Vacqueriette-Erquières

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Vacqueriette)

Vacqueriette-Erquières
Vacqueriette-Erquières
L'entrée de la commune côté Erquières.
Blason de Vacqueriette-Erquières
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des 7 Vallées
Maire
Mandat
Jean-Paul Lagache
2020-2026
Code postal 62140
Code commune 62834
Démographie
Gentilé Vacqueriettois-Erquiérois
Population
municipale
253 hab. (2021 en diminution de 2,69 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 30″ nord, 2° 04′ 42″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 142 m
Superficie 5,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Hesdin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vacqueriette-Erquières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vacqueriette-Erquières
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Vacqueriette-Erquières
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Vacqueriette-Erquières

Vacqueriette-Erquières est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vacqueriette-Erquières est située à 7 km au sud de Hesdin, 30 km au nord d'Abbeville, 77 km au sud de Lille, et 163 km au nord de Paris

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 5,94 km2 ; son altitude varie de 70 à 142 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3] :

  • les « paysages du val d’Authie, qui concerne 83 communes, se délimitent : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 mètres qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[4] ;
  • les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.
Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 915 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 11 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[12].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vacqueriette-Erquières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,8 %), prairies (22,4 %), zones urbanisées (9,3 %), forêts (2,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Fusion des communes de Vacqueriette et d'Erquières par arrêté préfectoral du 20 novembre 1972.

Vacqueriette est attesté sous les formes Le Vacquerie-lez-Hesdin (1515) ; Vacquerie-lès-Yeauwis (1638) ; Vaqueriette (xviiie siècle) ; Vacqueriette-lez-Hédin (1759)[19].
Le nom viendrait de vacaria, lieu où sont élevées les vaches.

Erquières est attesté sous les formes Esquieres (XIIe siècle) ; Erkueres, Ekeres, Ekyeres (1202) ; Erqueres, Erquieres (1202) ; Herkieres (1255) ; Erkieres (1345) ; Arquieres (1515) ; Erquières-lez-Fontaines (1739) ; Erquier (1761)[19].
Pluriel de l'oïl esquierre, équierre « angle, équerre », « ce qui convient bien à ce village bâti autour de deux carrefours à ce village bâti autour de deux carrefours à angle droit »[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, en février 1916, des soldats français ont cantonné sur la commune d'Erquières, et les villages voisins Fontaine-l'Étalon, Wail, Galametz, Vacqueriette. Ces troupes ont fait étape dans ces communes avant de se diriger vers leurs lieux de cantonnements situés à proximité du centre d'instruction de Saint-Riquier dans la Somme[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de Canche Ternoise jusqu'à sa fusion avec la communauté de communes de l'Hesdinois, est membre depuis le de la nouvelle intercommunalité en résultant, la communauté de communes des 7 Vallées[22].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie depuis 1816 du canton du Parcq[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1995 René Robidet    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2014[23] Gérard Bardé    
2014[24] 2020[25] Sylvie Gaffez-Geiger   Comptable notariale
Morte en fonction
2020 En cours
(au 29mai 2020)
Jean-Paul Lagache,   Artisan retraité[26]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 253 habitants[Note 5], en diminution de 2,69 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
334110320368367366362356343
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
347324302291293251235232241
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
226223218198204210190168216
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
224234319291248247244244250
2018 2021 - - - - - - -
250253-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 128 femmes, soit un taux de 51,20 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,3 
4,9 
75-89 ans
7,8 
26,2 
60-74 ans
18,8 
13,9 
45-59 ans
18,8 
17,2 
30-44 ans
16,4 
16,4 
15-29 ans
15,6 
21,3 
0-14 ans
20,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Notre-Dame. Construite en 1865, elle est détruite durant la Seconde Guerre mondiale et reconstruite par l'architecte Henri Philippe, d’Arras. Les travaux, financés par les dommages de guerre, sont menés entre 1957 et 1960. L'église, de plan rectangulaire, est élevée en brique et couverte de tuile. La nef unique, sous une haute voûte triangulaire, est éclairée par les verrières en dalle de verre de la façade principale et de la façade nord. Le volume du bâtiment se rétrécit au niveau du choeur, en largeur et en hauteur. Le clocher est greffé à l'angle sud-est de l'édifice. Le baptistère est situé sous le porche. On y accède par l'intérieur de l'église.
  • L'église Saint-Firmin, construite en 1852, à Erquières, est entièrement en briques. La nef a un vaisseau et le chœur a trois pans. À la suite d'un glissement du mur côté rue, et de l'apparition de fissures et des chutes de matériaux, un référendum est organisé pour connaître l'avis des habitants sur l'avenir de l'église. Sur 187 votants, 183 viennent s'exprimer : 31 étaient favorables à la réfection de l'édifice, 75 s’expriment pour la démolition, 69 pour la pose d'un grillage de protection autour de l'église, 8 votent blanc ou nuls. Depuis, l'église est toujours là et fermée au public en raison de son mauvais état.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marie-Joseph Fontaine (1737-1801), est une aïeule vacqueriettoise de Dany Boon (1966), comédien et réalisateur français.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Vacqueriette-Erquières

