Franconville (Val-d'Oise)
Franconville | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Argenteuil | ||||
Intercommunalité | CA Val Parisis | ||||
Maire Mandat |
Xavier Melki (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 95130 | ||||
Code commune | 95252 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Franconvillois | ||||
Population municipale |
37 520 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6 061 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 59′ 20″ nord, 2° 13′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 54 m Max. 167 m |
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Superficie | 6,19 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Franconville (bureau centralisateur) |
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Législatives | 4e circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-franconville.fr/ | ||||
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Franconville ou Franconville-la-Garenne, nom d'usage de la municipalité, est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. Elle est la cinquième ville du département par sa population.
Ses habitants sont appelés les Franconvillois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Franconville se situe à vingt kilomètres au nord-ouest de Paris, dans la vallée de Montmorency.
Ses voies principales sont, d'est en ouest, la rue de l'Orme-Saint-Edme, la rue de la Station, le boulevard Maurice-Berteaux, la rue du Plessis-Bouchard et, du sud au nord, la rue du Général-Leclerc, le boulevard Rhin-et-Danube et la chaussée Jules-César.
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Carte de la commune.
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Occupation des sols
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Franconville se situe au centre de la vallée de Montmorency. Les zones habitées occupent pour l'essentiel le fond de la vallée, à une soixantaine de mètres d'altitude, et sont dominées par un ensemble de buttes-témoins boisées à l'ouest nommées buttes du Parisis, qui atteignent 167 mètres d'altitude.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par l'autoroute A15 qui relie Gennevilliers à Cergy, l'autoroute A115 de Franconville à Méry-sur-Oise et Auvers-sur-Oise et la route départementale 14 qui relie Paris à Rouen via Pontoise et le Vexin.
Franconville est desservie par la gare Franconville - Le Plessis-Bouchard située sur son territoire.
La ligne Paris - Pontoise traverse la ville depuis 1846, devenue la ligne H du Transilien Paris-Nord reliant la Gare du Nord à Pontoise. Par ailleurs, Franconville est desservi par la ligne C du RER depuis 1988.
La commune est également desservie par les lignes de bus du réseau Val Parisis (Lignes 30-03, 30-12, 30-14, 30-37, 30-49, 95-19 et CitéVal Franconville), de la RATP (Ligne 261) et du Noctilien (Ligne N154).
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Le bus 95-19 C, rue du Général-Leclerc.
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Un train Transilien en gare de Franconville.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Franconville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Franconville est composée à la fois de zones d'habitations denses et de zones pavillonnaires.
Commune jusqu'alors rurale dont les champs s'étendaient sur la majeure partie du territoire, une politique d'urbanisation est entreprise à partir de 1962 et se prolongera dans les années 1970, avec la construction de quartiers résidentiels et nouvelles infrastructures (notamment écoles et collège, centres de sports et loisirs).
En 2009, la politique d'urbanisme prend un nouvel essor avec la décision du conseil municipal de construire 1500 logements sur six ans dans le cadre du plan local d'urbanisme.
Logement social
[modifier | modifier le code]La part de logement social à Franconville a atteint jusqu'à 35 % au début des années 1980 avant de décroître sous la majorité de Francis Delattre (UDF-DL puis UMP) depuis 1983. 27,5 % de logements sociaux étaient comptabilisés en 2000, 23,9 % en 2005[16] (alors que selon la mairie, la commune compte 3 350 logements sociaux soit 26 % de l'effectif total[17]) et 24,7 % en 2008. La ville remplissait donc les conditions posées par la loi SRU imposant pour les communes franciliennes d'au moins 1500 habitants un minimum de 20 % de logements sociaux, avant que ce taux soit porté à 25 % en 2013[18]
Le parc social de Franconville date pour l'essentiel des années 1960 et 1970] qui ont vu la population communale croître rapidement sous les mandats des prédécesseurs du maire, André Blondé (UDF-PR) de 1959 à 1977 et Annie Brunet (PCF) de 1977 à 1983.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Au fil des siècles, on relève ces différentes formes du nom de Franconville : Francorum Villa (1137), Francurtvilla (vers 1150), Francorvilla (1205), Franconvilla (1352), Franconville-la-Garenne (1382), Francovilla (1525), Franconville-la-Libre (1793)[19]...
Francorum Villa peut se traduire par domaine des Francs. Quant au mot garenne, il vient du bas latin warenna, désigne une réserve de chasse[20] et fut sans doute ajouté pour distinguer Franconville-la-Garenne d’un autre Franconville-[aux-Bois], ancienne seigneurie "absorbée" au XVIIIe siècle par la paroisse de Saint-Martin-du-Tertre.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité et Moyen Âge
[modifier | modifier le code]L’histoire ancienne de Franconville est fort mal connue. Dans leurs publications respectives, les historiens locaux divergent sur la date de la première mention du nom de la commune dans les archives. Aujourd’hui, ce sont les thèses du Franconvillois André Vaquier qui font autorité : selon lui, le nom de Franconville apparaît pour la première fois en 1137, année de rédaction du testament de l’abbé Suger de Saint-Denis, seigneur de l’époque.
