Aller au contenu

Pomponne (Seine-et-Marne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pomponne
Pomponne (Seine-et-Marne)
La mairie.
Blason de Pomponne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Marne et Gondoire
Maire
Mandat
Arnaud Brunet (DVC)
2020-2026
Code postal 77400
Code commune 77372
Démographie
Gentilé Pomponnais
Population
municipale
4 158 hab. (2021 en évolution de +4,84 % par rapport à 2015)
Densité 580 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 04″ nord, 2° 41′ 21″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 120 m
Superficie 7,17 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lagny-sur-Marne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pomponne
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pomponne
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Pomponne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Pomponne
Liens
Site web pomponne.org

Pomponne est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 1,4 kilomètre au nord-ouest de Lagny[Carte 1], bordée au sud par la Marne et au nord par des forêts.

Elle est proche du parc à thèmes Disneyland Paris (environ 11 kilomètres).

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

L'altitude varie de 37 mètres à 120 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 46 mètres d'altitude (mairie)[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Pomponne.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

  • la Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine, qui borde Pomponne au sud ;
  • le ru du Bouillon ou ru d'Armoin, long de 5,59 km[4], au sud-est ;
  • le ru Venante, 5,64 km[5], au sud-ouest ;
  • le ru Morte Mère, long de 5,40 km[6] ;
    • bras du ru Morte Mère, long de 0,20 km[7] ;
  • le fossé 01 des Cornouillers, 1,57 km[8].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,28 km[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records TORCY (77) - alt : 43m, lat : 48°51'48"N, lon : 2°39'03"E
Records établis sur la période du 01-06-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2,3 4 6,1 9,6 12,7 14,6 14,2 11,2 8,8 5,1 2,9 7,8
Température moyenne (°C) 4,8 5,6 8,3 11,2 14,6 18 20,1 19,8 16,3 12,8 8,1 5,5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,4 8,9 12,6 16,2 19,7 23,2 25,6 25,5 21,5 16,8 11,1 8 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,6
07.01.09
−11,4
07.02.12
−8,6
01.03.05
−3,3
06.04.21
0,4
07.05.1997
2,8
04.06.01
6,6
13.07.1993
5,8
28.08.1998
2
30.09.18
−3,4
30.10.1997
−9,7
24.11.1998
−9,6
29.12.1996
−12,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
17,3
05.01.1999
20,9
27.02.19
26,2
31.03.21
28,8
20.04.18
31,6
27.05.05
36,6
27.06.11
42,1
25.07.19
39,7
11.08.03
35,7
08.09.23
28,7
02.10.11
21,9
07.11.15
17,8
07.12.00
42,1
2019
Précipitations (mm) 57,2 53,2 52,5 50 71,3 57,6 60,5 66,1 53,3 60,5 59,5 74,7 716,4
Source : « Fiche 77468001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17],[Carte 2] :

  • le « Bois de Vaires-sur-Marne », d'une superficie de 96,63 ha, situé en grande partie dans le secteur aval du bassin versant du ruisseau du Gué de l’Aulnay à proximité de sa confluence avec la Marne et constituant une importante zone humide localisée dans un contexte péri-urbain[18],[19].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Pomponne comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 1],[20],[Carte 3] :

  • les « Bois de Brou, bois de Vaires et prairies associées » (396,83 ha), couvrant 5 communes du département[21] ;
  • les « Bois de Luzancy et de Chaalis » (143,69 ha)[22],
  • la « Marne à Vaires-sur-Marne » (89,54 ha), couvrant 8 communes dont 7 en Seine-et-Marne et 1 dans la Seine-Saint-Denis[23] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[20] :

  • la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » (3 619,57 ha), couvrant 17 communes du département[24] ;
  • la « vallée de la Marne de Gournay-sur-Marne à Vaires-sur-Marne » (1 336,91 ha), couvrant 9 communes dont 8 en Seine-et-Marne et 1 dans la Seine-Saint-Denis[25].

Au , Pomponne est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[27],[28]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[28]. Cette aire regroupe 1 929 communes[29],[30].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57% ), zones urbanisées (25,6% ), prairies (6% ), zones agricoles hétérogènes (5,4% ), terres arables (3,7% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[31].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[32],[33],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].

Planification

[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne, Brosse et Condoire, approuvé en février 2013 et dont la révision a été lancée en 2017 par la Communauté d'Agglomération de Marne et Gondoire[34].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[35].

