Audrehem
Audrehem | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de Lumbres | ||||
Maire Mandat |
Sébastien Lecaille 2020-2026 |
||||
Code postal | 62890 | ||||
Code commune | 62055 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Audrehemais | ||||
Population municipale |
524 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 46′ 55″ nord, 1° 59′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 171 m |
||||
Superficie | 9,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lumbres | ||||
Législatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Audrehem est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Audrehemais.
La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 187 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Audrehem est un village à proximité de la vallée de la Hem, au pied de la boutonnière du Boulonnais, dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Il est traversé par plusieurs ruisseaux affluents de cette rivière, ce qui lui donne un relief accidenté.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 9,19 km2 ; son altitude varie de 42 à 171 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par plusieurs cours d'eau :
- la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[3] ;
- le Loquin, un cours d'eau naturel non navigable de 7,04 km, affluent de la Hem, qui prend sa source dans la commune de Haut-Loquin et se jette dans la Hem au niveau de la commune d'Audrehem[4] ;
- le ruisseau d'Alquines, un cours d'eau naturel non navigable de 5,63 km, affluent du Loquin, qui prend sa source dans la commune d'Alquines et se jette dans le Loquin au niveau de la commune d'Audrehem[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 967 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,3 | 2,9 | 4,4 | 7,5 | 10,4 | 12,5 | 12,4 | 9,8 | 7,5 | 4,4 | 1,9 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 4,2 | 4,5 | 6,8 | 9,4 | 12,5 | 15,3 | 17,5 | 17,5 | 14,7 | 11,4 | 7,5 | 4,7 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7 | 7,8 | 10,8 | 14,4 | 17,5 | 20,2 | 22,4 | 22,6 | 19,5 | 15,2 | 10,5 | 7,4 | 14,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−22 08.01.1985 |
−14,5 11.02.12 |
−12 04.03.05 |
−5,5 13.04.21 |
−2,8 01.05.21 |
0 01.06.1975 |
2,5 01.07.1984 |
0,4 25.08.1980 |
0 30.09.18 |
−6 29.10.1997 |
−8,5 24.11.1998 |
−13 07.12.1969 |
−22 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,5 09.01.1998 |
19,5 26.02.19 |
25 31.03.21 |
28,5 19.04.18 |
32,2 27.05.05 |
35,3 21.06.17 |
40,9 25.07.19 |
37,5 07.08.20 |
32,7 13.09.16 |
29,5 01.10.11 |
20,2 19.11.1969 |
15,5 19.12.15 |
40,9 2019 |
Précipitations (mm) | 104,4 | 85,2 | 71,6 | 61,1 | 71,3 | 69,5 | 72,5 | 93 | 93,5 | 126,7 | 143,4 | 145,9 | 1 138,1 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espace protégé
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des caps et marais d'Opale[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- la forêt domaniale de Tournehem et ses lisières. Cette ZNIEFF marque le rebord oriental du pays de Licques[13] ;
- la haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques, d’une superficie de 446 hectares et d'une altitude variant de 6 à 35 mètres[14] ;
- les monts d'Audrehem. Ce coteau de craie marneuse turonienne représente la branche est de la cuesta du pays de Licques[15].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[16].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Site Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : la forêt de Tournehem et les pelouses de la cuesta du pays de Licques, d’une superficie de 443 hectares et d'une altitude variant de 60 à 200 mètres[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Audrehem est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20] et hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), prairies (6,2 %), forêts (4,8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune, relativement vaste par rapport à ses voisines, compte trois hameaux, la Quingoie et Fouquesolles au sud-ouest, et le Poirier au sud.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Aldomhem (844-864), Oudenhem (1066), Aldenehem et Aldemhen (1084), Haldenhem (1122), Haldinehem (XIIe siècle), Aldeneis (1166), Aldenem (1223), Audenem (1306), Odenhem (1337), Odenehan (1353), Audeneham (1357), Audenehem (1373), Odrehem (1530), Audrehem (1540-1542), Haudrehen (1559), Andrehem (1762)[24].
Selon Ernest Nègre, Audrehem provient du nom de personne germanique Aldo(n) suivi du suffixe -ham ou -heim « domaine, demeure »[25].