L’historien Henri Mataigne, dans l’ouvrage qu’il consacre à Franconville[21], évoque une date beaucoup plus ancienne, 860, mais ne donne aucune indication permettant de retrouver le document auquel il se réfère.
Cependant, l’étymologie du nom de la ville (Francorum Villa : domaine des Francs[22]) incline à penser que la ville existe bien avant les écrits de l’abbé Suger. Elle se constitue sans doute le long du « grand chemin de Pontoise » (rue de Paris et rue du Général-Leclerc). Le cœur de la « ville » se situe alors à l'emplacement de l'actuelle église. Plus au nord, séparée du village par des terres en friche, se trouve la chaussée Jules César, ancienne voie romaine de Lutèce à Lillebonne, construite dans les années 11-12 avant Jésus-Christ[23].
Bois, marais et terres incultes, voilà ce qui constitue l’environnement immédiat des premiers habitants de Franconville. Réfugiés sur les flancs de la butte de Cormeilles, à l'abri des inondations, ils vivent, difficilement, du travail de la terre et sans doute trouvent-ils, grâce au « grand chemin », une occasion de commercer.
Aux XIe et XIIe siècles, la terre de Franconville est morcelée entre divers seigneurs : l'abbaye de Saint-Denis, les barons de Montmorency mais aussi de commanderie de Cernay des Templiers. Un des vassaux des barons de Montmorency, Guillaume Bateste, est le premier seigneur résident de Franconville identifié. Au début du XIIIe siècle, celui-ci fait construire un château de dimensions modestes à proximité de l'actuelle rue de Cormeilles. On lui attribue également la construction de la première église de Franconville[24]. Enfin, c'est à cette époque qu'est fondée la maladrerie Saint-Marc, ou malmaison, destinée à accueillir les lépreux.
Au début du XVe siècle, le village peut compter 80 maisons, regroupées près de l’église, pour une population estimée à environ 300 personnes. La grand’ route, en tout cas sur sa partie franconvilloise, est déjà pavée. Mais les troubles de ce temps vont rapidement faire sentir leurs effets. Selon le testament du dernier des Bateste, daté de 1436, toute la région de Pontoise, dont Franconville, est dévastée et brûlée pendant la guerre de Cent Ans[25]. L'église, détruite, sera reconstruite en 1450-1470.
Renaissance et époque moderne
[modifier | modifier le code]À la fin du XVIe siècle, les temps étant encore peu sûrs, une assemblée des habitants de Franconville vote la dépense de 600 écus pour enclore et fortifier le village au moyen de murailles, portes, ponts-levis, éperons et fossés[26].
Mais, peu à peu, la ville commence à se développer. Grâce à la grand’route, de plus en plus fréquentée[Note 4], agriculture et hôtellerie connaissent un véritable essor. Les chevaux des relais de poste font la prospérité des aubergistes et des artisans qui entretiennent voitures et carrosses.
Au fil du XVIIIe siècle, Franconville devient même un lieu de résidence recherché. De belles demeures se construisent, dont le château Cadet-de-Vaux (1758). De riches familles, bourgeoises ou nobles, viennent s’y installer ou séjourner. Quelques résidents ou visiteurs célèbres ont laissé un souvenir de leur passage : le chimiste Antoine-Alexis Cadet de Vaux, l’homme d’ État américain Benjamin Franklin, l’astronome Jean-Dominique Cassini...
Pendant la Révolution française, Franconville est brièvement rebaptisée Franconville-la-Libre[27]. La municipalité de Franconville voit le jour le dimanche . Le , les habitants se réunissent pour rédiger leur cahier de doléances. Le premier maire de Franconville, l’aubergiste Gabriel Bertin, est élu le . L’un des premiers actes de la nouvelle municipalité est d’attirer l’attention des autorités sur la grande misère des habitants. En effet, les épisodes de disette, voire de famine, se multiplient à cette époque, entraînant une certaine insécurité en ville[26].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Le chemin de fer dessert la ville en 1846 avec la mise en service de la gare de Franconville - Le Plessis-Bouchard sur la ligne Paris - Pontoise, entraînant ainsi comme dans toutes les communes de la vallée de Montmorency, de profondes mutations. Un nouveau centre se développe à proximité de la gare, située à un kilomètre au nord du village au milieu des champs.
Des lotissements apparaissent au début du XXe siècle. L'église du XVe siècle, tombant en ruine, est reconstruite en 1903.
Lors du raid de dirigeable militaire contre Paris et sa banlieue le , un Zeppelin est pris à partie par la DCA du fort de Cormeilles[28].
