Diéval

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Diéval
Diéval
La mairie.
Blason de Diéval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jean Neveu
2020-2026
Code postal 62460
Code commune 62269
Démographie
Gentilé Diévalois
Population
municipale
721 hab. (2021 en diminution de 3,99 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 07″ nord, 2° 27′ 00″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 184 m
Superficie 12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auchel
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Diéval
Géolocalisation sur la carte : France
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Diéval
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Diéval
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Diéval
Liens
Site web https://www.dieval.fr

Diéval est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Diévalois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 11 km au nord-est de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise (aire d'attraction) et à 23 km au sud-ouest de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement).

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Diéval
Camblain-Châtelain Ourton
Bours Diéval La Comté
La Thieuloye Bajus

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 12 km2 ; son altitude varie de 93 à 184 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Dans la commune deux cours d'eau naturel prennent leur source :

  • la Bajuelle, d'une longueur de 4 km, et qui se jette dans la Lawe au niveau de la commune de Beugin[3].
  • la Biette, d'une longueur de 9 km, et qui se jette également dans la Lawe au niveau de la commune de Bruay-la-Buissière[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : les coteaux et bois d'Ourton. Situé dans la région de Béthune (Artois septentrional), ce site fait partie des derniers paysages naturels et semi-naturels de ce territoire très marqué par l’agriculture intensive, l’urbanisation et l’exploitation minière[11].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Diéval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), prairies (12,5 %), forêts (9,4 %), zones urbanisées (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 89 et la D 941[18]

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 12 km de la gare d'Hesdin, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].

La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Divat en 1142 ; Dievart en 1259 ; Diévat en 1263 ; Dyevart en 1275 ; Diewart en 1278 ; Dyévat en 1282 ; Driuvart au XIVe siècle ; Diéwat en 1515 ; Diévast en 1530[20], Diéval depuis 1793 et 1801[1].

Selon Maurits Gysseling, le nom proviendrait du celte dēw-ate, de dēwo, dieu, divin[21]. L'étymologie serait la même que celle de Divion, situé à proximité.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Diéval est le siège d'une seigneurie[22].

Jean-Baptiste de Varick, écuyer, seigneur de Diéval, résidant au pays d'Artois, reçoit en décembre 1671, des lettres de chevalerie données à Saint-Germain-en-Laye. Cette élévation est due au zèle qu'il a montré au service du roi de France. Son père aujourd'hui défunt avait été honoré du titre de chevalier par le roi d'Espagne[22].

Pendant la Première Guerre mondiale, Diéval est en arrière du front de l'Artois. Des troupes ont séjourné sur la commune, après avoir été relevées du front ou avant de s'y rendre, par exemple en avril 1915[23] ou encore en fin juin 1915[24], en août 2015[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais depuis le , auparavant, de 1801 à 1925, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol et de 1926 à 2016 dans l'arrondissement d'Arras[1],[26].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Auchel. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1947, rattachée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise et auparavant, depuis 1801, au canton d'Heuchin[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Michel Gosselin    
mars 2008 En cours
(au 11 février 2022)
Jean Neveu DVD Agriculteur exploitant
Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28],[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre une école primaire[32].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Diévalois[34].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 721 habitants[Note 4], en diminution de 3,99 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
664634632722775785783793825
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
822827825810771829807675686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
743786822769731697736700706
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
747699678656653665701710774
2015 2020 2021 - - - - - -
751725721------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 376 hommes pour 366 femmes, soit un taux de 50,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
0,8 
6,5 
75-89 ans
10,1 
15,5 
60-74 ans
17,0 
19,6 
45-59 ans
19,0 
20,7 
30-44 ans
20,7 
15,8 
15-29 ans
12,0 
20,4 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • André Eloy (1864-1947), missionnaire et évêque, né à Diéval.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Diéval Blason
Écartelé: aux 1er et 4e d'azur à trois dragons d'or, aux 2e et 3e d'or à trois lions naissants de gueules, armés et lampassés d'argent[41].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bajuelle (E3661630 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Biette (E3660620 ) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Diéval et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « ZNIEFF 310030050 - Les Coteaux et bois d'Ourton », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  21. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 270 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  22. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 46, lire en ligne.
  23. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  26. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur pas-de-calais.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Diéval: Jean Neveu réélu maire dans une ambiance bon enfant », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. Alexis Degroote, « À Diéval, pour la défense incendie, les appels d’offres ont été lancés : Le conseil présidé par Jean Neveu n’a pas chômé, depuis le début du mandat, avec des travaux à la salle polyvalente ou encore à l’école. Un rythme de projets qui va se poursuivre avec, entre autres, la défense incendie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « École primaire », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  33. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Diéval (62269) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  41. « 62269 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).