Esquennoy

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Esquennoy
Esquennoy
L'église Saint-Pierre et son clocher carré à coupole.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Sylvain Germain
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60221
Démographie
Gentilé Esquenouillards, Esquenouillardes
Population
municipale
727 hab. (2021 en diminution de 0,27 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 25″ nord, 2° 16′ 10″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 170 m
Superficie 9,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Breteuil
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Esquennoy
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Esquennoy
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Esquennoy
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Esquennoy
Liens
Site web http://www.esquennoy.fr/

Esquennoy [ekɛnwa] est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Esquenouillards et les Esquenouillardes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La route nationale et l'église.

Esquennoy est un bourg rural du nord de l'Oise, située dans la vallée de la Noye et sur l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001) entre Beauvais et Amiens, à une distance d'environ 110 km au nord de Paris.

En 1843, Louis Graves indiquait que la « commune occupe la plus grande partie du bassin qui s'étend entre la côte à galets, les hauteurs boisées de Fléchy et de Villers-Vicomte, la ville de Breteuil et la vallée de la Noye. Sa superficie est tourmentée, inégale, découverte, à l'exception d'un bois situé vers l'angle nord-est.
Le chef-lieu formé d'une seule et large rue en lignes brisées se trouve à-peu-près au centre; il est assez bien bâti[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Esquennoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,5 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), forêts (1,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Le village comprend un hameau, Saint-Sauveur.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 333, alors qu'il était de 329 en 2014 et de 315 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 88,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 9,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Esquennoy en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,6 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Esquennoy en 2019.
Typologie Esquennoy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,8 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 9,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 624, 6109, 6122, 6140 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[14]. Elle est également desservie par la ligne 730 du réseau Trans'80[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Esquesnoy, Esquenoy, Esquennoye, Esquenois, Esquennois, Esquenoy, Esquernoy, Les Quaisnois, Le Quesnois, Equennoy[1].

Le toponyme Esquennoy est issu du gaulois cassanos signifiant chêne[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse d'Esquennoy, origine de l'actuelle commune, est fondée en 1239 par Mathieu, abbé de Breteuil, Mathieu, sur le site d'une forêt défrichée dont les restes existaient encore en 1843 sous le nom de bois d'Esguennoy[1].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Une maison de l'ordre du Temple se trouvait à Esquennoy. Un acte d'amortissement de 1212 indique que Catherine, comtesse de Blois et de Clermont avait donné aux Templiers « sa ville » d'Esquennoy, non loin de Breteuil, avec tous ses droits, à cette condition que l'anniversaire du feu comte et le sien, seraient célébrés au Temple à Paris[17].

Après la dissolution de l'Ordre du Temple, la maison est reprise par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui y fonde un hôpital dénommé Saint-Pantaléon et qui dépendait de la commanderie de Sommereux. « Cet établissement possédait le bois dit de la commanderie, avec des terres sur Blancfossé , Bonneuil, Flers, et une redevance de vingt muids de blé froment à prendre sur les moulins de Moreuil[1] ».

C'est lors des travaux sur la nationale 1 qu'on redécouvre un complexe réseau de souterrains appartenant à l'ancienne commanderie des hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[18], qui avait été transformée en grange à la suite de la confiscation des biens de l'Ordre. La grange, elle-même tombée en ruine, s'était fait oublier depuis la Révolution française.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Lors des Guerres de Religion, en 1589, « de nombreux partis de huguenots ravageant les environs, les habitons d'Esquennoy entourèrent leur village de murailles percées de meurtrières pour se défendre. Cinq des plus hardis montèrent sur le clocher après avoir muré les fenêtres de l'église; ils se défendirent quelque temps avec des couleuvrines qui portaient jusque dans Saint-Sauveur. Comme ils interceptaient le passage sur la grande route et sur le chemin de Conty, les huguenots s'emparèrent de force du village, et la population se réfugia dans le fort ; le vicaire fut surpris et massacré en voulant reconnaître l'ennemi. Ceux qui étaient dans le clocher ne capitulèrent qu'à condition d'avoir la vie sauve et après avoir tué beaucoup de monde; on a conservé les noms de quatre de ces citoyens courageux, de Marsy (Germain), Lambert (Gaudofroy), Pillon, et Bazin de Bosaudemer seigneur de Saint-Sauveur. Les huguenots détruisirent les galeries qui couronnaient la plate-forme de la tour afin qu'on ne pût s'abriter derrière. Le clocher porte encore les traces de quelques boulets qu'il reçut dans cette occasion[1] ».

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Lors de la Révolution française, les biens des Hospitaliers sont vendus comme biens nationaux[19].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1843, on comptait à Esquennoy un moulin à vent et une carrière[1].

Le bourg avait encore vers 1850 une activité textile importante (filage et tissage de la laine)[20]. L'entreprise Sellier-Delaforge d'Esquennoy participe à l'exposition universelle de 1867, dans la catégorie des fils et tissus de laine peignée[21]. En 1894 a lieu une grève d'ouvriers tisseurs à Esquennoy[22]

Durant la Première Guerre mondiale, la commune accueillait un aérodrome militaire français[23]. Le village a été bombardé par l'aviation allemande en août 1918, tuant un pilote et quatre soldats français, et détruisant vingt avions ainsi que des hangars Bessonneau[24]. Le camp d'aviation existait encore en 1920, et pouvait être exceptionnellement utilisés par l'aviation civile[25],[26].