Durant les années 1960 et 1970, le centre-ville est entièrement démoli et reconstruit selon les idées urbanistiques de l'époque : de nombreux immeubles, barres et tours, sont érigés contribuant à un fort accroissement de la population. Ainsi, au fil des années, Franconville est devenue la 5e commune la plus peuplée du Val-d'Oise derrière Argenteuil, Sarcelles, Cergy et Garges-lès-Gonesse.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du [29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Val-d'Oise
Elle faisait partie de 1801 à 1931 du canton de Montmorency, année où elle intègre le canton de Taverny du département deSeine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Franconville[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton qui est modifié, passant de une à deux communes.
Franconville fait partie du ressort de juridiction du tribunal d'instance de Montmorency, de celui du tribunal judiciaire de Pontoise et de celui du tribunal de commerce de Pontoise pour l'ordre judiciaire ainsi que de celui du tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour l'ordre administratif. La commune fait en appel partie du ressort de la cour d'appel de Versailles pour l'ordre judiciaire et de la cour administrative d'appel de Versailles pour l'ordre administratif.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune, membre de la communauté d'agglomération Val-et-Forêt depuis 2003, décide de la quitter[31] et rejoint le , la communauté d'agglomération du Parisis[32].
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en Île-de-France afin d'équilibrer leurs relations avec la métropole du Grand Paris, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[33] ».
C'est ainsi que, après délibérations des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion intervient le , permettant ainsi la création de la communauté d'agglomération Val Parisis dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Au second tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP menée par le maire sortant Francis Delattre remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 678 voix (52,71 %, 30 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[34] :
- Antoine Raisseguier (PS-PCF-EELV, 3 630 voix, 33,70 %, 7 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Jean-Luc Mayenobe (FN, 1 463 voix, 13,58 %, 2 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 47,79 % des électeurs se sont abstenus.
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise[35], la liste LR du maire sortant Xavier Melki — qui a succédé en 2017 à Francis Delattre — remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 056 voix (60,76 %, 32 conseillers municipaux élus dont 10 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[36] :
- Marc Schweitzer (PCF, 1 221 voix, 18,29 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Françoise Mendy-Lascot (LREM, 738 voix, 11,05 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Sébastien Ustase (RN[37], 660 voix, 9,88 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 68,04 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démocratie participative
[modifier | modifier le code]La ville est divisée[Quand ?] en neuf quartiers, chacun doté de son conseil de quartier disposant de son enveloppe budgétaire[réf. nécessaire]. Les neuf quartiers sont :
- le quartier de l'Hôtel-de-Ville ;
- le quartier des Fontaines ;
- le quartier Jean-Monnet ;
- le quartier de l'Europe ;
- le quartier du Vieux marché ;
- le quartier du Stade ;
- le quartier des Noyers de Saint-Edme ;
- le quartier de l'Épine Guyon ;
- le quartier du Séquoia de la gare
Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]La commune de Fanconville est située dans un espace très urbanisé, cependant le sud de la commune, la colline d'Argenteuil, a conservé son couvert forestier. Cet espace forestier est isolé du centre de Franconville par l'autoroute A15. Le Bois des Rinvals et le bois de Saint-Marc sont gérés par l'Office national des forêts. Le site constitue un poumon pour la ville de Franconville, absorbant une partie nuisances générées par l'autoroute A15.
Le bois des Éboulures et le bois de Boissy complètent cet ensemble d'espaces verts vitaux pour les habitants de la commune.
Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]La ville de Franconville a été récompensée[Quand ?] de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Mława (Pologne) depuis 2023, 31 047 habitants (2023) ;
Viernheim (Allemagne) depuis 1966, 32 884 habitants (2005) ;
Potters Bar (Angleterre) depuis 1973, 21 618 habitants (2001).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 37 520 habitants[Note 6], en évolution de +7,45 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Franconville relève de l'académie de Versailles. Les écoles de la commune sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation Nationale d'Ermont (1, rue de l'Est 95120 Ermont)[49]. La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation d'Enghien-les-Bains[50].
La commune compte[Quand ?] douze établissements d'enseignement pré-élémentaire, onze établissements d'enseignement élémentaire et six établissements d'enseignement secondaire (dont quatre collèges et deux lycées).
- Enseignement public
- Écoles maternelles :
- École maternelle du Bel-Air, 10 ruelle du Moulin.
- École maternelle de la Côte rôtie, 1 rue de la Renardière.
- École maternelle de l'Épine Guyon, 4 rue de l'Épine Guyon.
- École maternelle Ferdinand Buisson, 18, boulevard Maurice-Berteaux.
- École maternelle de la Fontaine Bertin I et II, 8 rue de l'Hostellerie.
- École maternelle Jules Ferry, 6 rue d'Ermont.
- École maternelle de Montédour, rue de la Croix verte.
- École maternelle des Quatre noyers, 2 rue Victor Basch.
- École maternelle René Watrelot, rue du Noyer Mulot.
