Guiscard

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Guiscard
Guiscard
La mairie.
Blason de Guiscard
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Thibault Delavenne
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60291
Démographie
Gentilé Magniens, Magniennes
Population
municipale
1 776 hab. (2021 en diminution de 1,11 % par rapport à 2015)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 24″ nord, 3° 03′ 09″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 104 m
Superficie 20,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Guiscard
Liens
Site web https://www.guiscard.fr

Guiscard est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Entrée du bourg.

Guiscard est un bourg périurbain picard du Noyonnais dans l'Oise et limitrophe de la Somme comme de l'Aisne, situé à 9 km à vol d'oiseau au nord-est de Noyon, 19 km de Roye, 10 km au sud de Ham, 13 km au nord-ouest de Chauny et 37 km au nord-ouest de Soissons.

Il est desservi par l'ancienne RN 32 (actuelle RD 932), et traversé par le sentier de grande randonnée GR 655, dit Via Turonensis, ainsi que du GR 655 GRP du Tour du Noyonnais.

Louis Graves décrivait en 1850 le territoire de la commune comme « traversé de l'est à l'ouest par les petits ruisseaux qui se réunissent au-dessous du bourg pour former la Verse; il présente au nord et au midi des coteaux ondulés, qui rendent très-inégale sa superficie considérée en général : les coteaux septentrionaux sont boisés; le reste du sol est en prairies ou terres labourables. Le chef-lieu est au centre du territoire, sur les deux côtés de la rivière. Il est formé de deux rues principales se croisant à angle droit, traversées par la grande route de Paris à Saint-Quentin, et par l'ancienne route de Nesle à Chauny. Ces deux rues et quelques autres sont pavées. Le bourg est assez bien bâti, ce qu'on doit attribuer aux nouvelles reconstructions nécessitées, par les incendies, qui, à diverses reprises, ont détruit une grande partie des habitations[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Guivry, Beaugies-sous-Bois, Berlancourt, Crisolles, Flavy-le-Meldeux, Fréniches, Maucourt, Muirancourt, Le Plessis-Patte-d'Oie, Quesmy, Villeselve et Esmery-Hallon.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Verse et ses affluents la Verse de Beaugies, la Verse de Guivry et le Ru Saint-Médard, drainent le territoire communal. La verse est un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Afin de lutter contre les inondations, telle celle de 2007, la Verse, qui avait été busée et enterrée, est remise à ciel ouvert en 2018/2019[2],[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Guiscard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (5,9 %), prairies (5,1 %), forêts (1,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Buchoire, hameau situé à l'est.
  • Tirlancourt-Béthancourt, hameau situé à l'ouest.
  • Rouvrel, hameau situé à l'ouest.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 800, alors qu'il était de 754 en 2013 et de 744 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 85,4 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 12,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Guiscard en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) égale à celle du département (2,5 %) et inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 59,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Guiscard en 2018.
Typologie Guiscard[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 85,4 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 12,1 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 677, 678, 6308 et 6333 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Energie[modifier | modifier le code]

Un projet de création de parc éolien, composé de cinq aérogénérateurs, de 80 m de hauteur de mât et de 126,5 m de hauteur en bout de pâles, est envisagé depuis 2013 au hameau de Buchoire et fait l'objet d'un permis de construire délivré par le préfet de l'Oise en janvier 2022, malgré l'opposition de communes voisines et de leurs habitants, notamment de la conurbation de Chauny-Tergnier-La Fère, proche de l'implantation retenue[17]. La réalisation de projet permettrait la production de 10,25 MW/h d'énergie électrique[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom primaire de la localité est attesté sous les formes Maigni vers 970 ; Magniacum en 988 ; Magny en 1641[19], le duc Simon de Magny (1142-1188) possédant ce fief. Puis ensuite sous la forme Guiscard (1705), le lieutenant général Louis de Guiscard, fils du sous-gouverneur de Louis XIV achète le domaine en 1699. Il obtient l'érection de sa terre en marquisat en 1705 et, quelques années plus tard, le village prend le nom de Magny-Guiscard en 1757 ; Magny-Guiscard en 1787[20] puis finalement Guiscard[21],[22]. La localité porte le nom de Guiscard depuis 1791[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Louis Graves indique « Guiscard est un des lieux anciens du Vermandois ; son église était au nombre dee celles qui furent données vers 988 au chapitre de la cathédrale de Noyon par l'évêque Lyndulphe, donations confirmées par le pape Jean XV. Ce lieu s'appelait alors Maigni ; la terre en était considérable : il fut possédé par des seigneurs, qui en prirent le nom jusqu'au treizième siècle. Il passa successivement ensuite aux maisons de Marteville, d'Hangest, de Gouffier-Bonnivet, d'Ongnies, d'Ailly, de Chaulnes[1] ».

