Mory (Pas-de-Calais)
Mory | |||||
La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Barbier 2020-2026 |
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Code postal | 62159 | ||||
Code commune | 62594 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
308 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 42 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 09′ 25″ nord, 2° 51′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 121 m |
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Superficie | 7,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Mory est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La commune est située dans un vallon dépendant du bassin de la Sensée vers l'altitude moyenne de 100 mètres. Le sous-sol est formé par la craie blanche sénonienne recouverte de façon irrégulière par un manteau de limon. Un accident anticlinal se manifeste dans les couches crayeuses aux environs de Bapaume-Sapignies de façon que sur le territoire de Mory, ces couches sont inclinées vers le nord - nord-est.
L'hydrologie souterraine est réglée par l'allure des couches crayeuses et par l'orientation des petits vallons qui confluent vers Mory. C'est dire que les eaux souterraines tendent à se déplacer vers le nord - nord-est.
- En direction de Vaulx-Vraucourt, le sous-sol crayeux est à faible profondeur et le limon de surface est très argileux.
- Vers Écoust-Saint-Mein, le limon y est assez épais.
- Contre la route de Saint-Léger, il existe deux à trois mètres de limons filtrants qui sont uniquement constitués par des couches d'ergeron assez sableuses.
- En direction d'Ervillers, presque partout affleure la craie.
Paysages[modifier | modifier le code]
La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[1]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[2].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Mory est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,3 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]
Première hypothèse : le mot celtique Mor signifie une position élevée. Ce village est d'une haute antiquité, comme tous ceux dont le nom atteste une origine celtique[9]. Deuxième hypothèse : Mory, peut provenir de mori, « petit marais ». Autre hypothèse : le nom du village proviendrait du nom d'une famille De Moiri qui était encore propriétaire des terres au XIIe siècle. Cette hypothèse parait être la solution la plus probable. Mory est le plus souvent une variante de Maury et peut représenter une aphérèse d'amory, variante d'amaury, Amalric, nom de personne d'origine germanique issu de amal (nom de rois Ostrogoths) et ric (puissant).[réf. nécessaire].
Les différentes écritures au cours des siècles[modifier | modifier le code]
1156 : MOIRI
XIIe siècle : MOYRI
1232 : MOTI
1318 : MORY
1449 : MORRY
1640 : MOIRY
Histoire[modifier | modifier le code]
L'histoire de la commune de Mory peut être consultée dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873, en cliquant sur le lien ci-après [10].
Ancien Régime[modifier | modifier le code]
Il existait dans le village trois seigneuries :
- la première était détenue par l'abbaye d'Eaucourt, (Warlencourt-Eaucourt située au sud de Bapaume) ;
- la seconde appartenait au chapitre de l'église métropolitaine de Cambrai ;
- la troisième, qui était la plus importante, était séculière. La famille De Mory en était propriétaire. Elle portait les armes d'or à la fasce d'azur, chargée de trois molettes d'argent.
En 1106 on y retrouve Stephanus De Mori. Le , Jacquemart De Mory vend un fief de deux razières de terre. Ide De Mory, héritière de cette famille, épousa Robert De Sains, seigneur De Longastre. Leur fille, aussi nommée Ide de Mory se maria avec Jean De Houchin, seigneur d'Annezin, panetier d'Antoine De Bourgogne, et porta la terre dans cette maison de Houchin, au XVe siècle, qui la conservera jusqu'à la Révolution. C'est ainsi que tous les Houchin portèrent, de père en fils, le titre de seigneur de Mory.
En 1557, la seigneurie était confisquée au sieur De Longastre. Il est fort probable qu'il devait exister une autre seigneurie appartenant à M. De Villers-Marquais. En 1757, la terre était revenue dans la famille des Houchin-Longastre[11].
En 1306, le chevalier Jacquemon De Mory possédait un sceau rond de vingt millimètres représentant un écu chargée de trois mollettes (inventaire des sceaux de l'Artois no 472 et 473).
Carte de Cassini[modifier | modifier le code]
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La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Mory était une paroisse située près d'un cours d'eau aujourd'hui asséché.
Au nord, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque .
Au sud-est, Valedon était une ferme importante qui n'existe plus actuellement tout comme la chapelle de Jésus flagellé.
Les troubles révolutionnaires[modifier | modifier le code]
En 1789, il y avait 487 habitants et 106 feux.
Mory dépendait du bailliage de Bapaume et suivait la coutume d'Artois. L'église paroissiale faisait partie du diocèse d'Arras, du doyenné de Bapaume, du district de Bucquoy. Son vocable était dédié à saint Vaast. Le chapitre de Cambrai présentait à la cure et valait 1000 livres.