Les armes de Vacqueriette-Erquières se blasonnent ainsi :

d'azur au chevron d'or accompagné de trois branches de bruyère du même.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Vacqueriette-Erquières et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hesdin », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. a et b Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, par le comte de Loisne, 1907.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, Droz, , p. 1450
  21. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  22. Elodie Adjoudj, « Conseil communautaire : 7 Vallées comm, la nouvelle communauté de communes fusionnée prend ses marques : Lundi, 7 Vallées comm a tenu son premier conseil à Marconnelle. L’heure est encore à poser les bases de cette superstructure, à bâtir la colonne vertébrale de ce qui a été qualifié, devant les 88 délégués présents (sur 102 élus) « d’une des plus importantes intercommunalités du département ». C’est dire si le challenge est de taille… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Camille Gaubert, « Un dernier mandat « chargé » pour le maire de Vacqueriette-Erquières, Gérard Bardé : Gérard Bardé s’implique au conseil municipal depuis 1989. En 2001, il devient maire pour la première fois. Il a décidé de ne pas se représenter en mars 2014. « Il faut laisser la place aux jeunes, lance-t-il. Et leur laisser le loisir de développer de nouvelles idées. » Quel sera alors le visage du prochain conseil ? Gérard Bardé ne veut pas s’avancer. « Ce serait un peu précipité », ajoute le maire dont la fin de mandat s’annonce « chargée » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Maryse Degardin, « Vacqueriette-Erquières – « Assurer la sécurité des enfants autour de l’école » : Nous continuons notre série des projets des maires depuis leur élection. Nous allons à la rencontre de Sylvie Gaffez-Geiger, choisie pour la première pour représenter la commune. Sa priorité : la sécurité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Anthony Hoyer, « Vacqueriette-Erquières : Sylvie Gaffez-Geiger, maire du village, est décédée », L'Abeille de la Ternoise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue conseillère municipale en 2008, elle avait été élue maire en 2014. S’appuyant sur son bilan marqué notamment par des travaux de voirie et à l’église de Vacqueriette, elle avait été candidate à sa succession et réélue le 15 mars dernier ».
  26. Mauricette Faÿ, « Jean-Paul Lagache, nouveau maire de Vacqueriette-Erquières : Il est secondé par Dominique Bodescot et Angélique Vervelle, élus adjoints après trois tours de scrutin », Le Journal de Montreuil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat au fauteuil majoral, Jean-Paul Lagache, 60 ans, artisan retraité a été élu avec 9 voix et un blanc. Il débute son 5e mandat en tant qu’élu local ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vacqueriette-Erquières (62834) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).