %), forêts (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
La commune se situe à la jonction de la RD 181 et des RN 41 (RD 941) et RN 43 (RD 943). Elle est desservie par la sortie no 6 de l'autoroute A26, dite l'autoroute des Anglais[15].
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
La commune se trouve à 4 km, au sud-ouest, la gare de Béthune, située sur les lignes d'Arras à Dunkerque-Locale et de Fives à Abbeville, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[16].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Attestations anciennes[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Foscharies en 1104 ; Fuscheriæ en 1110 ; Fuskires en 1143 ; Fucheræ en 1163 ; Foskeres vers 1190 ; Fouskieres en 1215 ; Fouscheires, Foukieres, Fouquieres en 1323 ; Fousquieres en 1329[17]; Foucquieres en 1793 ; Fouquières et Fouquières-lès-Béthune depuis 1801[18].
Étymologie[modifier | modifier le code]
Pluriel de l'équivalent picard, de oïl fouchière « fougère » , attesté sous les formes ferquére, funquière [19].
Histoire[modifier | modifier le code]
Avant la Révolution française, Fouquières est le siège d'une seigneurie[20].
Seigneurs de Fouquières[modifier | modifier le code]
- Édouard Jacques Doresmieux, ancien échevin de Saint-Omer, marié à Catherine Le Roulx achète en 1700 la seigneurie de Fouquières, avec le château de Fouquières, au marquis de Saluces-Bernemicourt.
- Jacques François Doresmieux, fils d'Édouard Jacques, seigneur de Fouquières, vit au XVIIIe siècle et meurt avant 1777. De son vivant, il était député des États d'Artois à la cour de France pour la noblesse[20].
- Jacques Joseph Alexandre Doresmieux de Fouquières, fils de Jacques François, seigneur de Fouquières, obtient le un brevet l'autorisant à décorer ses armes d'une couronne de marquis. Ses frères et sœurs obtiennent le un brevet donné à Versailles les autorisant à agir de même. Sont concernés :
- Alexandre Constant Doresmieux, capitaine des grenadiers au régiment d'Auxerrois
- Jean-Baptiste Joseph Doresmieux, chanoine gradué noble de Saint-Omer
- Alexandre Doresmieux, abbé de l'abbaye du Mont-Saint-Éloi
- Ferdinand Doresmieux, religieux de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer
- Marie Thérèse Primitive, Eugénie Françoise, Marie Albertine Doresmieux[20].
- Alexandre Constant Doresmieux, cité ci-dessus, reprend la seigneurie de Fouquières après la mort de son frère aîné. Il émigre lors de la Révolution française.
La Révolution française met fin à la seigneurie de Fouquières. Les descendants du dernier seigneur vont continuer à gérer le château de Fouquières et vont continuer de jouer un rôle dans le vie de la commune.
La fosse no 11 de la Compagnie des mines de Nœux était un charbonnage constitué d'un seul puits.
- Fouquières-lès-Béthune au tout début du XXe siècle
-
Fosse n°11 et Locomotive à benzine, vers 1925.
-
La Fosse et la Cité no 11 des Mines de Nœux.
À la fin de la Première Guerre mondiale, la commune est décorée de la croix de guerre 1914-1918 le [21].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[18].
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
Fouquières-lès-Béthune était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Béthune, année où elle intègre le nouveau canton de Béthune-Sud[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nœux-les-Mines
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Elle administre l'école primaire Yves Duteil[33],[34].
Santé[modifier | modifier le code]
La commune dispose d'un centre d’action médico-sociale précoce[24] (CAMSP).
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[35].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Fouquiérois[36].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2020, la commune comptait 1 124 habitants[Note 7], en augmentation de 5,74 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 494 hommes pour 551 femmes, soit un taux de 52,73 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par le Sentier de grande randonnée de pays GRP du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
Cultes[modifier | modifier le code]
Un prieuré de l'ordre du Carmel est implanté dans la commune depuis 1922, à l'initiative de René d’Oresmieulx, ancien maire de la commune, à la suite d'un souhait de sa sœur Jeanne[42]. La congrégation des Sœurs de l’Agneau est également présente, mais celle des « Servantes du Sacré-Cœur de Jésus » où œuvraient neuf sœurs polonaises, a quitté la commune en 2019 pour rejoindre le Val-d'Oise[43]. En 2023, le carmel ferme définitvement ses portes[44].
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Site classé[modifier | modifier le code]
Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[45].
Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du : le vieux tilleul dans le cimetière[46].
Monuments historiques[modifier | modifier le code]
- L'ancienne ferme et château de La Gorce (XVIe et XIXe siècles), les façades et les toitures de l'ensemble des bâtiments font l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le [47].
- L'église Saint-Vaast abrite 25 éléments patrimoniaux classés et/ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques[48].
Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Vaast[49],[50]. Elle héberge 25 éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont cinq sont classés[51] ;
- Le monument aux morts[52] ;
- Le château à Mouches, aujourd'hui carmel[53] ;
- Le château Le Roux de Bretagne (XIXe siècle)
- Le château Saint-Pry (de Cormont) (XIXe siècle)[54] ;
- Le château de Fouquières, élevé en 1811 par Augustin-Louis Doresmieulx (?-1822) et Alexandrine de Beaulaincourt de La Beuvrière. Le corps de ferme a été bâti par Céligne Enlart de Guémy (1821-1866), épouse de Charles-Alexandre Doresmieulx (1807-1888). Le château est resté dans la famille Doresmieulx jusqu'à la mort du dernier du nom de cette branche (René-Alexandre (1845-1944)). Il échoit alors à l'une de ses filles (Valentine (1888-1981), épouse de Henry Baudenet d'Annoux[55].
- La chapelle funéraire Doresmieulx dans le cimetière.
