Inxent

Inxent
Inxent
La mairie d'Inxent.
Blason de Inxent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Dominique Bigand
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62472
Démographie
Gentilé Inxentois
Population
municipale
158 hab. (2021 en diminution de 5,39 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 02″ nord, 1° 47′ 03″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 113 m
Superficie 3,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Berck
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Inxent
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Inxent
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Inxent

Inxent est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par trois cours d'eau :

  • la Course, une rivière d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve côtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1] ;
  • le Beussent, petit cours d'eau naturel de 2,95 km, qui prend sa source dans la commune de Bernieulles et se jette dans la Course au niveau de la commune[2] ;
  • la rivière des fontaines, petit cours d'eau naturel de 3,32 km, qui prend sa source dans la commune de Beussent et se jette dans la Course dans la commune de Recques-sur-Course[3].

Paysages[edit | edit source]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[4]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[5].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 13 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[12].

Et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[13].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Inxent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), prairies (25,5 %), forêts (12,6 %), zones urbanisées (8,7 %)[19].

La commune s'étend le long de la Course qui prend sa source à Doudeauville et se jette dans la Canche à Attin.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Transport ferroviaire[edit | edit source]

La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

Risque inondation[edit | edit source]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[20].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes (villa) Hainnessendae en 1042; Enessem en 1224; Ynesent en 1257; Ainessent en 1261; Hincssent en 1424; Inessent en 1488; Ynessent vers 1512; Iquessent en 1535; Inquessent en 1553; Inquechem en 1559; Inghessem en 1559; Inquessent en 1562; Ingsent en 1586; Inquesant en 1730, Inxent en 1789[21],[22].

Enessem en flamand[23].

Tout comme pour Beussent, Inxent représente sans doute un nom de personne germanique féminin pris absolument, à savoir Hainsinda[22] et ce, en se référant à la forme la plus ancienne. Cependant, Maurits Gysseling qui n'a pas connaissance de la forme primitive assimile ce toponyme terminé par -(x)ent aux autres noms de lieux locaux terminés par -(s)ent[24] et propose un germanique Aginas haim « maison des gens d’Agino », en réalité *Aginas haim, *haim « habitation, maison, foyer » étant l'étymon germanique occidental supposé du vieux haut allemand heim, du vieil anglais hām, de l'ancien néerlandais et du vieux saxon hēm. En effet, la plupart des noms de lieux des environs terminés par -(s)ent ont des formes très anciennes en -hem qui représentent l'appellatif toponymique germanique *haim (voir Hubersent, Tubersent, etc.).

Histoire[edit | edit source]

Inxent fut appelé Inxent sous la Chaussée au XVIIe siècle car « proche du chemin militaire des Romains » (la voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan[25].

Le panneau d'information.

Un panneau émaillé destiné à l'information des visiteurs est fixé à l'entrée de l'église. Voici, in extenso, le texte qu'il contient :

« Inxent
Sous la protection de saint Antoine
....Une seigneurie et un château sont attestés en 1350. Ils sont la propriété des seigneurs de Montcavrel, puis de leurs successeurs les De Monchy. D'abord nommée Innocent puis Inquessent, ce n'est qu'en 1792 que l'agglomération adopte le nom d'Inxent.
Ce village rue s'est installé au bord de la Course au cœur d'un paysage de fond de vallée composé de pâturages, d'alignements de saules têtards et de peupleraies.
Cet environnement bucolique attire à Inxent les touristes et résidents secondaires dès la fin du XIXe siècle. Dans l'entre-deux-guerres, une famille d'industriels confie à l'architecte Louis Quételart la rénovation de la ferme d'Amour et la construction en vis-à-vis d'une villa baptisée Le Vert-Coteau. Elevée sur le versant de la vallée, cette demeure aux allures de cottage évoque l'architecture touquettoise et le style Quételart caractérisé par de vastes toitures, des doubles pignons et des oculi.
Cet habitat de type balnéaire voisine des maisonnettes en torchis et pans de bois, à l'image de l'auberge située face à l'église de La Nativité.
A l'intérieur, quelques objets de dévotion rappellent que saint Antoine fait l'objet d'un culte toujours vivace dans la paroisse. Né en Haute Egypte vers 251, saint Antoine se retire dans le désert pour y vivre en ermite. Au XIe siècle, ses reliques parviennent à l'abbaye de Saint-Antoine-Viennois en Dauphiné. Cet établissement est à l'origine de l'ordre des antonins spécialisés dans l'accueil des malades souffrant des maladies contagieuses, notamment le mal des ardents ou le feu de Saint-Antoine, sorte d'épilepsie engendrée par l'ergot du seigle. Dès le Moyen Age, de nombreux foyers de culte se développent en Boulonnais, en Picardie et dans les Flandres. Dans le Montreuillois, le pèlerinage d'Inxent reste vivace. Au cours d'une cérémonie religieuse qui a lieu le dimanche le plus proche du 17 janvier, fête du saint, on désigne le roi de Saint-Antoine chargé de préparer tous les offices religieux pendant l'année et d'y faire la quête. Pendant la messe, le «roi descendant» transmet son sceptre à l'effigie de saint Antoine au «roi montant». Le prêtre bénit des petits pains réputés protéger les animaux des épizooties. La cérémonie est suivie d'une procession dans la rue principale du village, menée par un enfant de chœur et les deux rois. »

