Grévillers

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Grévillers
Grévillers
Une vue large du village et de son cimetière militaire britannique.
Blason de Grévillers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Lorent
2020-2026
Code postal 62450
Code commune 62387
Démographie
Gentilé Grévillois
Population
municipale
355 hab. (2021 en diminution de 3,01 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 06′ 23″ nord, 2° 48′ 43″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 136 m
Superficie 6,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bapaume
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Grévillers
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Grévillers
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Grévillers
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Grévillers

Grévillers [ɡʁevile] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Grévillois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.

La commune est décorée de la croix de guerre 1914-1918.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisée dans l'extrême sud-est du département du Pas-de-Calais, Grévillers est une commune rurale, limitrophe du département de la Somme, située à 4 km à l'ouest de la commune de Bapaume et qui fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bapaume.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes, dont deux dans le département de la Somme :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,35 km2 ; son altitude varie de 108 à 136 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[8]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Une entrée de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Grévillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bapaume, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), prairies (8,1 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 29[16].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 6 km au sud-ouest de la gare d'Achiet, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Gresviler en 1145 (abb. d’Eaucourt), Grizvileir au XIIe siècle (cart. de Saint-Vaast, p. 281, Grieviler en 1207 (cart. du chap. d’Arr., fo 24 ro ), Greviler en 1301 (chap. d’Arr., Petit et Grand Commun), Griviller en 1330 (ch. d’Art., A. 510), Glevillers 1375 (Arch. nat., J. 790, no 28), Grevillés en 1718 (Arch. nat., Q1. 915)[18]; Grevillers en 1793 ; Grevillers et Grévillers depuis 1801[1].

Selon Maurits Gysseling, Grévillers proviendrait du latin médiéval « grīsum villare », ferme grise[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur vers 1750.

La carte de Cassini ci-dessus montre, qu'au XVIIIe siècle, Grévillers est une paroisse située sur une hauteur entre deux vallées dans lesquelles est figuré un ruisseau qui est tari aujourd-hui.

Un moulin à vent en bois fonctionnait au nord-ouest près de la Chapelle Notre-Dame aujourd'hui disparue. Son nom est évoqué dans le lieu-dit Fond de la chapelle.
Au sud est représenté un calvaire en pierre.

Avant la Révolution française, Grévillers était le siège d'une seigneurie[20].

Seigneurs de Grévillers[modifier | modifier le code]

  • Wallerand Obert, écuyer, est en 1585, seigneur de Grévillers, Gaudiempré, conseiller du roi Philippe II, procureur général en la province d'Artois. L'élection d'Artois rend une sentence le déclarant noble le [20].
  • Vers 1701, Louis François Obert, écuyer, est seigneur de Grévilers. Il a épousé Florence de Lannoy. Leur fille Albertine Françoise, née en 1683, épouse le à Lille Hippolyte Joseph Déliot, né en mai 1670 à Lille, écuyer, seigneur des Landres[21].
  • En 1761, Aimable Amand Joseph Obert (1724-1794), écuyer, est seigneur de Grévillers. Il est le fils de Maximilien François Obert, écuyer, seigneur de Courtembus et de Marie Françoise d'Angre. Il nait en décembre 1724 et meurt à Armentières le . Il épouse par contrat passé à La Chapelle d'Armentières le Marie Augustine Déliot (1737-1820), fille d'Hippolyte Joseph Ignace Déliot, écuyer, seigneur des Roblets, de la Croix, bourgeois de Lille, marguillier de La Madeleine, et de Marie Joseph Colette Petitpas, dame de Carnin. Elle est également la petite-fille d'Albertine Françoise Obert ci-dessus. Aimable Amand Joseph Obert est administrateur de la Noble famille à Lille (institution recueillant des jeunes filles nobles tombées dans l'indigence) en 1785[22].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dès , le village est occupé par les Allemands. Les habitants vivront pendant deux ans sous le joug de l'occupant avec brimades, requisitions, travaux forcés…. Dauthuille, habitant de Grévillers réfugié à Niort, a relaté, dans un cahier conservé aux Archives de la Charente, toutes les souffrances endurées par les Grévillois pendant cette période. Ce recueil est consultable sur le site de la Bibliothèque nationale de France (BnF)[23].
Le village, évacué de ses habitants, rasé par les Allemands en avant leur retrait sur la ligne Hindenburg, passe aux mains des troupes britanniques jusqu'en où il repassera de nouveau sous le contrôle des Allemands lors de l'offensive du Printemps. Ce n'est que fin que le secteur sera définitivemant libéré.
Le village est complètement détruit. Peu à peu les habitants reviendront de leur lieu d'évacuation et commenceront, avec l'aide des dommages de guerre, une période de reconstruction qui durera plus de dix ans.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bapaume, depuis 1801[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Paul Lequette    
2014 En cours
(au 15 janvier 2015)
Jean-Pierre Lorent   Ancien cadre[24],[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 96)[28].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Grévillois[30].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 355 habitants[Note 4], en diminution de 3,01 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
658680738675755762800776785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
759796804730736711681668606
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
612622558354395368330334346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
363362331330326331364373372
2018 2021 - - - - - - -
364355-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 187 hommes pour 177 femmes, soit un taux de 51,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,7 
8,6 
75-89 ans
10,2 
16,0 
60-74 ans
15,3 
26,2 
45-59 ans
23,2 
19,3 
30-44 ans
20,3 
11,2 
15-29 ans
13,6 
17,6 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Grévillers Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois chandeliers d'or[39].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Grévillers et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. DREAL, « Atlas de paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « Atlas de paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bapaume », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  17. « Distance entre la commune et la gare d'Achiet », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  18. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
  19. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 424 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  20. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 164, lire en ligne.
  21. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 39, lire en ligne.
  22. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 40, lire en ligne.
  23. « Une commune libérée adoptée en Charentes : Grévillers », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  24. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  25. « Projet des maires à Grévillers : réalisation d’une nouvelle mairie : Élu le 4 avril pour succéder à Paul Lequette qui avait annoncé son intention de ne pas briguer un nouveau mandat de maire, Jean-Pierre Lorent compte poursuivre la mise en place des réserves incendie prévue par son prédécesseur tout en réalisant plusieurs projets dont la réalisation d’une nouvelle mairie sur le site de l’ancienne salle des fêtes. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  28. « Annuaire des établissements scolaires de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  29. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  30. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Grévillers (62387) », (consulté le ).
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