Châtillon (Hauts-de-Seine)

Châtillon | |||||
![]() L'église Saint-Philippe-et-Saint-Jacques en septembre 2011. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Hauts-de-Seine | ||||
Arrondissement | Antony | ||||
Canton | Châtillon (bureau centralisateur) |
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Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Vallée Sud Grand Paris |
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Maire Mandat |
Jean-Pierre Schosteck 2014-2020 |
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Code postal | 92320 | ||||
Code commune | 92020 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châtillonnais | ||||
Population municipale |
36 779 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 12 596 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 48′ 00″ nord, 2° 17′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 164 m |
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Superficie | 2,92 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | ville-chatillon.fr | ||||
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Châtillon est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, au sud-ouest de Paris. Concernée par le périmètre d'une installation nucléaire, la commune est membre de la Commission locale d'information auprès du CEA de Fontenay-aux-Roses.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Châtillon borde notamment les communes de Bagneux (à l'est), de Clamart (à l'ouest), de Malakoff (au nord-ouest), de Montrouge (au nord-est), et de Fontenay-aux-Roses (au sud).
Châtillon est traversée par la Coulée verte du Sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 292 hectares ; l'altitude varie de 78 à 164 mètres[1].
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par deux axe routiers principaux.
- La D 906, anciennement N 306, est orientée nord-est - sud-ouest. Au nord-est, elle débouche sur la Porte de Châtillon et donne accès au boulevard périphérique de Paris. Au sud-ouest, elle débouche sur l'autoroute A86. C'est sur cet axe majeur que la ligne
a été aménagée ; elle est en service depuis le 13 décembre 2014.
- La D 72 est orientée nord-ouest - sud-est.
Pistes cyclables et voies vertes[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par la Coulée verte du Sud parisien, qui continue vers Malakoff au nord et vers Bagneux au sud-est. Du fait de son étroitesse, du manque de clarté des cheminements, d'une forte fréquentation piétonne et de la perte systématique de priorité aux intersections, cette voie verte est moyennement praticable à vélo.
À l'occasion de la réalisation de la ligne de tramway, la mise en place d'aménagements cyclables le long de la D 906 est en cours.
Dans le reste de la commune, il y a quelques zones à 30 km/h mais quasiment pas d'aménagements cyclables.
Transports en commun[modifier | modifier le code]
Châtillon est desservi par :
: la station Châtillon - Montrouge, terminus de la ligne, se trouve à la limite des deux communes.
- 13 lignes de bus qui relient Châtillon à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France :
- une ligne urbaine
RATP amibus (592), reliant la mairie de Châtillon à la station Châtillon - Montrouge
, du lundi au samedi.
: cette station, terminus de la ligne, relie Châtillon au sud du département, et notamment à Vélizy.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 89,46 % | 261,14 |
Espace urbain non construit | 10,48 % | 30,58 |
Espace rural | 0,06 % | 0,18 |
Source : Iaurif[2] |
L’Insee découpe la commune en onze îlots regroupés pour l'information statistique soit République, Gatinot, Guynemer, Guy Moquet, Stade, Roissys, Marcel Doret, Ponceau, Parc, Sablons 1, Sablons 2[3].
Logement[modifier | modifier le code]
Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
Châtillon s'est appelée au cours du temps Castellio, Châtillon-lès-Bagneux, Châtillon-sous-Bagneux.
Châtillon serait un dérivé, sans doute mérovingien, du bas latin castellum, diminutif de castrum, accompagné du suffixe -ionem. Castrum désigne d’abord tous les types de forteresse, depuis le simple donjon jusqu’à l’enceinte urbaine, puis se spécialise dans le sens de « château fort » et se réduit ensuite à celui de « grande maison de plaisance ».
Le nom « Châtillon » est adopté en 1896[4] lorsque le conseil municipal décide d’abandonner le qualificatif « sous-Bagneux ».
Histoire[modifier | modifier le code]
En 1192, sous le règne de Philippe Auguste, apparaît pour la première fois le nom de Châtillon, Castellio qui veut dire petit château en latin[5]. On ignore l'emplacement de ce château ; peut-être sur les hauteurs de Châtillon, peut-être à l'emplacement du vieux bourg où était la ferme seigneuriale.