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[26].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est rattachée au canton de Berck, qui est alors modifié, passant de 10 à 31 communes[27].

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 2014[28] Jean-Claude Routier    
2014 En cours
(au 24 mars 2022)
Patrick Violier   Cadre dans le secteur agricole[29],[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Équipements et services publics[edit | edit source]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Eau et déchets[edit | edit source]

Espaces publics[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

Postes et télécommunications[edit | edit source]

Santé[edit | edit source]

Justice, sécurité, secours et défense[edit | edit source]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Les habitants de la commune sont appelés les Inxentois[33].

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 158 habitants[Note 5], en diminution de 5,39 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
243242268322328303321305300
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
277261253245274269268294317
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
304278245247213214210226201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
211190177170157158158171163
2021 - - - - - - - -
158--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 81 hommes pour 81 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,2 
8,5 
75-89 ans
12,3 
19,5 
60-74 ans
29,6 
31,7 
45-59 ans
24,7 
9,8 
30-44 ans
11,1 
13,4 
15-29 ans
12,3 
17,1 
0-14 ans
8,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

Sports et loisirs[edit | edit source]

Vie associative[edit | edit source]

Cultes[edit | edit source]

Médias[edit | edit source]

Économie[edit | edit source]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Revenus de la population et fiscalité[edit | edit source]

Emploi[edit | edit source]

Entreprises et commerces[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Patrimoine religieux[edit | edit source]

  • L'église de la nativité. Simple en apparence, sa construction en brique et en craie a fait l'objet de plusieurs remaniements qui ne permettent pas de la dater avec certitude[39].

Autres monuments[edit | edit source]

  • Un moulin partiellement brûlé en 1976.
  • Une auberge et un parc floral.
  • De nombreuses résidences secondaires du début du XXe siècle.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Inxent Blason
D'argent à la barre d'azur chargée d'un poisson du champ, accompagnée, en chef, de saint Antoine et son porc de gueules et, en pointe, de deux arbres arrachés de sinople rangés en barre.
Détails
Le blason représente Saint Antoine, patron de la paroisse, et la rivière de la Course, symbolisée par la barre et le poisson.

Adopté par la municipalité le .

Pour approfondir[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Beussent (E5410580 ) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière des fontaines (E5410590 ) » (consulté le )
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Inxent et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  21. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 210.
  22. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 361b
  23. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  24. Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 535 (lire en ligne) [1]
  25. M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 405, lire en ligne.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Liste des communes composant le canton de Berck (6210) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  28. Thomas Bourgeois, « Le bilan des maires à Inxent, avec Jean-Claude Routier : « Il faut peut-être que j’appuie sur la pédale de frein » : Voilà seize ans que Jean- Claude Routier est maire d’Inxent, un village de 174 âmes dans la vallée de la Course. Il a consacré son dernier mandat à la défense d’un gros projet : la construction d’un groupe scolaire au sein du RPI. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. J.-C.L. (CLP), « Les projets du maire d’Inxent : créer un pôle éducatif pour regrouper tous les élèves en un seul lieu : Patrick Violier, 56 ans, est maire d’Inxent depuis les dernières élections. Chargé de clientèle, comptable et conseiller de gestion dans le domaine agricole, cet élu sans étiquette souhaite animer son village. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Inxent (62472) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. . « Plus de détails sur l'église de la Nativité d'Inxent » (Article sur Wikipasdecalais).
  40. La plaque commémorative de l'église d'Inxent