Le 15 nivôse de l'an VIII, l'église fut vendue nationalement à François-Joseph Carlier de Béthune pour 321 francs de l'époque et sera démolie. Le clocher fut préservé. Ce clocher auquel on lui donnait 200 pieds de hauteur passait pour être le plus élevé de toute la contrée.
Les personnes arrêtées durant cette période de tourmente sont : Bonnard, Demory Nicolas, Leroy, Levasseur, Peugnet, Vasseur et un autre Vasseur.
Théâtre d'opération de la bataille de Bapaume (1871)[modifier | modifier le code]
Les Prussiens sont entrés sur le territoire de Mory, pour la première fois, le , avec environ 300 hommes appartenant au 28e de ligne, ils étaient accompagnés de quelques hussards. Jusqu'au , les réquisitions furent journalières.
Au , l'Armée du Nord part de la région d'Arras pour se diriger sur Bapaume en quatre colonnes :
- à droite, les deux divisions du 22e corps d'armée accompagnées par les généraux Derroja et Dufaure du Bessol partent par Bucquoy, Ablainzevelle, Achiet-le-Grand... ;
- à gauche, la 2e division du 23e corps d'armée dirigée par le général Robin prend la direction de Mory et Favreuil ;
- au centre, par la route d'Arras, la 1re division du 23e corps d'armée du capitaine de vaisseau Payen file pour Bapaume.
Ce jour-là, vers dix heures et demie, les chasseurs des deuxième et vingtième bataillons et les marins déployés en tirailleurs commencèrent le feu.
Partant d'Ervillers, et ne rencontrant pas d'opposition sur leur gauche, ils vinrent prendre position au-dessus de Mory, sur le territoire de Behagnies. Après avoir résisté à l'ennemi jusqu'à deux heures et demie, et voyant le vide se faire sensiblement dans leurs rangs, nos braves soldats durent se replier sur Mory, et, se battre à la baïonnette dans le village avec un courage digne d'admiration. Vers le soir, l'aile gauche, composée en grande partie des mobiles du Nord, vint à leurs secours ; ils reprirent alors leurs positions. C'est alors que le général Robin faillit se faire tuer à la tête de son état-major.
Après la bataille de Saint-Quentin, les Prussiens revinrent occuper Mory pendant cinq jours, du 22 au .
Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Mory et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 7 km à l'est devant Quéant. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier [12].
Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village en avril 1917. Les ruines de Mory repasseront aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur.
Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [13].
Alors commença une longue période de reconstruction des habitations, de l'église et de la mairie.
-
Situation de Mory en 1917, en zone britannique, tout près de la ligne Hindenburg. -
Ruines du village en 1918. -
La carte des régions dévastées en 1919 montre que le village est complètement détruit.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune est rattachée au canton de Bapaume.
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2020, la commune comptait 308 habitants[Note 4], en diminution de 6,1 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 159 hommes pour 148 femmes, soit un taux de 51,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Vaast.
- Le monument aux morts.
-
L'église et le monument aux morts. -
Le cimetière militaire britannique. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Le président René Vandevoir (1892-1966) est un magistrat qui a collecté et rassemblé les poèmes et œuvres de l'écrivain et poète belge Émile Verhaeren et a édité 219 lettres inédites avec l'aide de Marthe Verhaeren. Il a fait don de sa collecte au musée Plantin-Moretus d'Anvers.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : d'or à la fasce d'azur chargée de trois molettes d'argent. |
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Source Harbaville
- « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
- Sources : *Arch. dép. du PdC
*Dict. Hist et Arch. du PdC
*Ravet-Anceau
*Collection Godin - https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/af/Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2.jpg
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Mory : Roland Neuvéglise, le maire honoraire, est décédé », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Boucher, « Le bilan des maires à Mory - Joël Vasseur : une classe a fermé à la rentrée et le haut débit va enfin arriver : Au conseil municipal depuis 1971, Joël Vasseur, 64 ans, achève son troisième mandat de maire. Son équipe étant amputée de trois élus (deux déménagements et un décès), il attend encore pour décider s’il se représentera ou non », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Mory : Joël Vasseur, réélu maire, s’appuie sur deux adjoints : Sans surprise, Joël Vasseur a été réélu maire. Son rpremier adjoint est Jean-Yves Harmegnies. Sa deuxième adjointe est Marie-Paule Barbier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Projets des maires - Mory : Les points lumineux de la commune vont devenir moins énergivores : Joël Vasseur est maire de Mory (339 habitants) depuis 1995. Cela fait maintenant quarante-trois ans qu’il est élu dans sa commune. Des projets de rénovation rythmeront ce nouveau mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mory (62594) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).