Aller au contenu

Saint-Léger (Pas-de-Calais)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Léger
Saint-Léger (Pas-de-Calais)
La mairie et l'église Saint-Léger.
Blason de Saint-Léger
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Sud-Artois
Maire
Mandat
Michel Blondel
2020-2026
Code postal 62128
Code commune 62754
Démographie
Gentilé Saint-Légérois
Population
municipale
527 hab. (2022 en évolution de +20,05 % par rapport à 2016)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 13″ nord, 2° 51′ 31″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 117 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Léger
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Léger
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Saint-Léger
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Saint-Léger

Saint-Léger est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants de la commune sont appelés les Saint-Légérois. La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Saint-Léger est une commune rurale, où la rivière la Sensée prend sa source, et qui est située, à vol d'oiseau, à 9 km au nord de la commune de Bapaume et à 12 km au sud de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement)[1].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes. Les communes limitrophes sont Boiry-Becquerelle, Boyelles, Croisilles, Ervillers, Hénin-sur-Cojeul, Mory et Écoust-Saint-Mein.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 7,47 km2 ; son altitude varie de 69 à 117 mètres[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Le cours de la Sensée à sec à St-Léger en mars 2023.

La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[3], est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par la rivière la Sensée, cours d'eau naturel non navigable de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Saint-Léger[Note 2].

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[5]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].

Une entrée du village.

Au , Saint-Léger est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[Insee 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[Insee 3],[Insee 4].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,9 %), prairies (6,2 %), forêts (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), zones urbanisées (3,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

De 1880 à 1969, la commune est desservie par l'ancienne ligne de chemin de fer de Boisleux à Marquion.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sarcinio, Sarcingum au VIIIe siècle ; Sorcin au XIe siècle ; Sanctus Leodegarius de 1154 à 1159 ; Saint Legier en 1265 ; Saint Ligier en 1290[15] ; Saint Leger en 1793 et Saint-Léger depuis 1801[2]. Pendant la Révolution française, la commune prend le nom de La Réunion-en-Vallée[16].

Saint-Léger est un hagiotoponyme.

La commune, située dans l'ancien canton de Croisilles, s'appelle aussi Saint-Léger-les-Croisilles, dans le club des communes portant le nom Saint-Léger[17].

L'histoire de la commune peut être consultée dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873, en cliquant sur le lien ci-après[18].

La carte de Cassini ci-dessous montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Saint-Léger était une paroisse située dans la vallée de la Sensée, le long du chemin de Cambrai à Bapaume. Le château est représenté à l'est du village. Au nord, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque.

Avant la Révolution française, Saint-Léger est le siège d'une seigneurie. Par lettres données à Versailles en , la terre de Saint-Léger, réunie à celle de Villerval (Willerval?) et Fontaine est érigée en marquisat sous le nom de marquisat de Languedoue du nom du seigneur du lieu. Saint-Léger relève de Borafle, appartenant au marquis de Mouchy. Beaucoup de fiefs sont liés aux terres de Villerval et de Fontaine qui possèdent toute la justice seigneuriale et relèvent du comte d'Oisy[19].

Louis Alexandre de Languedoue, seigneur de Saint-Léger par sa femme, Villerval, Fontaine, colonel d'infanterie, ancien commandant d'un bataillon du régiment d'infanterie du roi, chevalier de Saint-Louis, bénéficie en , par lettres données à Versailles, du titre de marquis de Languedoue. Son épouse, Marie Reine de la Rosière, bénéficie également du titre. Elle est veuve de Marie Jacques Eustache, marquis d'Aoust, dame de Saint-Léger, Fontaine, Cuinchy-Prévôt, Cuinchy-Baudouin (Cuincy), Lambres, Rocoux, Wouaziers, Fersin, etc. Louis Alexandre a servi 38 ans dans le régiment d'infanterie du roi, y est devenu commandant de bataillon. Il participe à 33 actions, sièges ou batailles, est blessé de six coups de fusil et d'un coup de canon. Il appartient à une très ancienne famille noble. Parmi ses ancêtres, figure Jean de Languedoue, son septième aïeul, qui montre sa valeur à la bataille de Montlhéry, ce qui lui vaut d'être nommé chevalier de Saint-Michel en 1470, etc.[19].

