Écuires
Écuires | |||||
![]() La mairie bâtie en 1932. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | CA des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Philippe Cousin 2020-2026 |
||||
Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62289 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Écuiriens | ||||
Population municipale |
694 hab. (2020 ![]() |
||||
Densité | 76 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 26′ 50″ nord, 1° 45′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 5 m Max. 65 m |
||||
Superficie | 9,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Montreuil-sur-Mer (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Berck | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier ![]() |
Écuires est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
La commune est limitrophe, au nord, de la commune de Montreuil-sur-Mer, le chef-lieu d'arrondissement.
Localisation[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
|
Paysages[modifier | modifier le code]
La commune est située à la jonction de deux paysages tel que définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[2] :
- le « paysage montreuillois », qui concerne 98 communes, et qui se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [3] ;
- le « paysage du val d’Authie », qui concerne 83 communes, et qui se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
- Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
- L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[4].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Écuires est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montreuil, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[8] et 6 599 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), prairies (9,3 %), zones urbanisées (7,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par les routes départementales D 139, D 145 et D 145 E1. Le sud de son territoire est traversée par la la D 939 qui relie Cambrai et Le Touquet-Paris-Plage[14].
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
La commune se trouve à 3 km, au sud, de la gare de Montreuil-sur-Mer, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[15].
Transports en commun[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par la ligne 2 du réseau de transport de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM).
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Squira en 1042, Escurae en 1079[16], Esquir en 1100[17], Hescuir en 1134[18], Escuir en 1154, Scuir en 1197[19], Escuirs en 1202[20], Eschuir en 1209[20], Esquiers en 1282[21], Escuyre en 1522, Ecuirs en 1739, Escuires en 1793[22],[23], Escuires en 1793, Ecuires et Écuires depuis 1801[24].
Le nom de la commune viendrait de escure, xhure, escury ou escuierie signifiant « grange » ou « écurie » en oïl.[réf. nécessaire]
Histoire[modifier | modifier le code]
François Thomas Groux fut le dernier survivant des guerres napoléoniennes de la commune. Né à Écuires le , il y meurt le à l'âge de 83 ans. Conscrit de la classe 1813, il entre comme aspirant-canonnier au 4e régiment d'artillerie de marine le , participe aux campagnes d'Allemagne (1813) et de France (1814) au sein du 6e corps d'armée. Il revient à la vie civile à la chute de l'Empire (). Médaillé de Sainte-Hélène, François Thomas Groux était pensionné au titre de la loi du (brevet de pension no 61515)[26].
Durant la Première Guerre mondiale, des garnisons militaires de Terre-Neuve sont passées par Écuires.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[24].
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune faisait partie du canton de Saint-Josse (1793), depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements, puis du canton de Montreuil[24].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, elle est maintenant rattachée au canton de Berck qui passe de 10 à 31 communes[27].
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Le département gère le collège du Bras-d'Or[32].
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
Justice[modifier | modifier le code]
La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[33].
Sécurité[modifier | modifier le code]
La commune est sous la compétence territoriale de la brigade de gendarmerie située au no 567 rue de Paris à Écuires[34],[35].
Secours[modifier | modifier le code]
La commune est sous la responsabilité du centre d'incendie et de secours (CIS) de Montreuil, situé au no 130, Chaussée-Marcadée[36].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Écuiriens[37].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2020, la commune comptait 694 habitants[Note 5], en diminution de 11,37 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 348 hommes pour 361 femmes, soit un taux de 50,92 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs[modifier | modifier le code]
En novembre 2022, le complexe sportif évolutif couvert (COSEC) de la commune accueille la 26e édition du tournoi international de baby-foot et ses 320 joueurs venus de nombreux pays d’Europe. La compétition se déroule sur 62 baby-foot de la marque Bonzini[43].
Cultes[modifier | modifier le code]
La commune dispose d'un lieu de culte, l'église Saint-Vaast.
Le territoire de la commune est rattaché à la paroisse de « Saint Josse en montreuillois » au sein du doyenné de Berck-Montreuil, dépendant du diocèse d'Arras. Ce doyenné couvre 68 communes[44].
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Monument historique[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Vaast fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [45].
-
La nef et le chœeur. -
Vitrail du chœur. -
Rose au dessus de l'entrée. -
Fonts baptismaux.
-
Vierge à l'enfant en bois sculpté ciré. -
Pietà en bois sculpté. -
Enfeu gothique dans le chœur.
Autres monuments[modifier | modifier le code]
- Le monument aux morts, inauguré le [46].
- Le calvaire.
- Le pigeonnier.
- Le château.
-
Le monument aux morts.
-
Le calvaire du cimetière.
-
Le pigeonnier.
-
Le château.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | D'azur semé de fleurs de lys d'or, à l'écusson d'argent chargé d'une grange de gueules[47]. |
---|---|---|
Détails | ![]() Le champ fleurdelysé serait celui de l'abbaye royale de Saint-Saulve, seigneur d'Écuires. Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Écuires » sur Géoportail.
- relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- relatif au canton, [lire en ligne]
- relatif à l'intercommunalité, [lire en ligne]
- relatif au département, [lire en ligne]
- relatif à la France, [lire en ligne]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montreuil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare de Montreuil-sur-Mer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dans le cartulaire d'Auchy.
- Dans le cartulaire de Saint-Saulve.
- Dans le cartulaire de Dommartin.
- Dans le cartulaire de Valloires.
- Dans le cartulaire de Montreuil.
- Dans le cartulaire de Mareuil.
- Jacques Mahieu : Noms des lieux des cantons d'Étaples et d'Hucqueliers et de leurs confins ainsi que du littoral du Marquenterre, Mémoire d'Opale n° 3, p. 22-39.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 130.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Frédéric Mathieu, Napoléon, les derniers témoins, Massy, Éditions Sébirot, , 268 p. (ISBN 978-2-9532726-0-4).
- « Liste des communes composant le canton », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- J.-C. L. (CLP), « Philippe Cousin, maire d’Écuires : « Ma priorité c’est l’assainissement, rue du Marais » : Deuxième mandat pour Philippe Cousin, 60 ans, officier de gendarmerie à la retraite. Il souhaite plus de communication et de participation de la part de la CCM pour les communes et leurs habitants », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Collège du Bras-d'Or », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- « Brigade de gendarmerie d'Écuires », sur lannuaire.service-public.fr (consulté le ).
- « Compétence territoriale gendarmerie et police nationales », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « CIS du Pas-de-Calais », sur Le site du centre départemental d'incendie et de secours (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écuires (62289) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Philippe Lambert, « Participation record au tournoi de baby-foot du Montreuillois », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Doyenné de Berck Montreuil », sur Diocèse d'Arras (consulté le ).
- « Église Saint-Vaast », notice no PA00108266, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « monument aux morts de Widehem », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Banque du Blason