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Possession au XIVe siècle de la famille de Hangest, Magny passe aux Gouffier par le mariage en 1499 d'Hélène de Hangest, dame de Magny, avec Artus Gouffier, duc de Roannais, pair de France, grand-maître de France, gouverneur du Dauphiné, Bailli du Vermandois, qui fait construire le château d'Oiron. En 1561, leur fils, Claude Gouffier, vend Magny à Louis d'Ongnies, surintendant des finances sous le Roi Charles IX, qui est fait comte de Chaulnes en 1563[24].

Au milieu du XVIIe siècle, sa descendante Charlotte d'Ailly, alors veuve du maréchal duc de Chaulnes, fait restaurer le château de Magny, qu'elle finit par faire presque complétement reconstruire de 1671 à 1674[25] par l'architecte Jules Hardouin-Mansart[26]. Elle y reçoit plusieurs fois Louis XIV et la cour. Edifié en brique et pierre sur un terre-plein maçonné entouré de fossés, le château s'insérait alors dans un vaste parc dessiné à la française[27]. Mis en vente après la mort de son fils, Charles d'Albert d'Ailly, 3e duc de Chaulnes, le domaine est acheté en 1699 par Louis de Guiscard[28], gentilhomme originaire du Quercy, qui donne son nom à la terre de Magny. Dans les années 1770, le parc en est réaménagé à l'anglaise par le paysagiste Jean-Marie Morel, pour son descendant, Louis Marie d'Aumont, duc d'Aumont, avec étangs, îlots, pavillons[29]. Les fossés sont comblés. Sur la carte de Cassini, ce parc est représenté en deux parties.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Acquis aux idées révolutionnaires, le duc d'Aumont parvient à conserver son domaine de Guiscard, où il meurt en 1799, juste après l'avoir vendu à son beau-fils. Sa fille, la duchesse de Valentinois, rachète le domaine de Guiscard mais n'y habite pas et le revend en 1823 au baron Émile Oberkampf, député et propriétaire de la manufacture éponyme qui fabriquait les toiles de Jouy. Celui-ci restaure la propriété et procède à des embellissements, mais le château est endommagé par un incendie en 1826. En 1831, les Oberkampf revendent la propriété, qui est démembrée. A nouveau vendu en 1851, le château est démoli aux deux tiers, les étangs sont asséchés, le parc défriché, et les terres mises en culture[1],[30].

Au XXIe siècle, il subsiste du château l'ancienne aile Nord-Ouest avec sa galerie à arcades, ainsi qu'une partie des dépendances[31],[32].

En 1850, la commune est propriétaire d'une école, d'une sablonnière, de deux argilières, d'une marnière ainsi que de quarante hectares de terre. A cette époque, on trouve sur le territoire communal cinq moulins à vent, une fabrique d'acide sulfurique (la vitriolerie), deux fours à chaux, deux tuileries. Une partie de la population fabrique alors des mouchoirs de coton. Un relais de poste se trouve sur la route de Paris à Saint-Quentin (qui deviendra plus tard la route nationale 32[1].

La commune est desservie, de 1895 à 1955, par un chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau départemental de l'Oise, le chemin de fer de Noyon à Ham. L'ancienne gare et le café de la gare tout proche sont devenus des habitations.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dès le début du mois de , Guiscard, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et reste loin du front qui se stabilise à une trentaine de kilomètres au sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Pendant 30 mois les habitants vivent sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front. En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi, la gare est détruite[33]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Guiscard[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Guiscard est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Louis Charles Hubert[34]   Propriétaire, Conseiller général de Guiscard (1848 → 1859)
Officier de la Légion d'honneur
    Louis Charles Hubert (fils)   Conseiller général de Guiscard (1859 → 1889)
         