La route nationale 1, qui traverse le village, s'affaisse au beau milieu de celui-ci, durant l'année 2004[27]. La circulation y a été impossible durant plusieurs mois.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[30], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[31].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[32], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise Picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [33].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[34]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1839 juin 1850 Pierre Payen    
Les données manquantes sont à compléter.
1925   Léon Colin    
Les données manquantes sont à compléter.
1961 mars 2001[35] Arthur Millot   Vice-président de la CC Vallées de la Brèche et de la Noye
mars 2001 30 octobre 2012[36] Françoise Rivière[37] DVG Retraitée
Démissionnaire
décembre 2012[38] 2020[39] Jean-Marc Évrard[40]   Médecin
mai 2020[41] En cours
(au 21 mars 2022)
Sylvain Germain   Professeur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

En 2021, la commune comptait 727 habitants[Note 3], en diminution de 0,27 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6916087688659579271 0001 0111 012
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9509259289191 0171 2521 2141 1511 029
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
756958907819806683654641682
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
737806936885876881783733723
2021 - - - - - - - -
727--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 362 hommes pour 352 femmes, soit un taux de 50,7 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,9 
7,0 
75-89 ans
9,2 
16,8 
60-74 ans
15,0 
23,1 
45-59 ans
23,8 
14,9 
30-44 ans
14,6 
13,8 
15-29 ans
17,3 
23,9 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

L'usine Airelec, du groupe Muller se trouve à l'emplacement des anciens tissages de la commune, occupés ensuite par la Société Industrielle d’Articles d’Eclairage (SIAE) qui fabrique des lampes à pétrole ainsi que des articles de cuivrerie artistique, locaux cédés après les destructions de la seconde guerre mondiale à la société Pigeon qui produira ses fameuses lampes ainsi que des réchauds jusqu’en 1960. A cette époque, l'usine est acquise par Radial qui y fabrique des radiateurs de chauffage central en aluminium, puis, progressivement, des appareils de chauffage électrique[19].

On note également l'entreprise ERISAP, située dans le centre de la commune et y perpétue une activité de tôlerie en fabriquant des structures métalliques[19].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.
  • Église Saint-Pierre : datant de 1540, la tour carrée de style Renaissance culmine à 40 m de haut. La nef a été reconstruite en 1834 et se poursuit par un beau chœur de la fin du gothique, doté de belles voûtes structurées par une croisée d’ogives traditionnelle complétée par des liernes dotées de dix-neuf clefs pendantes de tailles variées qui émaillent son réseau.
    Le mobilier comprend un retable et une chaire baroques, des statues du XVIe siècle. Sur les murs de l'édifice, il est possible de voir deux boulets de canon qui se sont incrustés dans la pierre. Quelque statues et les fonts baptismaux sont classés monument historique[47].
    L'église, après une dizaine d'années de chantier, a été rouverte en 2019[48].
  • Château d'Esquennoy : on y trouvait encore au XIXe siècle dans le parc les ruines d'un château ancien.
  • Château de Saint-Sauveur (XVIIIe siècle) : situé au hameau du même nom, il date de la fin du XVIIIe siècle. Il est agrémenté d'une chapelle datant de 1841.
  • Granges d'origine templière.
  • Ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem transformée en ferme.
  • Chapelle Sellier-Delaforge à l'entrée du cimetière.
  • Souterrains-refuges.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Esquennoy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Esquennoy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Esquennoy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 67-69.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Esquennoy et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Breteuil », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. « Lignes qui desservent Esquennoy (Oise) », sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
  16. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
  17. M. Trudon des Ormes, « Etude sur les possessions de l'Ordre du Temple, en Picardie », Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, iV, t. II,‎ , p. 75-382, notamment 253-259 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  18. « Département de l'Oise », Les commanderies de France triées par département, sur templiers.net (consulté le ).
  19. a b et c « Présentation de notre commune », sur esquennoy.fr (consulté le ).
  20. « L'industrie de la Laine à Breteuil (Oise) », La Soierie de Lyon : organe du Syndicat des fabricants de soieries de Lyon,‎ , p. 330 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  21. « Noms et adresses des exposants de la classe 29 », L'Exposition photographiée : revue hebdomadaire des exposants de 1867 : publié le dimanche par la Photographie Jalabert,‎ , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Le mouvement ouvrier », La Lanterne,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  23. Jacques Calcine, « Esquennoy », Anciens aérodromes, (consulté le ).
  24. a et b Philippe Créhange, « Quand Roland Garros décollait d'Esquennoy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  25. « Terrains d'atterrissage civils et militaires », Bulletin mensuel / Ligue aéronautique de France,‎ 3e trimestre 1919, p. 19 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  26. « Un attentat dans un camp d'aviation », Nimes-Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  27. « Le sol s'effondre à Esquennoy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  30. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  31. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  32. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  33. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  34. « Les maires de Esquennoy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  35. J. H., « Michèle Veys-Clouet propose de prendre la relève », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  36. « Esquennoy : élections complémentaires ce dimanche 2 décembre », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3213,‎ , p. 18.
  37. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
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