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Galametz

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Galametz
Galametz
L'église Saint-Martin.
Blason de Galametz
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des 7 Vallées
Maire
Mandat
Rene Bienaime
2020-2026
Code postal 62770
Code commune 62365
Démographie
Gentilé Galamessins
Population
municipale
203 hab. (2021 en évolution de +2,53 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 45″ nord, 2° 08′ 22″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 131 m
Superficie 4,27 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Galametz
Géolocalisation sur la carte : France
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Galametz
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Galametz
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Galametz

Galametz est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants de la commune sont appelés les Galamessins.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le sud du département du Pas-de-Calais, Galametz est une commune rurale de la vallée de la Canche située à 10 km au sud-est de la commune d'Hesdin.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de trois communes :

Communes limitrophes de Galametz
Wail
Galametz Fillièvres
Quœux-Haut-Maînil

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 4,27 km2 ; son altitude varie de 37 à 131 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3].

Un autre petit cours d'eau draine la commune, le ruisseau de Galametz, d'une longueur de 1,04 km, qui prend sa source dans la commune de Fillièvres et se jette dans la Canche au niveau de la commune[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Galametz[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[11].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[13].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques

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Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 184 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 2 protégées et 0 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[14].

Au , Galametz est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), prairies (16 %), forêts (7,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par les routes départementales D 122 et D 340 reliant Hesdin et Frévent[20].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 11 km au sud-est de la gare d'Hesdin, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[21].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Galamni mansus en 1042 ; Galantines lire : Galantmes en 1120 ; de Galatinis lire : Galatmis en 1124 ; Galami mansus en 1154 ; Galanmeis en 1163 ; Galames, Galandi mansus, Galantmeis au XIIe siècle ; Galameis, Calamers en 1216 ; Galemers en 1367 ; Galamers en 1380 ; Galemer au XIVe siècle[22] ; Galametz en 1793 et 1801[1].

Avant la Révolution française, Galametz est le siège d'une seigneurie qui appartenait au début du XVIIe siècle à la famille de Bernemicourt. Elle fut achetée en 1693 par Pierre-Félix de Jonglet et passa par alliance vers 1702 à la famille Tolomey et en 1723 à la famille de Brandt. En mars 1758, les terres et seigneuries de Galametz, Marconne, d'Amplier et du Quint d'Orville sont érigées en comté en faveur d'Alexandre-François-Ignace de Brandt. Sa descendance fut seigneur de Galametz jusqu'à la Révolution[23].

Pendant la Première Guerre mondiale, en février 1916, des soldats français ont cantonné sur la commune d'Erquières, et les villages voisins Fontaine-l'Étalon, Wail, Galametz, Vacqueriette. Ces troupes ont fait étape dans ces communes avant de se diriger vers leurs lieux de cantonnements situés à proximité du centre d'instruction de Saint-Riquier dans la Somme[24].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Cambrin[1].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Michel Deplanque    
mars 2008 En cours
(au 9 mars 2022)
René Bienaimé   Technicien laitier retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020[25],[26],[27]
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 10)[30].

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[31].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Galamessins[32].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 203 habitants[Note 4], en évolution de +2,53 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245160232224254274243260275
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
248256233238226217214210202
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
176161165147135127122126132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
143131124160148157170174200
2018 2021 - - - - - - -
197203-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). Dans le même temps, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, au niveau communal et départemental.

En 2018, la commune comptait 102 hommes pour 95 femmes, soit un taux de 51,78 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,1 
3,9 
75-89 ans
5,3 
17,6 
60-74 ans
21,1 
17,6 
45-59 ans
12,6 
20,6 
30-44 ans
25,3 
9,8 
15-29 ans
12,6 
29,4 
0-14 ans
22,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Galametz Blason
Deux écus[42] :

D'or à la bande de gueules, chargée en pointe d'un croissant versé d'argent, accompagnées de dix billettes de gueules rangées en bande, 1 & 4 en chef et 4 & 1 en pointe.

D'azur à trois flammes d'or.
Détails
Le premier est inspiré des armes de la famille Mathon (du fait de Jeanne-Catherine Mathon, épouse d'Alexandre comte de Brandt de Marconne) et le second reprend les armes de la famille de Brandt de Marconne, dont sont issus les derniers seigneurs de Galametz.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Galametz (E5400520) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Galametz et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Insee, « Métadonnées de la commune de Galametz ».
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  23. Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais arrondissement de St-Pol tome II, Arras, (lire en ligne), p. 817-818
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. Camille Gaubert, « Le bilan de René Bienaimé, le maire de Galametz: la réparation du calvaire est sa plus grande fierté : René Bienaimé ne sait pas encore s’il briguera un deuxième mandat de maire en mars 2014 : « Il me reste encore sept mois de travail ». Il se dit pourtant satisfait de ces cinq ans passés à la tête de la mairie. « Quand je suis devenu premier magistrat, on m’a dit qu’on allait enterrer Galametz. Aujourd’hui, les finances de la commune sont restées saines, malgré les nombreux chantiers lancés. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Galametz : détérioré par les dernières tempêtes, le coq du clocher a été restauré : LES PROJETS DES MAIRES. Retraité, René Bienaimé était technicien laitier. Il est d’abord devenu conseiller puis deuxième adjoint avant d’être élu premier magistrat en 2008. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  31. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  32. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Galametz (62365) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  39. « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  40. Epigraphie du département du Pas-de-Calais tome 6 1er fascicule canton du Parcq, Arras, (lire en ligne), p. 50-51
  41. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  42. « 62365 Galametz (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).