- École maternelle de la Source, 31 rue de Taverny.
- Écoles élémentaires :
- École élémentaire du Bel-Air, 18 ruelle du Moulin.
- École élémentaire Jean Carnot, 47 bis rue Carnot.
- École élémentaire de l'Épine Guyon I, 1 allée Got.
- École élémentaire de l'Épine Guyon II, 3 allée Got.
- École élémentaire Ferdinand Buisson I, 18, boulevard Maurice-Berteaux.
- École élémentaire Ferdinand Buisson II, 16, boulevard Maurice-Berteaux.
- École élémentaire de la Fontaine Bertin, allée du Lavoir.
- École élémentaire Jules Ferry, 6 rue d'Ermont.
- École élémentaire des Quatre noyers, 2 rue Victor Basch.
- École élémentaire de la Source, 31 rue de Taverny.
- Collèges d'enseignement secondaire :
- Collège du Bel-Air, ruelle du Moulin.
- Collège de l'Épine Guyon, rue des Onze arpents.
- Collège Jean-François Clervoy, 8 avenue des Marais.
- Lycée :
- Lycée Jean Monnet, rue Jean Monnet.
- Enseignement privé
- Institution Jeanne d'Arc, 2 bis rue Toussaint Lucas :
- École maternelle.
- École élémentaire.
- Collège d'enseignement secondaire.
- Lycée professionnel.
- Lycée général.
Équipements culturels
[modifier | modifier le code]La ville dispose de l'espace Saint-Exupéry, d'un bibliobus et d'une école municipale de musique, de danse et d'art dramatique.
- L'espace Saint-Exupéry : L'espace construit en 1980 et agrandi en 1996 comporte :
- la médiathèque municipale[51] qui dispose de 28 200 livres et de 81 revues en section Adultes et 31 220 livres et de 45 revues en section Jeunesse ainsi que d'un fonds de 2 300 DVD, ressources auxquelles il faut ajouter 8 000 livres numériques, 1 800 films en VOD, ainsi que des modules d'autoformation en ligne aux langues étrangères, au français langue étrangère, et au code de la route ;
- la salle de cinéma Henri-Langlois, classée art et essai, qui programme environ 160 films par an ;
- le théâtre Jean-Cocteau (423 places) ;
- la salle d'expositions Giacometti (400 m2) et une salle polyvalente.
- L'espace accueille chaque année des chanteurs en résidence et organise des rencontres « jeunes talents » afin de venir en aide à la création et à la diffusion.
- Le centre Saint-Exupéry héberge également l'académie de danse de Franconville (ADF) dont la création remonte à 1977.
- Le bibliobus, qui sillonne la commune et s'arrête périodiquement dans les quartiers et dans les écoles pour prêter divers documents mais surtout des livres. Il dessert la résidence Yvonne-de-Gaulle, le foyer AREPA et les quartiers de l'Épine Guyon, la Mare de Noues, Montédour et la Fontaine Bertin.
- L'École municipale de musique, de danse et d'art dramatique, qui dispense des enseignements de musique, de danse et de théâtre. Cet établissement est installé dans la Maison Suger rénovée. L'établissement dispose de l'agrément du ministère de la Culture et est un service public d'enseignement artistique.
Sports
[modifier | modifier le code]Clubs importants
[modifier | modifier le code]- Entente Franconville Césame Val d'Oise
- COYOTES : Club de handball à Franconville
- Parisis Rugby Club PRC (champion IDF réserve en promotion d'honneur en 2014)
- Le basket club de Franconville Plessis-Bouchard (BCFOB), dont l'équipe féminine évolue en Nationale 1 en 2022[52]
- Jorkyball parisien.
- SCAF : Club d'Activités Subaquatiques de Franconville
- Football Club de Franconville évoluant en Ligue Ile de France[Quand ?]
- Club de Tennis de Table de Franconville
- Judo Club de Franconville
- Le club de gymnastique Albonaise, avec plus de 700 licenciés en 2013
- L'Echiquier de Franconville (qui évolue en 2e Division Nationale
- Franconville Hockey-Club
Jumping
[modifier | modifier le code]Créé en 1985, le jumping de Franconville est un rendez-vous majeur du calendrier International ou National du saut d’obstacles. Il se déroule dans le Bois des Eboulures. Ses 55 hectares sont spécialement aménagés, avec village d’exposants, restaurants, points de restauration rapide, buvettes, points d’accueil et une aire de concours de 8 hectares, entourée de loges et de 3000 places en tribunes.
Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]- Le stade municipal Jean-Rolland (2000 places) pour le football, l'athlétisme, le rugby et le tennis.
- Le centre de sports et loisirs (CSL) qui comprend une piscine, une patinoire, des courts de tennis, des terrains de badminton, des courts de squash, un minigolf, un bowling, des salles de judo et karaté et une salle de billard.
- 9 gymnase]s (dont celui du CSL).
