Saint-Aubin-en-Bray

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Aubin-en-Bray
Saint-Aubin-en-Bray
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du pays de Bray
Maire
Mandat
Patrice Dufour
2022-2026
Code postal 60650
Code commune 60567
Démographie
Gentilé Saint-Aubinois, Saint-Aubinoises
Population
municipale
1 178 hab. (2021 en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015)
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 13″ nord, 1° 52′ 45″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 231 m
Superficie 6,38 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lachapelle-aux-Pots
(ville-centre)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beauvais-2
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Aubin-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Aubin-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Saint-Aubin-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Saint-Aubin-en-Bray

Saint-Aubin-en-Bray est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Saint-Aubin est un bourg situé dans la partie picarde du pays de Bray, qui est une petite région naturelle de France située à l'est et au sud-est de Rouen, à cheval sur les départements de la Seine-Maritime et de l'Oise partagée entre les régions de Haute-Normandie et de Picardie. C'est une région de bocage qui se caractérise par son sol argileux favorable aux herbages et à l'élevage bovin laitier.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les villages les plus proches sont Espaubourg à 1,2 km en ouest, Ons-en-Bray à 3 km au sud est, Cuigy-en-Bray à 3,6 km en ouest et Lalandelle à 3,7 km au sud.

Communes limitrophes de Saint-Aubin-en-Bray
Blacourt Lachapelle-aux-Pots
Espaubourg Saint-Aubin-en-Bray Ons-en-Bray
Lalandelle

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 777 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Anémone pulsatille en larris.
Parnassie des marais.

La commune de Saint-Aubin-en-Bray a entrepris en 1993 des travaux permettant de valoriser un espace qui était une ancienne carrière d'extraction de craie. Après avoir nettoyé le sol de matériaux divers et aménagé pelouses, arbres et divers autres végétaux, les larris de Saint-Aubin-en-Bray deviennent un lieu où la nature reprend ses droits. La commune en a confié la gestion et la valorisation au Conservatoire d'espaces naturels de Picardie, devenu partie intégrante du Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[7],[8].

Un larri est un terme d'origine Picarde, passé en ancien français, désignant les coteaux calcaires non boisés. En picard, les pâtis à moutons sont « des larris » (nombreuses variantes orthographiques : larris ; larri ; larriz etc.). Le mot, souvent écrit lariz est en usage dans les textes classiques du Moyen Âge en picard ancien [ainsi les chevaux vont par chans et par larris, dans les plaines, les terres et les larris]. La chanson de Roland nous rapporte qu'un chevalier a couvert en sunt li val et li montaigne et li lariz et trestutes les plaignes. Le terme est issu de la racine germanique hlar qui signifie « clairière, lande » et que l'on retrouve également en toponymie comme terminaison -lers (ex. : Meulers) ou -flers (ex. : Mouflers) et en emploi autonome Flers. Le mot larris prend bien ici une valeur de toponyme écologique. »[9]

Orobanche.
Gentiane d'Allemagne.

La flore des larris est riche et originale, du fait de facteurs particuliers tels qu'un substrat crayeux pauvre en éléments nutritifs et ne retenant pas l'eau, une mince couche de terre dans laquelle les plantes doivent pouvoir prendre racine, ou encore une forte érosion. On y trouve entre autres la Gentiane d’Allemagne (Gentianella germanica), la Parnassie des marais (Parnassia palustris), l'Orobanche sanglante (Orobanche gracilis), le Galéopsis à feuilles étroites (Galeopsis angustifolia), la Phalangère rameuse (Anthericum ramosum) mais également plusieurs espèces d'orchidées sauvages.

La faune y est aussi typique comme le Tarier pâtre (Saxicola rubicola), un passeriforme qui affectionne les larris, ainsi que la Decticelle des bruyères (Metrioptera brachyptera), sauterelle rare dans l'Oise, le Demi-deuil (Melanargia galathea), un papillon commun sur les pelouses, et le Gomphocère roux (Gomphocerippus rufus), un petit criquet chanteur annonceur des journées chaudes d'été.

Représentés sur de faibles superficies de nos jours, les larris constituent de véritables îlots de biodiversité[10] qu'il convient de préserver[11].

Le site présente de fortes pentes instables et dangereuses et la circulation des engins à moteur y est interdite.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Aubin-en-Bray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lachapelle-aux-Pots, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 4 159 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39 %), prairies (30,2 %), forêts (15,5 %), zones urbanisées (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 610, 618, 6102, 6107, 6138, 6147 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Albinus (1159) ; Saint Aubin les Ons (vers 1240) ; Sanctus Albinus in Braio (1285) ; Saint Aubin en Brai (1285) ; eccl. Sancti Albini juxta novum forum (XIIIe) ; « sancti albini in braio prope belvacum » (1420) ; Saint Aulbin en Bray (XVe) ; Saint Aubin (1667) ; Saint-Aubin-en-Bray (1840)[22].

Saint-Aubin est un hagiotoponyme.

Le pays de Bray est une région naturelle de France du Nord-Ouest de la France. À cheval sur les départements de Seine-Maritime et de l'Oise.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1380, l'année de son accession au trône, le roi de France Charles VI dit Charles le Bien-Aimé (1368-1422) cède les terres de Saint-Aubin-en-Bray au chanoine de Beauvais Arnaud Corbie qui devient plus tard chancelier de France.