         
  1869 Antoine Lefebvre    
1870 1873 Charles Herbert    
1873 1878 Louis Mansart (par intérim)    
1878 1882 Constant Soyer    
1882 1889 Charles Herbert    
1889 1899 François Lecus    
1900 1903 Nicolas Lagneaux    
1904 1913? Paul Vilin   Cultivateur
         
mars 1989[35] juin 2010[36] Jean-Louis Coqset[37],[38] PS
puis SE
Principal de collège
Conseiller général de Guiscard (1979 → 2004).
Vice-président de la CC du Pays Noyonnais[Quand ?]
Conseiller régional de Picardie[Quand ?]
Démissionnaire
juin 2010[35],[39] En cours
(au 6 juin 2023)
Thibault Delavenne PRG,
puis SE
puis DVD[40]
Agent de production à l'usine Yves Saint Laurent de Lassigny
Conseiller général de Guiscard (2011 → 2015[41])
Conseiller départemental de Noyon (2021[42] → )
Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2014 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[43],[44]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

France Services[modifier | modifier le code]

Fin 2016, une Maison de services au public est aménagée dans les locaux du bureau de poste, et permet, depuis un ordinateur dédié, une imprimante et un scanner, permettent aux usagers d’effectuer leurs télé-procédures en libre-service et en toute autonomie avec la CPAM, MSA ou Carsat, mais pas la CAF[45].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés dans un groupe scolaire primaire et maternel, qui compte, pour l'année scolaire 2022-2023, douze classes, dont une est menacée de fermeture pour la rentrée 2023[46].

Ils poursuient leurs études avec ceux de communes avoisinantes au collège Constant-Bourgeois de Guiscard, qui, en 2021-2022, accueille 318 élèves répartis en 14 classes[47].

Santé[modifier | modifier le code]

Une maison de santé pluridisciplinaire portée par l'intercommunalité a été créée en 2014. Accueillant en 2023 deux médecins généralistes ainsi que neuf autres praticiens libéraux, cette structure doit être agrandie en 2024 afin de comprendre également deux bureaux pour les médecins généralistes, un autre destiné à une sage-femme, une salle de soins commune, un espace d’attente et une chambre avec service[48],[49].

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Une médiathèque a ouvert fin 2016 dans l’espace culturel du Chauffour, avec le soutien de la médiathèque départementale de l’Oise, qui a notamment fourni l’essentiel du fonds de livres[50],[51].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La sécurité publique est assurée dans le bourg par la communauté de brigades de gendarmerie du Noyonnais, implantée à Noyon et à Guiscard[52],[53].

Le centre de secours des sapeurs pompiers de Guiscard, regroupé en 2009 avec celui de Noyon, compte (en 2023) 18 sapeurs-pompiers professionnels et les 101 volontaires. La caserne de Guiscard a effectué 500 interventions en 2022[54].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].

En 2021, la commune comptait 1 776 habitants[Note 3], en diminution de 1,11 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1591 2871 2881 3541 5801 6501 5751 5841 614
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5541 6071 6581 5781 5641 4541 3901 4491 413
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3881 4251 2901 1891 1571 0761 0591 0311 103
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1351 3431 5181 5041 5711 7201 8941 9181 802
2017 2021 - - - - - - -
1 8031 776-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 863 hommes pour 941 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
3,1 
6,5 
75-89 ans
11,1 
15,4 
60-74 ans
15,6 
18,2 
45-59 ans
18,4 
17,7 
30-44 ans
16,3 
18,1 
15-29 ans
15,6 
23,5 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[59]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Le club de Football de Guiscard La jeunesse sportive de Guiscard[60] (J.S.G) compte plus de 130 licenciés sur la saison 2011/2012.

L'équipe Première évolue en seconde division du district de l'Oise. L'équipe Réserve évolue en quatrième division. Le club dispose de catégories de jeunes : U18, U15, U13, U11, ainsi que le foot animation.

Il existe l'Association du Tennis club[61]de Guiscard (ATCG) depuis , dont le terrain se situe à Guiscard même.

Le Handball club de Guiscard (HBC), créé en 1982, compte en 2023 87 licenciés. Son équipe seniors a été championne de l’Oise en 2016[62],[63].