- 1 salle de jorkyball avec 4 terrains
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique : la paroisse de Franconville dépend du doyenné d'Ermont-Eaubonne qui se trouve dans le diocèse de Pontoise, lui-même situé dans la province ecclésiastique de Paris.
Le presbytère est situé à côté de l'église Sainte-Madeleine[53].
Outre cette église principale, la paroisse dispose également de l'église Notre-Dame-des-Noues, située au 2 rue des Quatre-Fourchettes, construite en 1968 au cœur du quartier de l'Épine-Guyon, qui, en mauvais état, a due être fermée en 2020[54].
À noter l'existence d'un parc paroissial au 64, boulevard Maurice-Berteaux, sur lequel se trouve également la maison Jean-Paul II. - Culte protestant : l'église adventiste de Franconville, située au 79 chaussée Jules-César, dépend de la Fédération Nord de l'Église adventiste du septième jour qui fait partie de l'Union franco-belge des fédérations adventistes. Le pasteur de l'église est actuellement Johan van Bignoot[55].
- L'église protestante évangélique est située au 161 rue du Plessis-Bouchard.
Économie
[modifier | modifier le code]Une partie de la zone commerciale de la Patte d'Oie d'Herblay se situe à l'ouest du territoire de la commune, sur la route départementale 14 et à proximité de la sortie de l'autoroute A15.
Jusque dans les années 1990, cette zone d'activité de Franconville comprenait essentiellement deux centres commerciaux : une grande surface et un centre commercial composé de boutiques de déstockage. Dans les années 2000, cette zone commerciale prend un nouvel essor. Ainsi, le plus grand magasin Ikea de France y a ouvert ses portes en 2005 (titre qu'il perdra en 2011 pour l'Ikéa de Villefranche-sur-Saône)[56]. Puis, ce sont des boutiques vestimentaires, culturelles et sportives, deux restaurants, un pub et deux salles de sports qui se sont implantées dans cette zone appelée le "Parisis Park". À noter que le distributeur E. Leclerc, qui y possède une grande surface, y a lancé son premier magasin d'optique discount en [57], avant d'ouvrir une parapharmacie et un magasin de sport à son enseigne.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune ne possède aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire[58]. On peut néanmoins signaler :
- L'église Sainte-Madeleine, édifiée à partir de 1903 par l'architecte Lucien Roy, à l'emplacement de l'ancien sanctuaire du XVe siècle qui tombait en ruine. Le chœur et le transept de style néo-roman furent édifiés les premiers, le clocher dans les années 1950. Plusieurs vitraux dégradés et peu esthétiques furent remplacés en 1963 sous l'impulsion du curé Maurice Nassoy[Note 7], qui munit également le clocher du coq qui lui manquait. Le vitrail que l'on peut voir près de l'entrée de l'église est celui du chœur de l'église précédente sur le même lieu, aujourd'hui 79 rue du Général-Leclerc[59]
- Le château Cadet-de-Vaux : Caractéristique du XVIIIe siècle, il fut construit par la famille Becquet sur un vaste terrain, racheté aux héritiers de la veuve de Couet de Montbayeux, avocat au Parlement. Il fut ensuite acquis le par le savant et philanthrope Antoine Alexis Cadet de Vaux qui lui laissa son nom. Le domaine changea ensuite de nombreuses fois de propriétaires. Il subsiste la glacière du XVIIIe siècle et une grande partie du parc paysager du XVIIIe siècle. Il est planté de nombreuses essences remarquables : Ginkgo biloba, séquoia, pins de l'Himalaya, cèdres, hêtre pourpre, ainsi qu'une rivière sinueuse qui accueille canards et poules d'eau[59].
- La maison Suger : Elle fut édifiée vers 1850 par la famille Baudouin. Le pavillon de l'aile nord fut agrandi par un notaire, Blanchet, et son gendre Radius. Après la Seconde Guerre mondiale, la fondation Suger s'y installe et lui donne son nom. Elle laisse la place, à la suite de difficultés financières, à une école privée, de plein air, où fera ses études le très jeune chef d'orchestre Roberto Benzi, qui fermera ses portes en 1970. Rachetée par la municipalité, elle a été rénovée et elle accueille l'école municipale de musique, de danse et d'art dramatique[59].
- La statue de Rébecca : En fonte peinte, elle orne le massif à droite de l'entrée de l'hôtel de ville depuis 1868 environ. Elle surmontait à l'origine une fontaine en pierre au milieu d'un carrefour circulaire lors de la création du lotissement du Parc[59].
- Accolée à l’actuelle mairie, l’ancienne villa Enders, du nom de son premier propriétaire, Jules Enders, administrateur délégué du Crédit lyonnais, est construite en 1894 par l’architecte Richard Bouwens van der Boijen ; revendue à la municipalité, elle devient, en 1932, la nouvelle mairie de la ville ; le jardin d'hiver attenant et la marquise au-dessus de l’entrée ont été démolis[60].