La seigneurie de Châtillon appartint à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés jusqu'en 1600, laquelle la vendit à Richard Tardieu.
En 1417, Jean, duc de Bourgogne, campa à Châtillon, y resta huit jours pendant lesquels son armée pilla les villages d'alentour, puis il alla faire le siège de Montlhéry.
De 1790 à 1795, Châtillon, qui porte pendant un temps le nom révolutionnaire de Montagne-l'Union, est un canton du district de Bourg-de-l'Égalité[6] (Bourg-la-Reine).
En 1815, les Anglais qui avaient passé la Seine à Sèvres, occupèrent les hauteurs de Châtillon et pillèrent le village. En 1815, il y eut sur le Plateau de Châtillon, un engagement très vif avec les troupes anglaises et prussiennes.
Lors de la guerre de 1870, Châtillon fut le théâtre de deux batailles : la première du 17 au 19 septembre et la seconde le 13 octobre. La tour aux Anglais, à proximité du Plateau de Châtillon, sur le territoire de Clamart, fut détruite par les forces allemandes le 2 janvier 1871.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[7], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine à la suite d'un transfert administratif effectif le .
La commune constituait historiquement le canton de Châtillon. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton s'est agrandi à une seconde commune, avec Fontenay-aux-Roses.
Châtillon relève du tribunal d'instance de Vanves, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[8].
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune était membre de la communauté de communes de Châtillon-Montrouge créée en 2005.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[9].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du 11 décembre 2016[10].
L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transféré aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :
- Communauté de communes de Châtillon-Montrouge (Montrouge, Châtillon) ;
- Communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre (Châtenay-Malabry, Antony, Bourg-la-Reine, Le Plessis-Robinson, Sceaux dans les Hauts-de-Seine – les deux communes essonniennes de Verrières-le-Buisson et Wissous ayant rattachées à la communauté d'agglomération Communauté Paris-Saclay) ;
- Communauté d'agglomération Sud de Seine (Fontenay-aux-Roses, Bagneux, Clamart, Malakoff).
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Au 1er janvier 2010, Châtillon est jumelée avec[15] :
Mersebourg (Allemagne) depuis 1963 ;
Aywaille (Belgique) depuis 1964 ;
Genzano di Roma (Italie) depuis 1990.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[16],[Note 1].
En 2016, la commune comptait 36 779 habitants[Note 2], en augmentation de 10,1 % par rapport à 2011 (Hauts-de-Seine : +1,37 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
- Pyramide des âges (2007)
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %).
À l'instar des répartitions nationales et départementales, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,5 %, 15 à 29 ans = 19,4 %, 30 à 44 ans = 26,5 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 13,5 %) ;
- 52,4 % de femmes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 24,9 %, 45 à 59 ans = 19,9 %, plus de 60 ans = 19,6 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Châtillon est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires[modifier | modifier le code]
La ville administre sept écoles maternelles : Arc-en-ciel, Langevin-Wallon, Gay-Lussac, du Parc, Jean-Jaurès, Les Sablons et Joliot-Curie, et six écoles élémentaires communales : Joliot-Curie, Marcel- Doret aussi appelée « École des crayons », Gambetta, Les Sablons, Langevin-Wallon et Jules Verne.
Le département gère deux collèges, George-Sand et Paul-Éluard, ainsi que le collège intercommunal Alain-Fournier, et la région Île-de-France gère un lycée : Jacques-Monod, lycée intercommunal avec la ville de Clamart.
Vie universitaire[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Santé[modifier | modifier le code]
La ville possède un centre municipal de santé, réservé aux habitants de Châtillon, qui propose un large éventail de spécialités médicales. On recense 11 pharmacies dans l'ensemble de la commune.
Sports[modifier | modifier le code]
Châtillon dispose d'un stade municipal de cinq gymnases (Maurice-Baquet, Gambetta, République, Langevin-Wallon, Les Sablons), de trois clubs de tennis (Tennis Club Arsenal, Tennis Club Béranger, Tennis Club municipal châtillonnais), d'un stade nautique en partenariat avec Malakoff (contenant notamment quatre bassins couverts et un bassin olympique extérieur). Elle dispose d'un centre sportif pour les jeunes[20].
