Estrée-Cauchy

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Estrée-Cauchy
Estrée-Cauchy
La mairie.
Blason de Estrée-Cauchy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Dorothée Opigez
2020-2026
Code postal 62690
Code commune 62314
Démographie
Gentilé Estréens
Population
municipale
354 hab. (2021 en diminution de 5,85 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 55″ nord, 2° 36′ 37″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 171 m
Superficie 3,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bruay-la-Buissière
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Estrée-Cauchy
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Estrée-Cauchy
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Estrée-Cauchy

Estrée-Cauchy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Estréens.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Estrée-Cauchy est située dans l'arrondissement de Béthune, appartient au canton de Bruay-la-Buissière et se situe à moins de 20 km de Lens, Béthune et Arras. La superficie du village est d’un peu moins de 400 hectares. Pour comparaison, la taille moyenne des communes à l’échelle nationale est de 1 500 hectares et à l’échelle départementale de 745 hectares.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 858 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 21 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Estrée-Cauchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,2 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (6,3 %), forêts (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 341, appelée chaussée Brunehaut qui relie Sainte-Catherine et Saint-Martin-Boulogne[13].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 6 km, au nord, de la gare d'Aubigny-en-Artois, située sur la ligne d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Estrees en 1096 ; Strees de 1154 à 1159 ; Streies de 1168 à 1169 ; Stratæ in Calcheia au XIIIe siècle ; Estrées en le Cauchie en 1283 ; Estrées en la Chaucie en 1298 ; Estrées en le Caulchie en 1501 ; Estrées la Cauchie en 1501 ; Estrée-Cauchie en 1720 ; Cauchie-lès-Houdain en 1739[15], Estrées Cauchy en 1793 ; Estrée et Estrée-Cauchy depuis 1801[16]..

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie constituée de couches/strates d'empierrement », par opposition à rupta (via) "rompue" / taillée dans la roche >d'où le mot "route". Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[17]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[18] (dans le Midi, l'équivalent est "Estrade" ou "Lestrade"). Ici, il s'agit de la voie romaine, dite Chaussée Brunehaut, reliant Arras à Thérouanne, appelée aujourd'hui dans ces environs route départementale 341.

Cauchie est une variante picarde du français "chaussée". Toponyme issu du latin calceata.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'actuelle route départementale D 341 suit l'ancestrale chaussée Brunehaut. Voie romaine suivant un tracé vraisemblablement néolithique et/ou gaulois, la chaussée Brunehaut relie à l’époque les villes d'Arras et de Thérouanne (grand centre stratégique à l’époque romaine). Cette chaussée, empreinte encore de nos jours de nombreuses légendes, structure encore particulièrement les voies de circulation artésiennes.

Les premières traces archéologiques sont d’origine romaine avec notamment la découverte de plus de 20 000 pièces d’or romaines datant du IIIe siècle apr. J.-C. Il convient de noter qu'une occupation néolithique, puis gauloise (tribus gauloise des Atrébates) de la région, est prouvée sans que les traces ne se lisent à Estrée-Cauchy. L’occupation franque de la zone est avérée par la découverte de tombes mérovingiennes. Les guerres de religion opposant notamment France et Espagne aux XVIe et XVIIe siècles ont fait des ravages au sein de la commune, l’église Saint-Pierre fut notamment détruite à plusieurs reprises par les Français (l’Artois étant alors espagnol).

Lors de la Révolution, le seigneur Louis Ignace Josef de Baillencourt fut guillotiné. Son château fut par la suite détruit pour laisser place à l’actuelle mairie. En termes d’équipement agricole, il faut se souvenir de la présence de trois moulins à vent dont un était la possession de l’abbaye du Mont-Saint-Eloi au XVIe siècle. Notons également l'importance historique et religieuse de la croix en grès en bordure de la chaussée Brunehaut qui daterait du XVIe également. Le christ en bronze de celle-ci était avant 1883 en bois.

Historique de l'église Saint Pierre[modifier | modifier le code]

L'existence de l'église est avérée par les témoignages d'habitants lors d'une enquête fiscale au XVIe siècle. Détruite par trois fois en 1537, 1596 et 1640, il ne reste de la construction originelle que le soubassement en grès. Le clocher de l'église avait également une vocation défensive comme en témoigne l'existence ancienne d’une tour de garde et de nombreuses embrasures de tir.[réf. souhaitée]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[16].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bruay-la-Buissière. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Houdain[16].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 1995 Albert Lambert PS  
mars 2001 mars 2008 Jean-Marie Molenda    
mars 2008 2020 Colette Buirette   Réélue pour le mandat 2014-2020[19],[20],[21]
3 juillet 2020 En cours
(au 18 février 2022)
Dorothée Opigez   Cadre de la fonction publique[22],[23]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre une école primaire[24].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Estréens[26].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 354 habitants[Note 3], en diminution de 5,85 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
330340314362361350361356372
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
361358359378401400426386385
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
396377416407363369373328322
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
346276288309320321364386369
2014 2019 2021 - - - - - -
375364354------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 185 hommes pour 183 femmes, soit un taux de 50,27 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,1 
7,1 
75-89 ans
4,4 
16,4 
60-74 ans
13,8 
20,2 
45-59 ans
19,3 
19,7 
30-44 ans
26,0 
14,2 
15-29 ans
11,0 
21,9 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Pierre : détruite à trois reprises lors des guerres de religion, elle ne garde de sa construction d'origine que son soubassement en grès[32]. Elle héberge un élément patrimonial, le calice, répertorié dans la base Palissy, classé au titre d'objet des monuments historiques[33].
  • « Esmanuelle » : l'ancienne cloche qui date du XVIIIe siècle est exposée à quelques pas du clocher.
  • Sur le site du château qui appartenait à la famille de Baillencourt, ont été construites la mairie (XIXe siècle) et deux fermes. L'une d'elles comprend un pigeonnier datant de la fin du XVIIe siècle mais a été détruite à la fin des années 1990.
  • La croix de grès (sur la chaussée Brunehaut) présente les mêmes caractéristiques que celle de Verdrel et date du XVIe siècle.
  • Le monument aux morts[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Estrée-Cauchy Blason
D'argent fretté de sable ; au chef d'or chargé de trois merlettes de sable[35].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Estrée-Cauchy et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  14. « Distance entre la commune et la gare d'Aubigny-en-Artois », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  15. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  16. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
  18. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
  19. Cécile Rubichon, « Bilan du maire d’Estrée-Cauchy: « On a la sensation que la commune bouge plus », aux électeurs de juger : Redynamiser le village. C’était « LA » promesse de campagne de Colette Buirette et son équipe en 2008. Trois assos ont été créées, des événements sportifs, culturels et populaires rythment désormais la vie de la commune. Une commune qui a retrouvé son église, fermée depuis des années. Et des finances saines, dont le maire espère profiter au cours d’un second mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  21. Cécile Rubichon, « Estrée-Cauchy : « L’envie furieuse » de soutiens pour réaliser quelques gros projets : Ses vœux, le maire d’Estrée-Cauchy les a terminés sur des paroles de Brel, citant « Les souhaits aux aventuriers de la vie ». En 2015, l’aventure partira de la rénovation de la chaussée Brunehaut. Deux autres gros chantiers lui sont liés. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  24. « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  25. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  26. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrée-Cauchy (62314) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  32. Matthieu Botte, « Estrée-Cauchy : l’église a retrouvé sa place forte au cœur du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
  34. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  35. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).