- Le prieuré de Foucquières : Prieuré monastique au IXe siècle à proximité du Château de Fouquières [56]. Il renferma les reliques de saint Prix de Saint-Quentin.
- Le Fouquieres Churchyard Extension, cimetière militaire.
-
L'église Saint-Vaast.
-
Le monument aux morts.
-
La place de la Fontaine.
-
La ferme-château.
-
Le cimetière militaire de la Première Guerre mondiale.
-
Autre vue du cimetière militaire.
-
La fosse no 11 des mines de Nœux.
-
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Jules Delelis (1827-1886), personnalité politique, né dans la commune.
- Pierre de La Gorce (1847-1934), magistrat et académicien, habite le château-ferme de la commune inscrit aux monuments historiques[57],[58].
- Géraldine Serbourdin (1958-), poétesse et dramaturge, est née à Fouquières-lès-Béthune.
Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | D'or à la tête de Maure de sable tortillée d'argent accompagnée de trois roses de gueules[59].
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Détails | La commune a repris en 1998 le blason de la famille Doresmieux, anciens seigneurs de Fouquières Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Sites officiels : www.fouquieres-lez-bethune.fr et www.fouquieres-les-bethunes.fr
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais
- « Fouquières-lès-Béthune » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Une rue de la commune porte son nom.
- La salle des fêtes de la commune porte son nom.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé d'Avesnes (E3660642) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Blanche (E3660630) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Château du Prieuré Saint-Pry (E3661000) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare de Béthune », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1241.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 112-113, lire en ligne.
- Journal officiel du 28 septembre 1920, p. 14314.
- Landrin (C.) "Histoire d'un petit village" (Fouquières-lez-Béthune), Boulogne-sur-Mer, 1881, 8°, 42p
- « Les maires de Fouquières-lès-Béthune », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « L’ancien maire de Fouquières-lès-Béthune, Jean Lesot, réagit au bilan de Jean-Paul Seulin : Jean Lesot, maire de Fouquières-lès-Béthune de 2001 à 2008, réagit au bilan de son successeur, Jean-Paul Seulin, publié dans nos colonnes mercredi 13 novembre », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- David Cierniak, « Jean-Paul Seulin, maire de Fouquières-lès-Béthune, ne se représente pas aux élections de novembre : Maire depuis 2008, et malade depuis 2018, Jean-Paul Seulin ne se représente pas aux élections municipales du 15 novembre. Un scrutin provoqué par plusieurs démissions de conseillers depuis le mois de mars. L’élu a fait distribuer une lettre aux habitants », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- D. C., « À Fouquières-lès-Béthune, de nouvelles élections municipales ont lieu le 15 novembre ! : Avec six démissions enregistrées depuis le mois de mars, le conseil municipal ne peut plus fonctionner normalement aux yeux de la loi. De nouvelles élections sont donc organisées : le premier tour a lieu dimanche 15 novembre », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Fouquières-lès-Béthune : Jean-Paul Seulin réélu maire, sans surprise ni opposition », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Isabelle Mastin, « Il s’est décidé, le maire de Fouquières-lès-Béthune se représentera en mars : Empêché de longs mois par la maladie, Jean-Paul Seulin a mis du temps à reprendre pied dans la vie municipale. Et à décider s’il briguerait ou pas un troisième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Stéphanie Hameaux, « Fouquières: la liste de Sophie Duby élue au premier tour des municipales : Ce dimanche 30 mai, les électeurs devaient trancher pour celui qui deviendra leur nouveau maire », L'Avenir de l'Artois], (lire en ligne, consulté le ).
- « Sophie Duby a été élue maire de Fouquières-les-Béthune : Sans surprise, Sophie Duby a reçu l’écharpe de maire de Fouquières-lès-Béthune ce vendredi soir. Ancienne première adjointe, elle menait la barque depuis des mois en l’absence de son prédécesseur, souffrant. Elle sera entourée de quatre adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- Gérard Bouquet, « Vers une réouverture de l’école Yves-Duteil à Fouquières-lès-Béthune… mais pas lundi : la commune s’organise pour rouvrir l’école mais ne sera pas prête ce lundi 11 mai. Un conseil extraordinaire de l’école doit se tenir prochainement pour savoir si toutes les conditions organisationnelles et sanitaires sont remplies », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fouquières-lès-Béthune (62350) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Gérard Bouquet, « Fouquières-lès-Béthune Au carmel, l’écologie a toute sa place : Elles sont une dizaine de religieuses à vivre en communauté au carmel de Fouquières », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Gérard Bouquet, « Fouquières-lès-Béthune Les Sœurs polonaises vont quitter Fouquières pour la région parisienne : L’église Saint-Vaast était comble samedi pour la messe donnée en l’honneur des Sœurs polonaises qui poursuivront dans quelques mois leur mission dans le Val d’Oise », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Isabelle Mastin (photogr. Julie Sebadelha), « Les sœurs ont pris leur décision, elles vont quitter le carmel centenaire de Fouquières-lès-Béthune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
- « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « L'ancienne ferme et château », notice no PA00108282, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
- Reynald Clouet, « Fouquières-lès-Béthune : un demi-million pour réparer la toiture de l’église Saint-Vaast : Il pleut dans l’église. Cette situation déplaît bien évidemment à Jean-Paul Seulin et, plus largement, aux habitants. S’agissant d’un bien communal, la question de réparer l’édifice s’est posée aux élus. Ils ont décidé en 2012 de remplacer la charpente et la toiture… Le chantier démarre le 24 novembre », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
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- « Château Doresmieulx de Fouquières », sur Avant Laprée (consulté le )
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- « Une pièce signée Pierre Palmade au château-ferme de Fouquières-lès-Béthune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre de La Gorce sur le site de l'Académie Française
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).