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte 42 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[36] (source : le fichier Fantoir).

En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 1 612 (dont 53,7 % de maisons et 46,2 % d’appartements).

Parmi ces logements, 93,4 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 57,8 % contre 40,9 % de locataires[37].

La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 24,4 %[Note 7].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
Le bâtiment voyageurs de la gare.

Voies ferroviaires

[modifier | modifier le code]

La gare de Lagny - Thorigny se situe en lisière de la limite communale, au sud-est. Desservie par la ligne P du Transilien, elle permet notamment de rallier les gares de Paris-Est et de Meaux.

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Pomponne est desservie directement sur son territoire par deux lignes :

Le nom de la localité est mentionné sous les formes H. de Ponpona en 1107[39] ; V. de Pompone vers 1107[40] ; Pomponia en 1154[41] ; Ponpona vers 1180[42] ; Ponponia en 1224[43].

Ce nom de lieu en pays de langue d'oïl n'a pas de lien autre que son homonymie avec le nom propre Pomponne qui est un sobriquet d'origine occitane, et dont l’étymologie vient de poumpidou : « le palier (de culture), la terrasse ».

Le premier seigneur de Pomponne connu était Philippe Ier de Nanteuil (1155-1227), à la tête de la seigneurie du château de Pomponne. Il a laissé la seigneurie de Pomponne en héritage à son fils Philippe II de Nanteuil († 1258), chevalier combattant (miles), qui fut également trouvère (à l'instar des premiers chevaliers du royaume de France).

Le pouillé parisien du XIIIe siècle indique que la cure relève de la présentation de l'abbé de Saint-Martin de Rurecourt (diocèse de Beauvais)[44].

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Accident ferroviaire

[modifier | modifier le code]

Le en soirée, un train express Paris-Strasbourg lancé à pleine vitesse percute l'arrière d’un train Paris-Nancy qui est à l'arrêt sur la voie ferrée entre Pomponne et Lagny-sur-Marne. La catastrophe fait plus de 200 morts et est, à ce jour, la seconde plus grande catastrophe ferroviaire en France après la catastrophe ferroviaire de Saint-Michel-de-Maurienne en 1917.

Ce train pour Nancy a respecté une signalisation d'arrêt. Il s'agit d'un train supplémentaire mis en place par la Compagnie des chemins de fer de l'Est, qui exploite alors le réseau pour l'Est de la France, pour faire face à l'afflux de voyageurs pour les fêtes de fin d'année. Or souvent pour ces trains supplémentaires, il est encore à l’époque régulièrement utilisé d'anciennes voitures de voyageurs dont la caisse est entièrement en bois, avec seulement le châssis en acier. La puissante locomotive de type 241 Mountain du Paris-Strasbourg vient percuter, de nuit, la dernière voiture, la chevauchant et détruisant ainsi sa caisse en bois et celles des quatre voitures suivantes. La projection d'éclats de bois participe également au lourd bilan. L'enquête montrera que le mécanicien du Paris-Strasbourg n'a pas respecté une signalisation d'arrêt et que le « crocodile » entre les rails chargé de freiner et d'avertir le train a été sans doute bloqué par le gel.

À la gare de l'Est à Paris d'où étaient partis les deux trains, une chapelle ardente est dressée, le président de la République, Albert Lebrun, vient se recueillir sur les 200 cercueils.

À la suite de cet accident, les voitures à caisse en bois sont retirées progressivement du service : elles sont interdites sitôt que la vitesse du convoi est susceptible de dépasser 60 km/h et limitées aux convois desservant la banlieue. De même, la SNCF, nouvellement créée, s'efforce, dès sa création, de remplacer ces voitures par de nouvelles, de conception plus récente. Mais les dernières ne disparaitront qu'au tout début des années 1960.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Élections nationales