- Le parc Cadet-de-Vaux, rue d'Ermont, est ouvert, chaque jour du 1er octobre au , de 8 h 30 à 18 h et du 1er avril au , de 8 h 30 à 20 h 30.
- Le bois des Éboulures : Sur 55 hectares, il constitue un exemple réussi d'intégration d'une zone naturelle dans un périmètre urbain.
Franconville au cinéma et à la télévision
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Seigneurs de Franconville
[modifier | modifier le code]Quelques noms, rangés par ordre chronologique : Guillaume Bateste (1200), Pierre Bateste (1315), Nicolas Leclerc (1620), Louis de Giffart (1640), Jacques Boutet (1675), François Boutet (1710), comte de Longaunay (1755)[26]…
Politique
[modifier | modifier le code]- Benjamin Franklin (1706-1790) y effectua plusieurs visites et séjours.
- Hippolyte Passy (1793-1880), plusieurs fois ministre et ancien président de l'Assemblée nationale, y vécut.
- Georges Leredu (1860-1943) plusieurs fois ministre dans les années 1920 y fut maire, député puis sénateur.
- Jean Messiha (1970- ), homme politique d'extrême droite et haut fonctionnaire, habite la commune.
Culture et divertissement
[modifier | modifier le code]- Yves Duteil, auteur compositeur interprète ; a vécu à Franconville, rue de la Station.
- Jean Daudin (début du XIVe siècle-1382), chanoine français, traducteur du poète et humaniste italien Pétrarque, est né à Franconville.
- Marcel L'Enfant[61](1884-1963), peintre post-impressionniste qui vécut et eut son atelier Chaussée Jules-César pendant 40 ans (1923-1963).
- André Vaquier (1886-1976), bibliothécaire et historien, vécut de nombreuses années à Franconville. Il publia plusieurs études sur l'histoire de la commune et fut à l'origine de la création d'un musée communal (1975), aujourd'hui disparu.
- Jean Daurand (1913-1989), comédien, l'inspecteur Dupuy de la série Les Cinq Dernières Minutes, exploita quelque temps un café à l'enseigne toute trouvée : Les Cinq Dernières Minutes, à Franconville, à la fin de sa vie.
- The Ropestylers, équipe d'artistes spécialistes de double dutch dont l'un des membres vit à Franconville.
- Victor Montalti (1938-2019), peintre et sculpteur, cofondateur et ancien président de l'association La Palette en Franconville.
- Hassan Koubba (né en 1973), comédien, le lieutenant Micky Zafraoui de la série de TF1 Diane, femme flic, y fait son footing quotidien, le long du stade municipal, chaussée Jules-César[réf. nécessaire].
- Lorie (née en 1982), chanteuse et comédienne française, y a passé sa jeunesse.
- Stéphane Mondino, auteur-compositeur-interprète y vécut de 1984 à 2006
- Massacra (1987-1997), groupe de Death Metal français précurseur du genre.
Sports
[modifier | modifier le code]- Stéphane Diagana (né en 1969) a été membre du club d'athlétisme de Franconville.
- Éric Rabésandratana (né en 1972), ancien joueur du PSG a été joueur du FC Franconville Plessis Bouchard.
- Bouchra Ghezielle (née en 1979), demi-fondeuse, internationale française, habite la ville (en 2007).
- Mickaël Hanany (né en 1983), sauteur en hauteur membre du club d'athlétisme.
- David Alerte (né en 1984), sprinter membre du club d'athlétisme.
- David N'Gog (né en 1989), récemment[C'est-à-dire ?] jeune joueur du groupe pro de Liverpool FC, il y a grandi.
- Mouhamadou Fall (né en 1992 à Beaumont-sur-Oise, athlète spécialiste du sprint et du relais, licencié de l’Entente Franconville Césame Val-d’Oise (EFCVO), champion de France Élites du 100 m. en 2020[62]
- Charles Brennus est enterré à Franconville, une réplique du Bouclier de Brennus se trouve sur sa tombe[63].
- Claude Nicouleau (né en 1961), patineur de vitesse, 1er sélectionné olympique a Franconville en 1988
Sciences
[modifier | modifier le code]- Cassini de Thury (1714-1784), directeur de l'observatoire, y possède une importante propriété ; celle-ci est vendue en 1781 au comte d'Albon qui y crée des jardins extravagants, aujourd'hui disparus.
- Antoine-Alexis Cadet de Vaux (1743-1828), chimiste, philanthrope.
- Jean-François Clervoy (né en 1958), spationaute français de l'Agence spatiale européenne (ESA) et ancien élève du collège Bel-Air ; le dernier collège construit dans la commune porte son nom.
- Gustave-Joseph Witkowski (1844-1922), y fut médecin en 1872, conseiller municipal en 1875, jusqu'en 1888, date de son installation à Paris.
