Sailly-au-Bois
Sailly-au-Bois | |||||
Une vue de la commune. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat |
Georgette Mikolajczak 2020-2026 |
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Code postal | 62111 | ||||
Code commune | 62733 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saillysiens | ||||
Population municipale |
287 hab. (2022 ![]() |
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Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 07′ 17″ nord, 2° 35′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 113 m Max. 156 m |
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Superficie | 9,28 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-le-Comte | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.saillyaubois.fr | ||||
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Sailly-au-Bois [saji o bwa] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Saillysiens. La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et limitrophe du département de la Somme, Sailly-au-Bois est une commune rurale située à 20 km à l'ouest de la commune de Bapaume et à 24 km au sud-ouest de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont cinq, Colincamps, Courcelles-au-Bois, Coigneux, Bertrancourt et Bayencourt, dans le département de la Somme . Les communes limitrophes sont Bayencourt, Bertrancourt, Coigneux, Colincamps, Courcelles-au-Bois, Foncquevillers et Hébuterne.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 9,28 km2 ; son altitude varie de 113 à 156 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[2], n'est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par aucun cours d'eau[3],[Carte 1].

Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 844 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[10]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[11].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sailly-au-Bois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[Insee 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[Insee 3],[Insee 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,6 %), zones urbanisées (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Saliacum cum Theobita silva en 674 ; Salciacum en 765 ; Salti en 1135 ; Saltis en 1140 ; Salli vers 1150 ; Salgi de 1159 à 1168 ; Silli en 1186 ; Sailly in Nemore au XIIe siècle ; Sailliacum en 1200 ; Sailli in Bosco, Salliacum in Boscho en 1257 ; Sailliachum, Sailli au XIIIe siècle ; Sali ou Bos en 1308 ; Sailly ou Bos au XIVe siècle ; Sailliacum in Bosco en 1431 ; Sailly-au-Bois en 1759[14] ; Sailly au Bois en 1793 et Sailly-au-Bois depuis 1801[1].
Le nom de Sailly (attestation Saliacum, en 674) proviendrait d'un nom d'homme gallo-romain, Salius, et du suffixe -acum[15], latinisation du suffixe gaulois -*acon. Il s'agit donc probablement d'une propriété rurale d'origine gallo-romaine, ou à la rigueur de l'Antiquité tardive.
Ce nom composé forme en réalité un pléonasme, puisque Sailly vient de saltus qui signifie bois[16] ; mais cette redondance de mots devint nécessaire pour ne pas confondre ce village avec les autres paroisses d'Artois qui ont la même dénomination.
Sailly-au-Bois cède en 1849, avec la commune de Mailly-Maillet, une partie de son territoire, sur l'ancienne frontière de Picardie en limite du Pas-de-Calais, qui donne naissance à la commune de Colincamps dans le département de la Somme. Colincamps est un ancien hameau de Sailly-au-Bois[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sailly-au-Bois était divisée en deux sections, séparées par le ruisseau qui le traverse et qui va se jeter dans l'Authie : sur la rive gauche se trouvait l'ancienne paroisse avec la plus grande partie du village appartenant à la Picardie ; la rive droite qui était sur l'Artois, comprenait la nouvelle paroisse, le château et le bois.
L'église paroissiale de Sailly était donc originairement sur la Picardie, et s'appelait aussi église d'en haut ; ce n'était guère qu'une grande chapelle, dédiée à la Vierge, et placée au milieu du cimetière : aussi a-t-elle servi de sépulture aux seigneurs de l'endroit. Cette chapelle qui avait déjà le titre de cure en 1362, existe encore aujourd'hui.
La translation de la paroisse à l'église d'en bas, dédiée à saint Jean-Baptiste, remonte au temps de la domination espagnole : à cette époque, les seigneurs de Sailly, trouvant plus commode de ne pas sortir de leur province pour aller à l'office divin, firent ériger la chapelle du château en cure qui était à la nomination du chapitre d'Arras. La tour actuelle porte le millésime de 1749, date de son érection. Quant à l'église, elle fut reconstruite en 1778 et n'eut pas trop à souffrir des excès qui désolèrent la fin du dernier siècle.
La seigneurie de ce village dépendait de la châtellenie de Pas : en 1243, nous voyons le sire Baudouin de Sailly in bosco donner à Saint-Vaast cinquante mencaudées de terre, et confirmer trente ans plus tard, un arrangement conclu entre le chapitre d'Arras et Simon, seigneur de Saint-Amand. Son successeur assistait comme pair aux plaids du comte, en 1285. Cette terre qui avait le titre de baronnie, passa par mariage dans la famille de Saveuse au XVe siècle, et arriva définitivement à la famille de Belleforière, dont est sorti le comte Jean-Maximilien-François de Belleforière, colonel d'infanterie, qui fit placer en 1705 dans l'église de Sailly-au-Bois un marbre noir à la mémoire de ses ancêtres qui y étaient inhumés.