Le Sporting Club Municipal Châtillonnais (S.C.M.C) est une association regroupant dix associations sportives (athlétisme, aqua-Forme, billard club, culturisme, football, gymnastique volontaire, judo, natation/water-polo, volley-ball, yoga)[21].
Le « cercle de la forme » propose des cours de fitness, de danse, d'arts martiaux[22].
Le rugby y est développé sous un jour original, avec des variantes venues d'Australie :
- Un club de rugby à XIII, qui comporte : une équipe féminine, une école de rugby pour les jeunes, et une équipe juniors / seniors : Les Gaulois[23],
- Un club de Touch rugby (rugby sans contact mixte) : Les Courants d'R[24].
Médias[modifier | modifier le code]
Cultes[modifier | modifier le code]
Les habitants de Châtillon disposent de lieux de culte catholique, israélite, musulman et protestant.
Culte catholique[modifier | modifier le code]
Depuis janvier 2010, la commune de Châtillon fait partie du doyenné des Forêts, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[25].
Au sein de ce doyenné, les trois lieux de culte catholique relèvent de la paroisse de Châtillon[26],[27] : l'église Saint-Philippe-et-Saint-Jacques, l'église Notre-Dame-du-Calvaire et la chapelle Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus.
Culte israélite[modifier | modifier le code]
La synagogue Baba Sale est située rue de Malakoff[28].
Culte protestant[modifier | modifier le code]
Le culte protestant est célébré à la chapelle de la fondation Lambrechts par des pasteurs de l'Église réformée de France et des pasteurs de l'Église évangélique luthérienne de France[29].
Culte musulman[modifier | modifier le code]
Les musulmans de Châtillon disposent d'une salle de prière dans un immeuble situé allée Vauban[30].
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 38 906 €, ce qui plaçait Châtillon au 3 094e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[31].
Emploi[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Le siège social d'AXA Assistance se trouve également dans la ville.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Philippe-et-Saint-Jacques, construite entre le XIIIe siècle et le XVIe siècle.
- Tour Biret. Elle domine Châtillon et se trouve à l'endroit où se situait la première glacière de la région parisienne.
- Moulin de pierre.
- Treuil de la carrière Auboin, dans le quartier des Boulottes : ce treuil à manège avait été construit à l'aplomb du puits d’une carrière de pierre calcaire souterraine située à 35 mètres de profondeur. Actionné par un cheval de trait, il permettait de hisser à la surface des blocs de pierre de plusieurs tonnes. Il a été arrêté au début du XXe siècle. Une association membre de l'union Rempart l'a restauré à partir de 1983[32]. Des démonstrations de son fonctionnement sont organisées chaque année lors des Journées européennes du patrimoine.
- Église Notre-Dame-du-Calvaire, construite de 1932 à 1935.
Châtillon dispose de nombreux parcs et jardins, dont le parc Henri-Matisse, le parc des Sarments et la folie Desmares près du marché.
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Châtillon dispose d'un conservatoire, d'une médiathèque, d'une maison des Arts, d'une maison des Enfants, d'un théâtre et d'un cinéma Art & Essai.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Charlotte Desmares (1682-1753), comédienne, habitait la Folie Desmares, bâtiment conservé.
- Louis Joseph Gay-Lussac (1778-1850), physicien et chimiste français, était propriétaire d'un château, rue des Pierrettes.
- Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), chansonnier, appréciait la maison de ses amis Perrotin et le petit vin de Châtillon...[réf. nécessaire]
- Antoine Lasègue (1793-1873), botaniste français.
- Louis Hachette (1800-1864), éditeur, propriétaire d'une maison à Châtillon.
- Maximilien Marie (1819-1891), militaire, polytechnicien et mathématicien, maire entre 1884 et 1890.
- Victor Gonzalez (1877-1956), facteur d'orgue, établit son atelier à Châtillon de 1930 à 1962.
- Paul Baudier (1881-1962), peintre, graveur, illustrateur, avait une maison à Châtillon
- Léon Guillemaind (1883-1965), mosaïste mort à Châtillon.
- Émile Dewoitine (1892-1979), industriel et constructeur aéronautique, implanta une usine de construction aéronautique à Châtillon.