Monde des affaires
[modifier | modifier le code]- Eugène Schueller (1881-1957), fondateur de L'Oréal, possédait une villa dans la commune et y résidait régulièrement[64].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Tiercé en bande, au premier d’azur semé de lys d’or, au deuxième d’argent à la francisque de sable posée dans le sens de la bande, au troisième de gueules à trois arbres d’or mouvant de la pointe. |
|
---|---|---|
Détails | L’azur semé de lys d’or indique l’appartenance à l’Île-de-France. La francisque est l’arme des francs qui ont donné leur nom à la ville. Les arbres d’argent évoquent la garenne, lieu boisé ou sablonneux où vivaient les lapins à l’état sauvage. Le 15 octobre 1964, les armoiries définitivement adoptées sont celles retenues par la direction des Archives de France pour figurer sur les documents officiels de la ville[65]. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Franconville », p. 279–291
- Henri Mataigne, Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Paris, Le livre d'Histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France », (1re éd. 1927), 412 p. (ISBN 2-84373-734-6).
- Daniel Bœuf et Maurice Menassade, L'art ancien et moderne dans le canton de Taverny, Imprimerie Paris à Pontoise, 1945, 170 p.
- André Vaquier, Franconville en cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne Zaltbommel (Pays-Bas), Diffusion SFL (Paris), 1975, 80 p.
- André Vaquier, Si Franconville m'était conté, Bulletin de la Société historique de Pontoise, no 23, 1977.
- Association « En passant par Franconville », En passant par Franconville-la-Garenne, 1986, 511 p., (ISBN 2950157505).
- Jean-Pierre Debard, Mémoire en images : Franconville, Éditions Alan Sutton, 2007 (ISBN 978-2-84910-666-2).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- « Franconville »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Eppeville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Selon l'abbé Lebeuf, les armes des Bateste étaient semblables à celles des Harcourt : « De gueules à deux fasces d'or ».
- Celle-ci deviendra par la suite la route royale de Paris à Rouen puis la route nationale 14
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le curé Maurice Nassoy est également initiateur de la construction de la deuxième église de Franconville, Notre-Dame des Noues.
Références
[modifier | modifier le code]- « Communes limitrophes de Franconville (Val-d'Oise) » sur Géoportail..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Franconville et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Mémoire de Caroline Levron, étudiante en master 1 de sociologie à l'université de Paris X-Nanterre sous la direction de Philippe Batifoulier.
- Page du service logement sur le site internet de la mairie
- Daniel Chollet, « Logements sociaux : 26 maires du Val-d'Oise demandent la révision de la loi Sru : Selon eux, cette loi, qui impose 25 % de logements sociaux en 2025 est « inapplicable », sauf à ne faire que des quartiers « ghettos » avec 100% de logements sociaux », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Mémoire en images : Franconville, Jean-Pierre Debard, Éditions Alan Sutton, 2007
- Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Albert Dauzat et Charles Rostaing, Librairie Guénégaud, 1963
- Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Monographie des villes et villages de France, réédition de 2005
- Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, A. Dauzat et Ch. Rostaing, 1963
- En passant par Franconville-la-Garenne, 1986
- Abbé Lebeuf
- En passant par Franconville-la-Garenne, 1986.
- Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle - Henri Mataigne - Imprimerie L. Paris - Pontoise - 1927
- http://assphilateliquelilloise.wifeo.com/documents/Correspondance-entre-les-dnominations-des-villes-sous-l.pdf Correspondance entre les dénominations des villes sous l'Ancien Régime et les appellations modifiées à la Révolution
- Le Petit Parisien du 22 mars 1915 : Quelques blessés, des maisons endommagées page 2
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Alexandre Porcu, « Franconville: Val et Forêt s’invite au coeur de la campagne municipale : Dès son intégration dans la communauté d’agglomération, en décembre 2003, Franconville, à travers son maire Francis Delattre, avait émis des réserves… Le projet de la gare d’Ermont-Eaubonne aura mis fin à cette relation tumultueuse. Le résultat des municipales de mars prochain, où UMP et PS sont opposés sur le projet, sera déterminant », VO News95, (lire en ligne, consulté le ).
- Sébastien Thomas, « Val et Forêt réclame 1,8 M€ à Franconville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
- Résultats officiels pour la commune Franconville
- Christophe Lefèvre, « Municipales à Franconville : le maire sortant part favori face à trois autres candidats : Candidat pour la première fois en tête de liste, le maire sortant doit faire face à la concurrence de trois autres listes. Il part néanmoins favori, adoubé par l’ancien maire, qui a dirigé la ville pendant… trente-cinq ans ! », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste : Xavier Melki (LR), Marc Schweitzer (PCF), Françoise Mendy-Lascot (LREM), Sébastien Ustase (RN) ».