Il paraît qu'en 1748 cette seigneurie était en litige entre les familles de Belleforière et de Créquy-Frohen, mais elle resta à la première de ces deux maisons (Recueils du P. Ignace, t.II, f. 106).
Le château de Sailly, situé près de la nouvelle église, était autrefois une forteresse dont il est resté longtemps des traces de fossés ou retranchements (Titres d'Artois, p. 317, Archives de Lille). Il était contigu à une forêt, près de laquelle un combat s'est livré au XVIIe siècle et qu'on nomme encore Bois de Bataille en souvenir des expéditions militaires dont elle fut le témoin. Le soir de la bataille de Bapaume (), Sailly-au-Bois fut envahie par un détachement de cavalerie prussienne qui y passa la nuit.
Deux hameaux dépendent de Sailly-au-Bois : Muternoy et Colincamps. Muternoy est une cense qui fut rebâtie en 1724 par les Brigittines d'Arras, à qui elle avait été vendue à la fin du XVIIe siècle. C'était une dépendance de la châtellenie de Pas. Colincamps, sur l'ancienne frontière de Picardie, est une terre que Marie de Habarcq, morte en 1570, avait apportée en mariage à Gilles de Lens[17].
D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Sailly-au-Bois, en 1789, faisait partie de la gouvernance d'Arras et suivait la coutume d'Artois. Son église paroissiale, diocèse d'Arras, doyenné de Pas, district de Monchy-au-Bois, était consacrée à la Décollation de saint Jean-Baptiste ; le chapitre d’Arras présentait à la cure[18]. »
La commune est décorée de la croix de guerre 1914-1918 par décret du , distinction également attribuée à 276 autres communes du Pas-de-Calais[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 5].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Le , la commune quitte la Communauté de communes des Deux Sources pour intégrer la Communauté de communes du Sud-Artois. Cette communauté de communes du Sud-Artois regroupe 64 communes et totalise 27 059 habitants en 2021[Insee 5].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte[Insee 5].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[20].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Saillysiens[26].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2022, la commune comptait 287 habitants[Note 5], en évolution de −6,51 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 151 hommes pour 157 femmes, soit un taux de 50,97 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Jean-Baptiste.
- Le monument aux morts, surmonté d'une croix de guerre[31].
- La chapelle du cimetière.
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L'église Saint-Jean-Baptiste.
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Le monument aux morts.
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La chapelle du cimetière.
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Le marbre bleu dans la chapelle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
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Blason | De sable semé de fleur de lis d'or, à l'écusson d'argent chargé d'un arbre de sinople, brochant sur le tout[32].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel de la commune
- Dossier de la commune sur la base nationale sur les intercommunalités (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 7], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ « Réseau hydrographique de Sailly-au-Bois » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
[modifier | modifier le code]- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Sailly-au-Bois ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sailly-au-Bois (62733) », (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ « Fiche communale de Sailly-au-Bois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Sailly-au-Bois et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- ↑ Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984.
- ↑ Claude Millier, « Préface » de La Forêt paysanne dans l'espace rural : biodiversité, paysages, produits, par Gérard Balent, INRA, , p. 5.
- ↑ Archives départementales du Pas-de-Calais, Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais, tome 2, page 214 et 215.
- ↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
- ↑ « Communes décorées de la Croix de guerre 1914 - 1918 » [PDF], sur Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51) (consulté le ), p. 69.
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Archives Départementales du Pas-de-Calais - Almanachs
- ↑ « Le bilan des maires - Sailly-au-Bois : une commune qui essaie de développer son tourisme : Pas facile de joindre un maire qui travaille. Nous n'avons pu, à notre grand regret, le rencontrer pour réaliser cet article. À la frontière de la Picardie, à laquelle la paroisse était jadis attachée, le village affiche des ambitions touristiques et propose des chambres d'hôtes et une discothèque, le Dream's, qui est ouverte tous les week-ends », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Sailly-au-Bois: Georgette Mikolajczak succède à Yves Pinson », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Nicolas André, « Sailly-au-Bois : « Le patrimoine communal a besoin d'entretien » : Georgette Mikolajczak, a été choisie pour assurer la succession d'Yves Pinson. Sa priorité sera de faire réparer la toiture de l'église et de restaurer les chaussées cabossée », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Christophe Hautecœur, « Georgette Mikolajczak réélue pour un deuxième mandat à Sailly-au-Bois : Mardi soir, les membres du conseil municipal se sont retrouvés à la salle de réunion de la mairie, à huis clos, pour l'élection du maire et des adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ Armorial de France, p. 7410