Noroy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Noroy
Noroy
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Stéphanie Benabbas
2023-2026
Code postal 60130
Code commune 60466
Démographie
Gentilé Noroysiens
Population
municipale
261 hab. (2021 en augmentation de 23,7 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 57″ nord, 2° 30′ 13″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 159 m
Superficie 5,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Noroy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Noroy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Noroy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Noroy
Liens
Site web http://communedenoroy.canalblog.com

Noroy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Noroysiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes.

Noroy est une commune située à 66 km au nord de Paris, 30 km à l'est de Beauvais, 24 km à l'ouest de Compiègne et à 52 km au sud d'Amiens[1].

Topographie et géologie[modifier | modifier le code]

La commune s'étend de 103 mètres au sud de la commune à 159 mètres d'altitude à la limite sud-ouest du territoire. Elle se situe sur le plateau picard, laissant apparaître plusieurs points culminants au-dessus de 120 mètres au-dessus du niveau de la mer, comme la « Grande Montagne » (159 mètres) au sud-est et la « Montagne Sèche » au nord (125 mètres). Le relief peu marqué s'exprime par la présence de plusieurs vallées sèches s'orientant au nord et au sud. Le village s'étale de 127 à 137 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire à très faible risque sismique[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune de Noroy n'est traversée par aucun cours d'eau. Les seuls élements aquatiques sur le territoire sont un petit étang situé au sud du village ainsi qu'une mare rue Dufour. La présence de vallons témoigne d'une ancienne présence de ruisseaux, s'orientant au sud vers le bassin versant de la Brêche et au nord vers le bassin versant de l'Aronde[2]. Le village n'est pas situé au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes, qui lesquelles se situent uniquement au point le plus bas du territoire communal[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 16 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels[modifier | modifier le code]

Hormis le bâti, qui s'étend sur une vingtaine d'hectares, la surface communale est composée à plus de 75 % de cultures sur 412 hectares. Les espaces boisés sont majoritairement présents sur les coteaux au sud avec les bois du Grand Terrier, des Cailloux, de la Vieille Carrière, du Cerbullé, et du Courroie. On retrouve également quelques parcelles à l'est du village au lieu-dit la Motte et près de la Montagne Sèche, rassemblant au total 70 hectares pour 12.8 % de la superficie. Enfin, la commune comprend 48 hectares de vergers et prairies[11],[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noroy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,8 %), forêts (11,9 %), zones urbanisées (5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune ne possède pas de hameaux, les espaces bâtis se situent uniquement au chef-lieu[2].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par 3 routes départementales : la D37, la D 101, la D 557. La route départementale 37, de Breuil-le-Sec à Neufvy-sur-Aronde bien que longeant la limite communale au sud, est le principal axe de circulation permettant d'accéder à l'agglomération de Clermont, la plus proche. La route départementale 101, de Bulles à Estrées-Saint-Denis traverse le territoire d'est en ouest et constitue la rue principale du village (rue Saint-Jean-des-Pleurs). La route départementale 557 relie quant à elle le chef-lieu à Lieuvillers au nord. Le village est également desservi par plusieurs routes communales en provenance de Rémécourt et de Trois-Etots[2].

Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Avrechy et de Saint-Remy-en-l'Eau à moins de 6 kilomètres à l'ouest. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, mieux desservie, se trouve à 8 km au nord-ouest[1]. Ces gares sont toutes situées sur la ligne de Paris-Nord à Lille.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304 et 6341 du réseau interurbain de l'Oise[18]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[19]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6803) relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers, avec la commune de Cernoy[18].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 28 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 50 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Noerium (1150) ; Noeretum (1173) ; Petrus de Noereto (1173) ; de Noereto (1198) ; de Noerio (vers 1200) ; Noeroi (1203) ; Symon dominus de Noeroy (1218) ; Noueroi (1222) ; Nosroy (1244) ; « la grange dimeresche de Nooroi » (1252) ; Nouroy (1255) ; Nouenroi (1258) ; Jehenne de Nover[oi] (1258) ; Noueroy (1258) ; Simon de Noerio (XIIIe) ; le granche de Noueroy (vers 1290) ; Nouroy en Beauvoisis (1466) ; eccl. de Nourroi (XVIe) ; Nourroy (1613) ; Noroy (1652) ; Norroi (XVIIe) ; Nourné (1794)[20].

Le toponyme, orthographié au Moyen Âge Noeroi, proviendrait du bas latin Nucaretum, du picard noier nuier « noyer » et serait l'indication d'un lieu planté de noyers[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 René Gourguechon    
2008 décembre 2022[22] Pierre Wellecan NC[23] Chef d'entreprise retraité
Président du syndicat du regroupement scolaire ( ? → 2022)
Démissionnaire
février 2023[24] En cours
(au 7 mars 2023)
Stéphanie Benabbas   Assistante maternelle

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu deux fleurs au concours des villes et villages fleuris 2013[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 261 habitants[Note 3], en augmentation de 23,7 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
200236277251476261348236233
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
217241208199199197206190201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
179167185182171139147154132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
121102102109168184192194205
2018 2021 - - - - - - -
245261-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 123 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 50,2 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
4,9 
75-89 ans
6,6 
9,8 
60-74 ans
10,7 
19,5 
45-59 ans
21,3 
27,6 
30-44 ans
23,8 
14,6 
15-29 ans
18,9 
23,6 
0-14 ans
18,9 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune possède un monument historique sur son territoire.

  • L'église Notre-Dame (XVIe siècle) : Monument datant de 1552. On y remarque quelques vitraux et plusieurs tableaux en émail qui représentent l'histoire de la Passion[32]. Le monument possède le plus ancien confessionnal du département datant du XVIIe siècle. On y trouve des fonts baptismaux avec déversoir en pierre du XVIe siècle et un bénitier en pierre datant du même siècle[33]. L'édifice fait l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le [34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d et e « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 août 2016)..
  3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Noroy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Noroy et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Noroy », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Transports en commun à Noroy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Oise Mobilité (consulté le ).
  20. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 397.
  21. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 19.
  22. « Noroy : Le maire Pierre Wellecan a démissionné : L’élu justifie sa décision par un ras-le-bol général, mais il y a toutefois des raisons bien plus précises. », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pierre Wellecan, 70 ans, en était à son quatrième mandat de maire à Noroy, un village du Plateau Picard qui compte quelque 250 âmes ».
  23. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  24. Lucien Djani, « Stéphanie Benabbas vient d’être élue maire de Noroy : Élue suite à la démission de Pierre Wellecan, elle est la première femme à diriger le village du Plateau picard », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Matthieu Hérault, « Concours des villes fleuries : question d'envie et de budget », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noroy (60466) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Emmanuel Woillez, 1862; page 107
  33. Les objets classés de l'église Notre-Dame sur la base Palissy
  34. « Église Notre-Dame », notice no PA00114785, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.