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[46]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Michel Benoist    
1791 1792 Pierre-Simon Noël    
1792 1793 Gatien Choisnard    
1793 1795 Martin Pellerin    
1795 1800 Étienne Esnault    
1800 1808 Michel Benoist    
1808 1824 Jean-Baptiste Martin Le Prieur    
1824   Alexis Fouffe    
1870 1871 Henri Decoeur    
1871 1878 Édouard Dreux   Propriétaire du château de Pomponne
1878 1888 Louis Goret    
1888 1892 Édouard Lequin    
1892 mai 1900
(décès)
Louis Gaudineau[47],[48] (1827-1900)   Directeur de la maison Thauvin & Cie, administrateur de
l'hospice de Lagny
1900 1905 Albert Dumez (1847-1905)
Gendre d'Édouard Dreux
  Rentier et propriétaire du château de Pomponne
1905 1913 Édouard Lequin    
1913 1917 Celestin Grange    
1917 1919 Léon Derlon    
1919 1929 Clovis Richard    
1929 1938 Louis Vidal    
1938 1944 André Bacot    
1944 mars 1959 René Gilzinger    
mars 1959 1970 Robert Saurin    
1970 1979 Roger Marie    
1979 juin 1995 Marcel Lambert    
juin 1995 octobre 2001[49]
(démission)
Jean-Paul Courrier DVD Ancien agent SNCF
octobre 2001[49] décembre 2001 Henri Barbero   Maire par intérim
décembre 2001[50] mars 2008 Alain Wery DVD Technicien responsable des travaux à Gagny, ancien adjoint
mars 2008 novembre 2010[51]
(décès)
Marie-Christine Guillaume SE  
décembre 2010[52] juillet 2020 Roland Harlé DVD Chef de projet retraité
4e vice-président de la CA de Marne et Gondoire (2015 → 2020)
juillet 2020 En cours
(au 30 juin 2021)
Arnaud Brunet DVC Architecte DPLG
12e vice-président de la CA de Marne et Gondoire (2020 → )

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Équipements et services

[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement

[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [53],[54].

Assainissement des eaux usées

[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Pomponne est assurée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) pour le transport. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [55],[56],[57]. La station d'épuration Equalia est quant à elle gérée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) qui a délégué la gestion à une entreprise privée, VEOLIA, dont le contrat arrive à échéance le [55],[58].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. La communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la Société Française de Distribution d’Eau (SFDE), dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[55],[60].

Eau potable

[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Lagny-sur-Marne qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [55],[61],[62].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[64].

En 2021, la commune comptait 4 158 habitants[Note 8], en évolution de +4,84 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271330295276313328320305345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
356396376431481497483514525
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5946616607158549198529351 233
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1811 3041 3972 8263 0443 2563 3073 3093 331
2014 2019 2021 - - - - - -
3 7014 1834 158------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Pomponne dispose d’une école primaire publique ( Les Cornouillers), comprenant une école maternelle et élémentaire, située 1 rue de l'École 77400 Pomponne. Cet établissement public, inscrit respectivement sous les codes UAI (Unité administrative immatriculée ) 0771686P et 0770455B, comprend 106 élèves en maternelle et 181 en élémentaire (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[67]. Il dispose d’un restaurant scolaire.

La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Pomponne est en zone C.

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Commerces, artisanat, exploitations agricoles.

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 1 492 (dont 76,5 % sont imposés) représentant 3 716 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 737 [37].

En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 527, occupant 1 742 actifs résidants (salariés et non-salariés) .

Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,1 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 10,3 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,5 %, retraités ou préretraités 7,4 %, autres inactifs 7 %[37].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 236 dont 2 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 4 dans l'industrie, 25 dans la construction, 170 dans le commerce-transports-services divers et 35 étaient relatifs au secteur administratif.

Cette même année, 23 entreprises ont été créées, dont 18 par des auto-entrepreneurs[37].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Pomponne est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[68].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[69]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 46 ha en 1988 à 30 ha en 2010[68]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Pomponne, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Pomponne entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[68],[Note 10]
Nombre d’exploitations (u) 1 1 1
Travail (UTA) 3 1 0
Surface agricole utilisée (ha) 46 40 30
Cultures[70]
Terres labourables (ha) 0 0 0
Céréales (ha) 0
dont blé tendre (ha) 0
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 0
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) 0
Élevage[68]
Cheptel (UGBTA[Note 11]) 77 22 0

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Pomponne a été bâtie à la fin du XIIe siècle. Son architecture a été sensiblement modifiée, notamment lors de l'ajout de contrefort, mais elle conserve une remarquable nef d'origine. Elle abrite le cœur de Simon Arnauld de Pomponne.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le château.
  • Le château de Pomponne a été largement reconstruit par Simon Arnauld de Pomponne et son père sur des plans de Mansart et Hardouin-Mansart. Il a été très retouché au XVIIIe et surtout au XIXe siècle et abrite désormais deux compagnies de CRS (CRS Maintien de l'ordre no 4 et CRS Autoroutière Est-Île-de-France).
  • Château de Chaâlis ;
  • Ferme de la Renaissance (à l'abandon)