- « Val-d'Oise (95) - Franconville », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- A. B., « Municipales dans le Val-d’Oise : le Rassemblement national loin du compte : Avec seulement trois listes candidates contre sept en 2014, le parti de Marine Le Pen peine à s’ancrer sur le territoire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- C.L., « Françis [sic] Delattre se confie sur ses 34 années passées à la tête de Franconville : Une page de l’histoire de Franconville va se tourner ce jeudi soir. Le maire (LR) Francis Delattre laissera son écharpe tricolore à son adjoint, Xavier Melki », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Il a été conseiller général, député, sénateur… Francis Delattre (LR) prendra ce jeudi sa retraite politique, en laissant son écharpe de maire de Franconville, qu’il porte depuis 1983, à son adjoint, Xavier Melki ».
- Christine Fauvet-Mycia., « Avec Léotard, pour le cœur, avec Barre, pour la victoire », Le Monde, (lire en ligne).
- « Elections sénatoriales : les biographies des élus », Le Monde, (lire en ligne) « Francis Delattre, 65 ans, a obtenu de l'UMP le droit de conduire une deuxième liste aux sénatoriales. Le parti présidentiel ne lui a visiblement pas tenu rigueur d'avoir perturbé la campagne des régionales de Valérie Pécresse. Le maire de Franconville avait qualifié la tête de liste PS, Ali Soumaré, de "délinquant multirécidiviste". Une sortie qui lui avait barré la route des cantonales alors qu'il rêvait de reprendre le département à la gauche ».
- Réélu en 1993 : « Francis Delattre (UDF-PR) est réélu maire de Franconville (Val-d'Oise). », Le Monde, (lire en ligne).
- Béatrice Jérôme, « Francis Delattre, un maire UMP aux méthodes "peu stylées" », Le Monde, (lire en ligne).
- Marie Persidat, « Francis Delattre prêt pour un sixième mandat à Franconville : Le sénateur-maire UMP de Franconville a mis fin hier aux interrogations sur son avenir à la tête de la ville. Élu pour la première fois en 1983, il briguera bien un nouveau mandat en mars », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- « Xavier Melki, nouveau maire de Franconville », Franconville / le journal, no 241, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « C’est au courant de l’année 2008 que Xavier Melki est élu chargé du Commerce, du développement économique et des marchés de détail. Après cette première délégation, il devient, en 2008 également, maire adjoint chargé de la Jeunesse, de la politique de la Ville puis de la Voirie et des Conseils de quartier avant son élection à la tête de la municipalité ».
- C.L., « Franconville : Xavier Melki dans « la proximité et la bienveillance » : Élu à la tête de Franconville le 21 décembre dernier, Xavier Melki a succédé à Francis Delattre. Le nouveau maire fait le point sur ses projets. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Xavier Melki, Maire sortant réélu pour six ans : Le premier tour des élections municipales s’est déroulé le 15 mars dernier. Les votes enregistrés ont permis d’élire la liste « J’aime Franconville » portée par le maire sortant Xavier Melki et son équipe dès le premier tour. L’installation du conseil municipal a eu lieu le 26 mai », Actualité, sur ville-franconville.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site municipal d'Ermont - Les instances éducatives
- Inspection académique du Val-d'Oise
- Site web de la médiathèque municipale
- Joseph Canu, « Val-d'Oise. Basket : les filles de Franconville en Nationale 1 : Montée en puissance pour les basketteuses de Franconville Plessis-Bouchard (Val-d'Oise) qui évolueront en Nationale 1 la saison prochaine. C'est officiel », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Site de la paroisse de Franconville
- « Val-d’Oise : les églises du siècle dernier accusent déjà le poids des ans : De nombreux édifices religieux construits dans les années 1950-1960 souffrent, notamment au niveau des toitures. À Franconville, la mairie a dû prendre un arrêté de fermeture pour Notre-Dame-des-Noues sur demande du diocèse de Pontoise », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Site de l'Église adventiste du septième jour
- Journal 20 minutes, édition du 23 février 2005
- Journal 20 minutes, édition du 16 décembre 2005
- IAURIF - Sites et monuments historiques protégés
- Henri Bertin et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Franconville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 279-291 (ISBN 2-84234-056-6).
- Jean-Luc Bauduin, Éclectisme et rationalisme en architecture sous le Second Empire et la Troisième République : l’œuvre français de William et Richard Bouwens van der Boijen, Thèse de doctorat de 3e cycle, 1984.
- Site internet consacré à Marcel l'Enfant
- Joseph Canu, « Val-d'Oise. Persan : Mouhamadou Fall sacré champion de France du 100 m : À Albi, Mouhamadou Fall est devenu le premier athlète masculin du Val-d'Oise sacré champion de France Élites sur l'épreuve reine du 100 m. L'œuvre d'un battant. », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Brennus new »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aeppf.fr (consulté le ).
- « Eugène Schueller »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aeppf.fr (consulté le ).
- L’histoire de Franconville sur le site de la mairie, Le blason