Longfossé

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Longfossé
Longfossé
La mairie et l'école.
Blason de Longfossé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté de communes de Desvres-Samer
Maire
Mandat
Anita Thomas
2020-2026
Code postal 62240
Code commune 62524
Démographie
Gentilé Longfosséens
Population
municipale
1 506 hab. (2021 en augmentation de 4,37 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 39′ 10″ nord, 1° 48′ 23″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 207 m
Superficie 10,22 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Desvres
(banlieue)
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Longfossé
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Longfossé
Liens
Site web longfosse.fr

Longfossé est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 301 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Lotissement à Longfossé près de Desvres ; conception : Arietur. Photographie d'avril 2011.

Longfossé est une commune située dans le département du Pas-de-Calais. La ville de Longfossé fait partie du territoire du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Les habitants de Longfossé sont au nombre de 1 506 au dernier recensement de 2021. La superficie est de 10,2 km2. La ville voisine de Desvres est réputée pour sa faïence.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Longfossé
Wirwignes Desvres
Wierre-au-Bois Longfossé Courset
Samer Doudeauville

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans deux « paysages » tels que définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[1] :

  • Le « paysage montreuillois ». Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[2] ;
  • Le « paysage boulonnais ». Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires.
Dans ce paysage, on distingue trois entités :
  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 970 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, la commune fait partie de trois espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le bois de l'Eperche, le coteau de Longfossé et la pelouse du Molinet. Ce site appartient au complexe écologique constitué par la cuesta crayeuse du haut Boulonnais[14] ;
  • la forêt domaniale de Desvres. D'une superficie de 1 808 hectares, elle s’étend au nord de la commune de Desvres et appartient au complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane[15] ;
  • le réservoir biologique de la Liane. La Liane est un bassin côtier qui présente un intérêt majeur autant pour les espèces holobiotiques[Note 3] que pour les migrateurs amphihalins[16].

et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] :

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais. Ce site, créé par un arrêté du , a une superficie de 420 hectares et une altitude qui varie de 65 mètres à 200 mètres[20].

Logement[modifier | modifier le code]

Longfossé compte 516 logements en 2007, et 612 logements en 2012[21]. La part de résidences principales est de 477 logements en 2007 et 553 en 2012.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Longfossé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Desvres, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[25] et 6 437 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,9 %), prairies (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), forêts (10,7 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Altumfosseit (1119), Lanfosseit (1157), Lhonefosse (1173), Altum Fossatum (1179), Havefossei (1194), Altum Fossetum (1197), Altumfossei (1207), Lanfossé (1254), Lofossé (XIVe siècle), Losfossé (1415), Loncfossé (1512), Long-Fossé (1559), Longfossé (1580)[32].

Ernest Nègre avance comme origine toponymique le latin altum au sens de « profond » suivi de fossé, donnant « le fossé profond ». À partir du XIIe siècle, l'adjectif « profond » devient « long »[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

La présence de tombes mérovingiennes, au lieu-dit des Tombes, atteste son ancienneté[34].

Jean du Blaisel, de la commune actuelle de Longfossé, combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[35].

Entre 1790 et 1794, Longfossé absorbe le village voisin de Sainte-Gertrude[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  fin 1982 Victor Sommerard PS  
novembre 1982 mars 2008 Jacques Sergent PS  
mars 2008 mai 2020 Jean-Claude Pruvost PS Retraité d’EDF
Réélu pour le mandat 2014-2020[37],[38],[39]
26 mai 2020 En cours
(au 25 mars 2022)
Anita Thomas   Professeure de lycée[40],[41],[42]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

En 2021, la commune comptait 1 506 habitants[Note 7], en augmentation de 4,37 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
364348353351327342284326321
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
307334354355351361438519550
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
518503532560690774828849848
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1991 1511 1481 1601 2181 2261 2581 2511 407
2015 2020 2021 - - - - - -
1 4431 5041 506------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 709 hommes pour 760 femmes, soit un taux de 51,74 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,9 
5,4 
75-89 ans
9,6 
18,3 
60-74 ans
17,7 
18,2 
45-59 ans
18,8 
20,0 
30-44 ans
18,0 
15,2 
15-29 ans
15,8 
22,0 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Une des particularités assez caractéristique de Longfossé réside dans son église Saint-Pierre, éloignée du centre du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Anne Ducros (1959-), chanteuse de jazz, née dans la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Longfossé Blason
D’argent à huit billettes de gueules ordonnées 3, 2 et 3[49].
Détails
Inspiré des armes de la famille de Longfossé, ayant tiré son nom du lieu, et qui portait onze billettes.

Utilisé par la commune.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Relatif aux poissons migrateurs qui ne changent pas de milieu
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Longfossé et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  11. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR3800091 - Coteaux Calcaires Du Boulonnais », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR4505973 - RNR du Molinet », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310007264 - Bois de l'Eperche, coteau de Longfossé et Pelouse du Molinet », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310007012 - Forêt domaniale de Desvres », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310030080 - Réservoir biologique de la Liane », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  20. « Natura 2000 FR3100484 - Pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. Insee, « Longfossé - Séries historiques des résultats du recensement », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Unité urbaine 2020 de Desvres », sur insee.fr (consulté le ).
  26. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  32. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 229.
  33. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1472.
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  37. « Longfossé : le bilan de Jean-Claude Pruvost, qui brigue un deuxième mandat de maire : Jean-Claude Pruvost se représentera en 2014. Lui qui termine son premier mandat de maire après avoir été conseiller municipal depuis 1982 auprès de l’ancien maire Jacques Sergent -en face duquel il s’était présenté en 2008- est très attaché à l’école de sa commune. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Longfossé : l’écharpe municipale échoit une seconde fois à Jean-Claude Pruvost », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  40. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/2159857
  41. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Longfossé (62524) », (consulté le ).
  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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