Aumerval

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Aumerval
Aumerval
La mairie.
Blason de Aumerval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Dany Delerue
2020-2026
Code postal 62550
Code commune 62058
Démographie
Gentilé Aumervalois
Population
municipale
200 hab. (2021 en augmentation de 2,56 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 25″ nord, 2° 24′ 05″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 180 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Aumerval
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Aumerval
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Aumerval
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Aumerval

Aumerval est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Aumervalois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Aumerval se situe à un kilomètre de son voisin Ferfay, 40 km d'Arras, 46 km de Lens, 85 km de Calais et à 95 km de Lille.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes d’Aumerval
Amettes Ferfay
Bailleul-lès-Pernes Aumerval
Sachin Pernes Floringhem

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3,42 km2 ; son altitude varie de 98 à 180 mètres[1].

On distingue dans la commune (également visible sur la carte géologique), quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Burbure, Divion, Bourecq, Fléchin. Ces affleurements du cénozoïques peuvent abriter une flore originale[réf. nécessaire].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 919 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records FIEFS (62) - alt : 186m, lat : 50°30'16"N, lon : 2°19'34"E
Records établis sur la période du 01-10-1952 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,8 4,7 7,8 10,7 12,8 12,9 10,4 7,6 4,3 1,8 6,5
Température moyenne (°C) 3,5 4 6,6 9,4 12,7 15,5 17,7 17,8 14,9 11,1 7 4,2 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 14,2 17,6 20,4 22,7 22,7 19,3 14,7 9,7 6,6 14,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,5
09.01.1985
−17,5
23.02.1956
−13,9
07.03.1971
−6
25.04.1955
−5
02.05.1960
−3,2
02.06.1962
3,2
04.07.1964
4
29.08.1964
0,2
30.09.1954
−6
29.10.1997
−11
30.11.1978
−12,9
29.12.1996
−18,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
01.01.22
19,8
28.02.1960
25,1
31.03.21
27
29.04.1955
34
25.05.1953
35,5
30.06.1957
40,6
25.07.19
37
10.08.03
33,6
09.09.23
30,8
01.10.1959
19,5
06.11.1955
17
01.12.00
40,6
2019
Précipitations (mm) 103,9 86,5 76,4 64,4 76,4 74,4 80,7 85,1 83,3 100,9 112,8 125,8 1 070,6
Source : « Fiche 62333001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le coteau et le bois de Pernes, d’une superficie de 171 ha et d'une altitude variant de 103 à 177 mètres. Ce site est un ancien lieu d’activité agropastorale du Béthunois lors du siècle précédent[9].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aumerval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (5 %), forêts (4,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Amerval (1278)[16] ; Aumereval (1422) ; Omerval (1444) ; Amierval (1469) ; Aumereval (xve siècle) ; Ammerval (1516)[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est connue pour avoir été le lieu de « l’affaire de la petite Vendée du Nord », qui vit, le , les garnisons voisines d’Aire, Béthune et Frévent entourer le bois de Bailleul, pour mater des jeunes conscrits qui, au lieu de se rendre au bureau de recrutement, s'étaient rendus à la ducasse d'Aumerval, où ils avaient bu plus que de raison, coupé des arbres de la liberté et bousculés des notables patriotes, sonné l'alarme, pris des armes !

La répression aux ordres de Darthé, administrateur du Pas-de-Calais et Joseph Lebon, de la Convention, criant au soulèvement contre-révolutionnaire fut terrible : 19 guillotinés (dont 17 hommes et deux femmes) et 60 personnes emprisonnées[18],[19].

Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes françaises relevées du front de l'Artois sont venues en cantonnement de repos sur Aumerval, par exemple en août 1915[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. À l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [25],[26].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [27].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 1995 André Couvreur    
1995 2020[28] Michel Crépin   Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30]
28 mai 2020 En cours
(au 31 janvier 2022)
Dany Delerue   Ancien employé[31],[32]

Remembrement foncier[modifier | modifier le code]

Un remembrement est en cours depuis 2004, et devrait permettre notamment de réduire le nombre de propriétaires de terrains, qui s'élève en 2016 à plus de 400, héritage de l'époque des mineurs, qui étaient propriétaires de jardins maraîchers afin de nourrir leurs familles[33].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école, en 2013.