- Marcel Doret (1896-1955), aviateur et pilote d'essai à Châtillon.
- Gabriel Coquelin (1907-1996), sculpteur et peintre.
- François Willi Wendt (1909-1970), peintre non figuratif français d’origine allemande, mort à Châtillon où il habitait.
- Léo Malet (1909-1996), écrivain mort à Châtillon.
- Serge Bromberger (1912-1986), journaliste et écrivain, prix Albert Londres, né à Châtillon.
- Albert Vidalie (1913-1971), écrivain, scénariste, parolier, né à Châtillon
- Indochine, groupe de rock, fit ses premières armes à Châtillon. Deux de ses membres fondateurs, Nicola et Stéphane Sirkis y ont habité[33].
- Frédéric Gracia (1959), artiste peintre muraliste, auteur de plusieurs fresques trompe-l'œil réalisées à Châtillon.
- René Giroux (1924), Maître verrier, Meilleur Ouvrier de France et unique professeur de vitrail en France de 1945 à 1985 avait son atelier au 55 rue Gabriel Péri.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Elles peuvent se blasonner ainsi : D'azur au château d'une échauguette à dextre et d'une tour à senestre, le tout d'argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, posé sur une terrasse aussi d'argent Ornements extérieurs : l'écu sur un cartouche encadré de deux branches, l'une d'olivier à droite, l'autre de chêne à gauche se réunissant au bas pour soutenir un médaillon en pointe de diamant. Le haut du cartouche est surmonté d'une couronne murale.
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Iconographie[modifier | modifier le code]
- Paris, vu de Châtillon , lavis de Paul Baudier, (collection de la ville de Châtillon)
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- R. Croze Chatillon, village de banlieue (195p.) Comité du souvenir chatillonnais, 1948.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
- Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
- « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Châtillon », sur le site de l'Insee (consulté le 28 février 2011).
- William Van Qui, « Châtillon entre violettes et carottes », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le 1er septembre 2019).
- D'après les archives de l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs à Paris
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le 8 mars 2013).
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Décret n° 2015-1655 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Antony sur Légifrance.
- « Les maires de Châtillon », sur http://www.francegenweb.org (consulté le 20 août 2014).
- « Elections municipales 2008 - Hauts-de-Seine », Le Monde, (lire en ligne).
- Pascale Autran, « Municipales à Châtillon : Jean-Pierre Schosteck (UMP) fait mieux qu'en 2008 », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
- « Liste des maires des Hauts-de-Seine » [PDF], le site de la préfecture des Hauts-de-Seine, (consulté le 20 août 2014).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le 11 janvier 2010).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- « Évolution et structure de la population à Châtillon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 5 septembre 2010).
- « Résultats du recensement de la population des Hauts-de-Seine en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 5 septembre 2010).
- Les équipements sportifs de la ville de Châtillon.
- Le Sporting Club Municipal Châtillonnais (S.C.M.C).
- Le Cercle de la Forme Châtillon.
- [1].
- [2].
- « Carte des doyennés janvier 2010 », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le 18 septembre 2011).
- « Liste des paroisses des Hauts-de-Seine », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le 18 septembre 2011).
- « Page d'accueil », sur le site de la paroisse de Châtillon (consulté le 18 septembre 2011).
- « Châtillon », sur le site des synagogues en France (consulté le 16 février 2012)
- « Cultes », sur le site de la mairie de Châtillon (consulté le 16 février 2012).
- http://annuaire.lemuslim.com/mosquee-de-chatillon-XAKB4107
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 11 novembre 2012).
- PICAR, Le treuil de la carrière Auboin dit « Le treuil de Châtillon »
- Jean-Eric Perrin, rock-critique et habitant de Châtillon dans les années 2000
- Commune des Hauts-de-Seine
- Commune des Hauts-de-Seine ayant porté un nom révolutionnaire
- Via Turonensis
- Châtillon (Hauts-de-Seine)
- Commune d'Île-de-France desservie par le métro
- Unité urbaine de Paris
- Aire urbaine de Paris
- Commune de l'ancien département de la Seine
- Commune des Hauts-de-Seine membre du forum métropolitain du Grand Paris