Rougefay
Rougefay | |||||
![]() L'église du Sacré-Cœur de Jésus. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Olivier Huchette 2020-2026 |
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Code postal | 62390 | ||||
Code commune | 62722 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rougefayais | ||||
Population municipale |
89 hab. (2022 ![]() |
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Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 26″ nord, 2° 10′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 142 m |
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Superficie | 3,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Rougefay (/ʁuʒ,fɛyi/) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Rougefayais. La commune est membre de la communauté de communes du Ternois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud du département du Pas-de-Calais, Rougefay est un village-rue rural picard du Ternois situé à 7 km au nord-est d'Auxi-le-Château, à 43 km à l'ouest d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et à 30 km au nord-est d'Abbeville.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Aubrometz, Boffles, Buire-au-Bois, Conchy-sur-Canche, Fillièvres et Vacquerie-le-Boucq.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 3,86 km2 ; son altitude varie de 104 à 142 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[2], est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée, dans partie nord, par l'Aubrometz, d'une longueur de 1,85 km qui prend sa source dans la commune et termine sa course au niveau de la commune d'Aubrometz[3].

Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[10] :
- les « paysages du val d'Authie, qui concerne 83 communes, se délimitent : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l'Authie et du Ponthieu, dépendant de l'atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l'est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l'Authie, aujourd'hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d'Espagne, au nord.
- Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l'Ouest, le fleuve s'ouvre sur la baie d'Authie, typique de l'estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d'Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
- L'Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l'altitude varie de 100 à 163 m qui s'étend de chaque côté du fleuve. L'altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l'Authie, quant à lui, est recouvert d'alluvions et de tourbes. L'Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L'occupation des sols des paysages de la Vallée de l'Authie est composée pour 70 % en culture[11] ;
- les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d'attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l'est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d'eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.
- Le territoire d'une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d'Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l'absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
- Au niveau de l'occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[13].

Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Rougefay est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[Insee 2],[Insee 3].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), prairies (18,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Rokayfay juxta Buires en 1243 ; Rocayfay, Rochefai juxta Buires en 1248 ; Rouscheufai, Rouschefai en 1266 ; Rouseufay en 1289 ; Roussoifay en 1294 ; Rousseufay en 1306 ; Roussoyfay, Roussoifai en 1342 ; Roussoiffay en 1346 ; Roussefay en 1375 ; Rouissefay en 1380 ; Rossefay en 1415 ; Roissefay en 1429 ; Rochefay en 1515 ; Ruchefay en 1629 ; Rougefeï en 1725 ; Rougefaix en 1762 ; Rouge Fays au XVIIIe siècle[17] ; Rougefay en 1793 et depuis 1801[1].
L'étymologie du nom « rougefay » vient de « rouge » et de « bois de hêtre »[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Boissart d'Auxy-Rougefay, combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[19].
Le village est détruit par un incendie en 1472[18].
Avant la Révolution française, Rougefay était un simple hameau de la paroisse de Buire-au-Bois. On y disait la messe dans la chapelle Saint-Nicolas[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 4].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], le préfet du Pas-de-Calais a publié le un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[22]. À l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants ;
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants.
Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [25],[26] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [27]. La communauté de communes du Ternois regroupe 103 communes et totalise 37 469 habitants en 2021[Insee 4].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroît et passe de 26 à 84 communes[Insee 4].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[28].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Rougefayais[36].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2022, la commune comptait 89 habitants[Note 5], en évolution de +5,95 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 41 hommes pour 46 femmes, soit un taux de 52,87 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Équipements communaux
[modifier | modifier le code]L'école, après sa fermeture, est aménagée en mairie dans les années 2000[18].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église du Sacré-Cœur de Jésus, édifiée en 1790[18].
- La chapelle Sainte-Anne, antérieure à l'incendie de 1472[18].
- Le monument aux morts surmonté d'une croix latine, à l'entrée du cimetière, qui commémore les victimes de la guerre franco-allemande de 1870, de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale, réalisé par le marbrier Brillet d'Auxi-le-Château[41].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-François Villain (d) (1790-1850), imprimeur-lithographe français, né à Rougefay.
Héraldique
[modifier | modifier le code]![]() |
Blason | De gueules à trois jumelles d'argent ; à la bande du même brochant sur le tout[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Dossier de la commune sur la base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 7], [lire en ligne]
- « Rougefay » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- ↑ Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
[modifier | modifier le code]- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rougefay (62722) », (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - 0 (E5401760) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Rougefay et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d'Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune de Rougefay ».
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Sophie Diers, « L'Abeille se pose à… Rougefay », L'Abeille de la Ternoise, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- ↑ Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 330-331, lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- ↑ « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- ↑ « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C'est l'actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s'arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l'« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- ↑ Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - ↑ « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- ↑ « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Régis Renoncourt, « Une page se tourne à Rougefay en 1995 », Cercle historique d'Auxi-le-Château et de ses environs, (consulté le ).
- ↑ Alexis Degroote, « À Rougefay, après la rue de Doullens et le clocher de l'église, des travaux sont en cours au logement communal : Le mandat est loin d'être terminé, à Rougefay. Ainsi, des travaux sont actuellement en cours au niveau du logement communal. Le point avec le maire, Olivier Huchette », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Rougefay - Un quatrième mandat pour Olivier Huchette », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ « Rougefay - La rénovation de l'intérieur de l'église et de la chapelle, prochain gros projet : Lors des élections municipales de mars, Olivier Huchette, à la tête d'une liste de 7 candidats, a été réélu au premier tour. La commune ne comptant que 91 habitants, il n'y a plus que 7 conseillers. À l'heure actuelle ils ne sont plus que 6, Monique Potel, conseillère étant décédée en octobre », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ Armorial de France, p. 5164