D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Saint-Léger, en 1789, faisait partie du bailliage de Bapaume et suivait la coutume d'Artois. Son église paroissiale, diocèse d'Arras, doyenné de Croisilles, district de Neuville-Vitasse, était consacrée à saint Léger ; le chapitre d'Arras présentait à la cure[20]. »

Guerre franco-allemande de 1870

[modifier | modifier le code]

La commune est le théâtre d'opération de la bataille de Bapaume durant la guerre franco-allemande de 1870.

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, après la bataille des Frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le , les Allemands s'emparent du village de Saint-Léger et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

En , les Allemands décident de se retirer sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 2 km à l'est devant Bullecourt. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier.

Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village le . Saint-Léger repassera aux mains des Allemands en lors de l'offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur.

Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.

Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le , distinction également attribuée à 276 autres communes du Pas-de-Calais[21].

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Des pistes d'aviation allemandes ont existé sur le village durant la Seconde Guerre mondiale. 350 hommes des forces de la Luftwaffe occupaient le village à cette époque.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Une boîte à livres.

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 5].

Commune et intercommunalités

[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et totalise 27 059 habitants en 2021[Insee 5].

Circonscriptions administratives

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bapaume[Insee 5].

Circonscriptions électorales

[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[22].

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Claude Goethals    
mars 2008 En cours
(au 5 avril 2022)
Michel Blondel   Architecte
Réélu pour le mandat 2014-2020[23],[24],[25],[26]
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Légérois[29].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2022, la commune comptait 527 habitants[Note 5], en évolution de +20,05 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
481481484559628658669695675
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
687694719697755718766777784
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
769706717437505498504442406
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
445447422413392393410406399
2014 2019 2022 - - - - - -
438474527------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 231 hommes pour 231 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,4 
3,0 
75-89 ans
6,4 
14,3 
60-74 ans
14,0 
20,3 
45-59 ans
15,7 
24,9 
30-44 ans
24,2 
15,2 
15-29 ans
16,5 
21,1 
0-14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Saint-Léger Blason
De gueules à trois masques de léopards d'or lampassés de gueules (d'azur)[35].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  6. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  7. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Léger ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a b et c « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Léger (62754) », (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Saint-Léger et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  16. « Nom révolutionnaire des communes », sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
  17. « L'association Saint-Léger de France et d'ailleurs », sur www.stleger.info (consulté le ).
  18. « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
  19. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 90, lire en ligne.
  20. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
  21. « Communes décorées de la Croix de guerre 1914 - 1918 » [PDF], sur Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51) (consulté le ), p. 69.
  22. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  23. Nicolas André, « Bilan des maires – Saint-Léger – Michel Blondel : « Notre régie communale de l’eau, on y tient, n’en déplaise au préfet » : Michel Blondel, architecte, arrive au terme de son premier mandat sans savoir s’il se représentera. Mais l’enthousiasme de celui qui succéda à Jean-Claude Gœthals reste intact. Le premier magistrat affirme notamment son hostilité à la dissolution de la régie communale qui serait englobée dans le SIESA, qui concède son réseau à Véolia », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Saint-Léger: Michel Blondel reçoit la confiance de son conseil : Maire sortant, Michel Blondel s’était de nouveau présenté aux suffrages des électeurs, à la tête de l’unique liste qui leur a été soumise à l’occasion du premier tour des élections municipales », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  26. M.-J. A (CLP), « Saint-Léger: Un nouveau lotissement communal et un château d’eau rénové : Michel Blondel, 64 ans, architecte, entame avec enthousiasme son deuxième mandat à la tête de cette commune rurale de 450 habitants. Il poursuit les actions engagées par l’ancien maire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises - Saint-Léger (62128) » (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  35. Armorial de France, p. 12238