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal de 112 élèves à la rentrée 2016-2017 et rassemblant Bailleul-lès-Pernes, Nédon, Nédonchel, Aumerval et Fontaine-lès-Hermans, dont deux des classes sont implantées dans la commune. La cantine et la garderie sont, elles situées à Bailleul[33]

Équipements communaux[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2014 d'une salle multifonction d'environ 230 m2, destinée à la fois à servir de salle des fêtes et de salle de sports, notamment pour les centres de loisirs de l'intercommunalité[34].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Aumervalois[36].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 200 habitants[Note 4], en augmentation de 2,56 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
224339198266257240232206215
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
204205205235255222219217241
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
273275281305295279279277234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
240224212190173191191191200
2018 2021 - - - - - - -
200200-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 92 hommes pour 108 femmes, soit un taux de 54 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,9 
4,3 
75-89 ans
6,5 
15,2 
60-74 ans
14,8 
29,3 
45-59 ans
26,9 
17,4 
30-44 ans
14,8 
14,1 
15-29 ans
13,0 
19,6 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Le village compte en 2016 trois entreprises agricoles, ainsi que les transports Crépin qui, avec leurs 12 salariés, constituent l'entreprise la plus importante du village, une entreprise de menuiseries bois et PVC, un ferronnier-chaudronnier, une d'activités sportives et de loisirs, un élevage de chevaux et un commerçant de détail[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Maur.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Maur. Foudroyé le , son clocher est réparé et un nouveau coq, dénommé « Gaëtan », a été posé à son faite. L'ancienne cloche, dénommée « louise », lourde de 250 kg, sonne toutes les heures dès 7 h le matin ainsi que l’Angélus. Le plafond de l'église reste, en 2016, à réaliser[33].
  • Le monument aux morts[42].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Aumerval

Les armes d'Aumerval se blasonnent ainsi :
D’argent aux deux huchets contournés de gueules, pavillonnés, enguichés et embouchés de sable soutenus d’un fer à cheval montant de sinople clouté de six pièces d’argent[43].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Aumerval et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « ZNIEFF 310030049 - Coteau et bois de Pernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 21.
  18. « Les marcheurs ont plongé dans l'Histoire de « La petite Vendée » : Samedi, la Communauté de communes du Pernois organisait sa 8e randonnée au départ d'Aumerval », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  19. « Le Pignolet »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Bouger à pied, Pays du Ternois (consulté le ).
  20. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  21. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  24. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  25. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  26. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  28. Aline Chartrel, « Les bilans des maires : à Aumerval, l’école et la salle multi-activités sont les réalisations phares de ce mandat : « Pas si mauvais que ça » puisqu’après une première élection en 1995, il a toujours été reconduit dans ses fonctions, le maire se tâte pour repartir l’année prochaine. À 73 ans néanmoins, Michel Crépin jette un coup d’œil dans le rétroviseur... sachant que le plus grand reste à venir. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. « Projets des maires : à Aumerval, après la salle multi-activités, le clocher en tête des priorités : Vendredi soir, Michel Crépin bouclera le premier projet de son mandat en inaugurant la nouvelle salle multi-activités : une belle réalisation en bois, de haute qualité environnementale, qui a demandé un travail administratif titanesque, notamment pour réussir à faire subventionner 46 % des 480 000 euros hors taxes. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  34. « La salle multi-activités d’Aumerval, chantier d’envergure, sort (enfin) de terre : D’un coût de 490 000 euros environ, le maire a dû la reporter à plusieurs reprises pour grappiller des subventions. Sans elles, rien n’était possible », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
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