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Simon Arnauld, seigneur puis marquis de Pomponne, ambassadeur puis secrétaire d'État de Louis XIV. Il a reçu la seigneurie de sa mère Catherine Lefèvre de La Boderie qui la tenait elle-même de son demi-frère, Nicolas de Haqueville.
  • Isaac Lemaistre de Sacy, traducteur de la Bible en français, mourut le 4 janvier 1684 au château de Pomponne, où l'avait accueilli son cousin Simon Arnauld de Pomponne.

Héraldique logotype et devise

[modifier | modifier le code]
Blason de Pomponne Blason
D'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux palmes adossées, posées en chevron et en pointe d'un rocher mouvant de la pointe, le tout d'or.
Ornements extérieurs
Timbré d'une couronne murale
Détails
Le blason est dérivé de celui de la famille Arnauld de Pomponne, seigneurs puis marquis de Pomponne au XVIIe siècle[71].
Blason officiel de Pomponne[72].

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Pomponne », p. 614–617
  • Pierre Thomas Nicolas Hurtaut, Dictionnaire historique de la ville Paris et de ses environs, t. 4, Paris, Moutard, , 847 p. (lire en ligne).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Pomponne » sur Géoportail (consulté le 27 octobre 2019)..
  2. « Sites Natura2000 de Pomponne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Zones ZNIEFF de Pomponne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  4. « Pomponne - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Plan séisme consulté le 7 octobre 2020 ».
  2. « Pomponne » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ru du Bouillon (F6622000) » consulté le 9 novembre 2017
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - ru Venante (F6626000) » consulté le 18 août 2017
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Morte Mère (F6623000) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Morte Mère (F6623700)) ».
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Cornouillers (F6623500) ».
  9. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 21 août 2018
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Pomponne et Torcy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Torcy » (commune de Torcy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Torcy » (commune de Torcy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pomponne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Bois de Vaires-sur-Marne - ZSC - FR1100819 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 2 septembre 2019, modifié (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR1100819 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Pomponne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF les « Bois de Brou, bois de Vaires et prairies associées » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « Bois de Luzancy et de Chaalis » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF la « Marne à Vaires-sur-Marne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF la « vallée de la Marne de Gournay-sur-Marne à Vaires-sur-Marne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pomponne ».
  29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  32. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  33. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  34. « Le SCOT Marne, Brosse et Condoire », sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
  35. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  37. a b c et d Statistiques de l’Insee.
  38. « Le 22 avril, vos lignes de bus changent de numéro sur le territoire de Marne-la-Vallée », sur www.iledefrance-mobilites.fr (consulté le )
  39. Suger, chap. 11.
  40. Cartulaire de Saint-Leu-d'Esserent, p. 14.
  41. Archives nationales, S 2292, n° 28.
  42. Archives nationales, S 1422.
  43. Archives nationales, S 5146a.
  44. Hurtaut 1779, t. 4, p. 83.
  45. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
  46. [PDF] Les maires de Pomponne depuis la Révolution, Vivre Pomponne n°63, avril 2003, p.4
  47. Fiche biographique Gaudineau, Louis, sur patronsdefrance.fr
  48. [PDF] Bulletin administratif. Société des anciens élèves des écoles nationales d'arts et métiers, 1883, n° 5, mai 1900, pp.387-391
  49. a et b [PDF] L'au revoir de Jean-Paul Courrier, sur pomponne.org
  50. « Le nouveau maire s'appelle Alain Wery », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  51. « Marie-Christine Guillaume, maire de la commune, est décédée », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  52. [PDF] Procès-verbal du conseil municipal du 17 décembre 2010, sur pomponne.org
  53. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  54. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  55. a b c et d « Commune de Pomponne - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  56. « SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  57. « SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  58. « SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  59. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  60. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  61. « SMAEP de la région de Lagny-sur-Marne - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  62. « SMAEP de la région de Lagny-sur-Marne - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  65. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  66. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  67. Site écoles primaires consulté le 7 octobre 2020
  68. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pomponne. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  69. « L'agriculture en Seine-et-Marne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  70. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pomponne. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  71. Société d'histoire et de patrimoine de Pomponne Site internet
  72. Site internet officiel