La forme flamande est Oudehem[26].
Histoire
[modifier | modifier le code]Audrehem comptait plusieurs seigneuries dans la société d'ancien régime.
Le village a également donné son nom à une famille noble au XIIIe siècle, dont le membre le plus connu est Arnoul d'Audrehem.
La seigneurie d'Esclemy, située sur le territoire actuel d'Audrehem, comptait parmi les 11 ou 12 pairies du comté de Guînes[27]. Il en allait de même pour la seigneurie de Fouquesolle[27].
La terre et seigneurie de Wissocq était un hameau d'Audrehem, (voir famille de Wissocq). Les Wissocq détiennent au XVe siècle le village d'Audrehem. La seigneurie de Wissocq, tenue du château de Tournehem, sera par la suite aux mains de nobles ne portant pas le nom de Wissocq. Elle est érigée en vicomté le au profit d'Ignace de Clercque, seigneur du lieu, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Jacques, mestre de camp d'un tercio d'infanterie wallonne, dont 3 frères sont morts au service du roi [28].
Philippe de Wissocq, seigneur d'Audrehem, trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lumbres.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[35].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Audrehemais[36].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2021, la commune comptait 524 habitants[Note 4], en évolution de −5,24 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 281 hommes pour 265 femmes, soit un taux de 51,47 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2019, dans la commune, il y a 195 ménages fiscaux qui comprennent 519 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 5] de 20 030 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[42],[43].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Médard d'Audrehem[44], avec son cimetière adjacent et son monument aux morts[45].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La famille de Wissocq est originaire d'Audrehem.
Famille d'Audrehem
[modifier | modifier le code]Audrehem a donné son nom à une famille portant le nom du village, dont elle provenait probablement.
- Gilles d'Audrehem, fils d'Anselme d'Audrehem est cité dans des actes datant de 1223-1224[46].
- Le maréchal Arnoul d'Audrehem, a été l’un des officiers du roi de France les plus influents au XIVe siècle.
- Jean d'Audrehem, écuyer, seigneur du Château-Joly (sur la paroisse de Wittes) se voit reconnaître sa noblesse en 1583. Ses armes sont : « D'argent à un chevron de sable accompagné de 3 losanges de même »[47].
Autres personnalités
[modifier | modifier le code]- Ignace de Clercque, seigneur de la terre et seigneurie de Wissocq, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Jacques (ordre de Santiago), mestre de camp d'un tercio d'infanterie wallonne, bénéficie de l'érection de cette terre en vicomté le 13 juin 1659. Trois de ses frères sont morts au service du roi, savoir Guillaume de Clercque, capitaine d'infanterie, à la prise du fort de Schenck; François de Clercque, capitaine de cuirassiers, à la bataille de Lérida en Catalogne; Gabriel de Clercque, mestre de camp aux attaques de Flix, également en Catalogne[48].
- Louis Amédée Rappe, né à Audrehem, fut le premier évêque de Cleveland[49] à partir de 1847.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople aux trois bandes d’or, à la bordure du même. |
|
---|---|---|
Détails | Inspiré des armes d'Arnoul d'Audrehem qui portait : « bandé d'azur et d'argent, à la bordure de gueules ». Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 6]
- « Audrehem » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Loquin (E4100700 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Audrehem et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007259 - La Forêt domaniale de Tournehem et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007272 - Haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013682 - Les Monts d'Audrehem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
- « Natura 2000 FR3100498 - Forêt de Tournehem et pelouses de la cuesta du pays de Licques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 20-21.
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981-982, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 312, lire en ligne.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Les projets du maire d’Audrehem: les constructions vont bon train dans les hameaux : « Celui qui ne me connaît pas, c’est qu’il vient d’arriver ce matin », plaisante José Bouffart, élu conseiller en 1989 puis maire en 1995. Réélu sans opposition en mars, il poursuit sa tâche qui consiste à accompagner l’essor démographique de la commune. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598216
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Audrehem (62055) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- Photos de l'église d'Audrehem sur le site Nouzautes
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Années 1223-1224.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 6.
- Le Boucq de Ternas, op. cit., p. 312.
- Histoire d'Amédée Rappe sur le site Echo62