Les terres ont appartenu par la suite à la maison de Flavacourt dont elles sont séparées en 1405 pour créer une nouvelle cure. Le seigneur de Flavacourt (1396-1415) était général sur le fait des Aides pour Charles VI[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 juin 2018 Michel Mayer   Démissionnaire
juin 2018[24] mai 2020 Michel Lancien    
mai 2020 juillet 202[25] Marie Doisneau[26]   Démissionnaire
juillet 2022[27] En cours
(au 22 juillet 2022)
Patrice Dufour   Policier à la retraite

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 1 178 habitants[Note 3], en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
419487518503473496484459451
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
413416449443492432448466508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
533538548550571606540530615
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6907478258358559041 0911 1421 020
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0531 1651 178------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 576 hommes pour 577 femmes, soit un taux de 50,04 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,4 
4,5 
75-89 ans
5,1 
13,9 
60-74 ans
14,6 
22,5 
45-59 ans
23,0 
18,6 
30-44 ans
19,0 
14,8 
15-29 ans
13,7 
25,8 
0-14 ans
23,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Saint Aubin-en-Bray.
Vue latérale de l'église.
  • L'église fut rebâtie au XIXe siècle ; ses vitraux datent du XXe siècle.
  • Le promontoire duquel on voit le village permet une vue saisissante des terres, hameaux et communes environnantes. Il y a d'ailleurs un joli aménagement où on retrouve une table d'orientation permettant d'identifier les villages tout autour de Saint-Aubin-en-Bray.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative de François Séguin.
  • Un petit cousin d'Amérique :
    François Séguin[34] dit La Déroute issu de Laurent Séguin né à Hodenc-en-Bray en 1621 et décédé à Senantes le , marié à Marie Massieu à Cuigy-en-Bray le , est né le et baptisé le même jour à l'église de Saint-Aubin-en-Bray dont il existe une plaque commémorative dans son enceinte. Il a pour parrain François Baudin et pour marraine Jehanne Dufour. François est décédé à l'hôpital Hôtel Dieu de Montréal (Québec, Canada). La date du décès est imprécise soit entre le et le .
    François s'est marié avec Jeanne Petit en la paroisse de la Sainte Famille à Boucherville (Québec, Canada). Un contrat de mariage est signé entre lui et Jeanne auprès de Sieur Thomas Frérot de la Chenaye, notaire (1641-1708), le . François est l'aîné d'une famille de cinq enfants soit Renée, Pierre, Laurent et Michel. Le couple aura 11 enfants tous nés à Boucherville à l'exception de Simon né à Pointe-aux-Trembles.
    (Pierre) François Séguin dit Ladéroute immigre vers 1665. Il est soldat et fermier. Il possédait une bête à corne et six arpents de terre en valeur. Il fut tisserand en 1681 à la seigneurie de Boucherville.
    Il ne reste aucune trace des Séguin à Saint-Aubin, pas de monument, ni de maison ou de pierre tombale.
  • Linda de Suza (1948-2022), chanteuse franco-portugaise, a habité Saint-Aubin-en-Bray[35].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Aubin-en-Bray et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Les Larris de Saint-Aubin-en-Bray », Sites et milieux naturels, Conservatoire d'espaces naturels Hauts-de-France (consulté le ).
  8. Conservatoire ds sites naturels de Picardie, « Les larris de Sazint-Aubin-en-Bray » [PDF], sur cen-hautsdefrance.org, (consulté le ).
  9. Les Larris
  10. Super Utilisateur, « Les pelouses calcicoles », sur patrimoine-naturel-picardie.fr (consulté le ).
  11. Sylvie Cartier, « Préserver l'exceptionnelle variété des espèces sur les pelouses calcicoles », sur patrimoine-naturel-picardie.fr (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Lachapelle-aux-Pots », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Transports en commun à Saint-Aubin-en-Bray », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  22. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 497.
  23. Opération Charles VI
  24. « Nouveau maire à Saint-Aubin-en-Bray : Michel Lancien succède à Michel Mayer : Pas de révolution dans le village brayon mais simplement une démission du maire Michel Mayer élu depuis 1995. Le premier adjoint Michel Lancien lui succède. », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avant d’être à la tête de la commune, Michel Mayer fut élu conseiller en 1971. Il devient premier adjoint durant 6 ans puis maire (...) Son successeur a été élu en 1983 et est l’adjoint de Michel Mayer depuis 1995 ».
  25. « La maire de Saint-Aubin-en-Bray démissionne : La préfecture de l’Oise a validé cette décision, un conseil municipal est programmé vendredi 29 juillet en mairie. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Carlos Da Silva, « Démissions et destitution au conseil municipal de Saint-Aubin-en-Bray : Un an après son élection, l’entente n’est pas au beau fixe au sein de l’équipe municipale. La succession de Michel Mayer, l’ancien maire, ne se passe pas dans la sérénité. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Margaux Ratayzyk, « Patrice Dufour élu maire de Saint-Aubin-en-Bray », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le nouvel élu a été choisi parmi les 14 conseillers municipaux encore en place. Il l’emporte avec neuf voix contre trois pour l’ancien adjoint Christian Courtois, qui a par ailleurs présenté sa démission à l’annonce des résultats. Le candidat Norbert Philippet a quant à lui recueilli deux suffrages ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Aubin-en-Bray (60567) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. Association des Séguin d'Amérique - Depuis 1990
  35. Benjamin Merieau, « Linda de Suza avait habité l’Oise et aussi composé l’hymne du parc Saint-Paul : La chanteuse d’origine portugaise, décédée à 74 ans, vivait près de Gisors, à deux pas de l’Oise, où elle s’était beaucoup impliquée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).