Noyelles-sous-Bellonne

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Noyelles-sous-Bellonne
Noyelles-sous-Bellonne
La rue de la mairie.
Blason de Noyelles-sous-Bellonne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes Osartis Marquion
Maire
Mandat
Patrick Doyen
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62627
Démographie
Gentilé Noyellois
Population
municipale
839 hab. (2021 en augmentation de 2,44 % par rapport à 2015)
Densité 199 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 31″ nord, 3° 01′ 41″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 71 m
Superficie 4,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Noyelles-sous-Bellonne
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Noyelles-sous-Bellonne
Liens
Site web noyellessousbellonne.fr

Noyelles-sous-Bellonne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Noyelles-sous-Bellonne
Vitry-en-Artois Brebières
Noyelles-sous-Bellonne Gouy-sous-Bellonne
Sailly-en-Ostrevent Tortequesne Bellonne

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

C'est dans la commune que le Filet de Noyelles, cours d'eau naturel non navigable de 4,66 km, prend sa source et se jette dans la petite Sensée au niveau de la commune de Courchelettes[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : les bassins de Brebières et bois du grand marais. Cette ZNIEFF associe de vastes zones en eau (bassins de décantation) avec vasières et roselières et des végétations forestières dégradées par la plantation massive de peupliers[8].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noyelles-sous-Bellonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), zones urbanisées (11 %), eaux continentales[Note 4] (3,5 %), prairies (3 %), forêts (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Noiele (1289) ; Noyele-viers-Biélone (1291) ; Noiielle (XIIIe siècle) ; Noiielle-souz-Bélone (XIVe siècle) ; Noiele-sur-Bélone (XIVe siècle) ; Nouele-sous-Bélone (XIVe siècle)[15].

Toponyme gaulois composé de *novio, latinisé en Nigella au IXe et Xe siècles (« neuf, nouveau » → voir Noyon) et *ialo- (« clairière, lieu défriché, essart » → voir Neuilly et Noailles).

"sous" : Du latin subtus (« en dessous, par-dessous »). Noyelle est dans la banlieue de l'aire d'attraction de Bellonne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antoine de Tournay, est seigneur de Noyelles-sous-Bellonne à la fin du XVIe siècle-début du XVIIe siècle. Il a été au service de son roi, (le roi d'Espagne alors maître de la région) pendant 40 ans, pendant les guerres de Hollande (Guerre de Quatre-Vingts Ans) et de France (Guerres d'Italie), d'abord comme lieutenant d'hommes d'armes sous le duc d'Arschot, puis lieutenant-général des dits hommes d'armes. Il a également commandé diverses compagnies au secours de Bois-le-Duc et pendant le siège d'Ostende (1601-1604). Son fils Charles de Tournay, baron d'Oisy (Oisy-le-Verger), lieutenant d'une compagnie d'hommes d'armes a servi avec fidélité au siège de Bréda (1624) et a été fait chevalier par lettres données à Madrid le 24 mars 1627[16].

La commune possédait une zone humide riche en tourbe et en poissons, dont l'exploitation était privilège des seigneurs ou de l'Église.
Une des doléances posées par la commune lors de la Révolution française était « que les communautés soient réintégrées dans leurs marais, prairies, landes, pâturages, monts, etc. que les garennes soient abolies, ainsi que les conservations des chasses particulières des seigneurs[17] ».

Les archives départementales ont en 1894 reçu[18], dans trois cartons du fonds du Marquisat d'Hesdigneul-Béthune :

  • une correspondance entre le curé de Noyelles et l'abbaye d'Anchin, sur la propriété du banc seigneurial dans l'église de Noyelle ;
  • des documents relatifs au procès où la communauté de Noyelles revendiquait (1445-1760) le droit de pêche et de tourbage dans son marais ;

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Brebières.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1989 Paul Jasnault[19]    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2020 Gilles Pintiaux   Réélu pour le mandat 2014-2020[20],[21],[22]
24 mai 2020 En cours
(au 1er avril 2022)
Patrick Doyen   Employé administratif d'entreprise[23],[24]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 839 habitants[Note 5], en augmentation de 2,44 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
354381829480543540564566555
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
542566587582590607559553546
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
516514531439453396417396385
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
398391383379515568710822813
2021 - - - - - - - -
839--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 398 hommes pour 420 femmes, soit un taux de 51,34 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
3,5 
75-89 ans
5,4 
13,0 
60-74 ans
11,1 
23,3 
45-59 ans
21,7 
23,7 
30-44 ans
23,7 
13,9 
15-29 ans
15,2 
22,8 
0-14 ans
22,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église. Construite en grès au XVIe siècle (le clocher date de 1561 et le portail méridional de 1571), elle fut incendiée en 1710 lors de la guerre de Succession d'Espagne. Elle fut restaurée entre 1803 et 1816 avant d'être à nouveau détruite lors de la Première Guerre mondiale. La version actuelle, en brique rouge, fut reconstruite entre 1926 et 1930[31].
  • La chapelle de Prémont, qui connut le même sort que l'église en étant détruite à deux reprises lors des mêmes périodes. Elle se situe en retrait du village, au milieu des champs, dans le prolongement de la rue Jean-Soille[31].
  • Les Eaux de Sainte Pétronille. Source d'eau portant le nom de la patronne de la paroisse, la croyance populaire dit qu'elle peut « couper la fièvre ». Pour cela, il faut y récupérer l'eau de pluie tombée le . Elle se situe rue de Tortequenne[31].
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

de sable à la bande d'or chargée d'une croisette ancrée de gueules posée à plomb.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Filet de Noyelles (E2250700) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Noyelles-sous-Bellonne et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « ZNIEFF 310013748 - bassins de Brebières et bois du grand marais », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 281.
  16. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 34, lire en ligne.
  17. Extraits du cahier de doléance des habitants composant la communauté de Noyelle-sous-Bellonne ; « Ainsi fait et arrêté en notre assemblée, et le présent cahier ayant été côté et paraphé par première et dernière page, le vingt-neuf mars mil sept cent quatre-vingt-neuf »,
  18. Rapport de M. L'archiviste départemental sur la situation des archives de la préfecture, des sous-préfectures, des communes et des hospices du Pas-de-Calais et sur la bibliothèque départementale durant l'exercice 1893-1894, Arras, 1894 (extrait du volume du Conseil Général du Pas-de-Calais de la session d'aout 1894) (consulté 2009 12 30)
  19. « Noyelles-sous-Bellonne : Paul Jasnault, maire honoraire, nous a quittés : Paul Jasnault, né en 1924, vient de s’éteindre à l’âge de 90 ans. Il a été maire de Noyelles-sous-Bellonne pendant trente années, de 1959 à 1989 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Noyelles-sous-Bellonne : Gilles Pintiaux reconduit maire pour la troisième fois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  22. Carole Leroy (CLP), « Le Bilan des maires - Noyelles-sous-Bellonne : Modernisation de l’école, sécurité des biens et des personnes, et développement de l’habitat individuel : Le maire, Gilles Pintiaux a été conseiller, puis premier adjoint, il a été élu maire en 2001, réélu en 2008. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noyelles-sous-Bellonne (62627) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  31. a b et c Noyelles-sous-Bellonne.fr