Cultes[modifier | modifier le code]

Pour le culte catholique, la paroisse Notre-Dame-de-l’Espérance du Noyonnais rayonne depuis 2020 sur le territoire de 83 communes, dont Guiscard[64].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Quentin, située à la limite de l'ancien parc du château, et qui remonte aux XIIe et XVIe siècles.
    La nef, de plan basilical, est la partie la plus ancienne de cette église et compte aujourd'hui quatre travées, dont les bas-côtés ont été refaits en 1919. Le transept date lui du XVIe siècle et comprend une voûte d’ogives à liernes et tiercerons. Le bras nord est éclairé par des fenêtres en arc brisé à réseau flamboyant, tandis que celui du sud comporte des fenêtres en plein cintre sans réseau.
    Vingt-deux panneaux en chêne sculpté de provenance inconnue et datant du début du XVIIe siècle ont été remontés dans le transept. Ils représentent notamment le Christ et les apôtres. L'église est ornée de vitraux des XIXe et XXe siècles, comprenant notamment une œuvre de 1932 du maître-verrier Ch. Champigneulle, le martyr de saint Quentin[22].
  • Site de l'ancien château de Guiscard, détruit au milieu du XIXe siècle. Il en subsiste une aile et une partie des dépendances[65].
  • Chapelle funéraire de la famille de Berny dans le cimetière, construite en 1932 par l'architecte amiénois Pierre Ansart, et représentative de l'art funéraire de l'entre-deux-guerres[66]
  • Musée Ferme de la Patte d'Oie, situé au village de Plessis-Patte-d’Oie et reconstituant une exploitation agricole du début du XXe siècle, une classe d’école de 1950 et une maison noyonnaise de la Belle Epoque (Écomusée traditions rurales et métiers d'antan), fermé depuis fin 2021 sur l'injonction de la mairie, propriétaire des locaux[67],[68].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Guiscard Blason
D'argent à la bande de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • O. Goberville, Guiscard ancien et moderne : chef-lieu de canton (Oise), Compiègne, impr. de Ferdinand Valliez, , 34 p. (lire en ligne), sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 46-49, sur Google Livres.
  2. Alexis Bisson, « A Guiscard, enfin le début des travaux anti-crues : Après des années de tergiversations, le vaste plan de travaux contre les inondations, le long de la rivière Verse, est enfin lancé », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Alexis Bisson, « A Guiscard, la Verse commence à revoir le jour : Un premier tronçon de la remise à ciel ouvert de la rivière est inauguré ce mardi. Le vaste chantier anti-crues doit se poursuivre jusqu’à la fin de l’année dans la commune du Noyonnais », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  18. Georges Lucas, « Le parc éolien de Guiscard, évoqué en 2013, refait surface aux portes de l’Aisne : Le projet du parc éolien de la Tombelle à Guiscard (Oise) semblait tombé dans l’oubli, mais l’accord donné à son permis de construire en janvier exhume ce projet aux portes de l’agglomération Chauny-Tergner-La Fère. Les élus des communes environnantes maintiennent leur opposition au projet », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  35. a et b « Thibault Delavenne nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ). « C'est sans surprise que l'ex-adjoint aux finances, Thibault Delavenne, vient d'être élu maire de Guiscard. Il vient de succéder à l'emblématique Jean-Louis Coqset, qui était maire depuis 1989 et qui a été aussi conseiller général du canton pendant vingt-cinq ans. Ce dernier a choisi de se retirer pour raisons personnelles, mais reste tout de même conseiller municipal ».
  36. « La succession de Jean-Louis Coqset ouverte », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « L’ancien maire de Guiscard et conseiller général Jean-Louis Coqset est décédé : Jean-Louis Coqset s’est éteint à l’âge de 91 ans, le 4 novembre dernier. Il avait été maire de Guiscard de 1989 à 2010 et conseiller général du canton de Guiscard de 1979 à 2004. Il était également connu à Noyon, où il fut notamment le principal du collège Paul-Eluard. », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il effectua quatre mandats au sein de l’assemblée départementale. Les deux premiers sous l’étiquette socialiste, les deux suivants sans étiquette. «Mais il avait gardé ses convictions de gauche», croit savoir Thibaut Delavenne ».
  38. Stephane Lebarber, « Les hommages à l’ancien maire de Guiscard, Jean-Louis Coqset, se multiplient : Le prochain conseil municipal pourrait décider de baptiser un lieu du nom de l’ancien édile », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Fabrice Foucher, nouveau vice- président de la CCPN », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Élu sans étiquette du canton de Noyon-Guiscard, Thibaut Delavenne rejoint la majorité de droite au Département », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Thibaut Delavenne, élu en 2021 conseiller départemental sans étiquette de Noyon-Guiscard, a rejoint le 19 septembre, à l’occasion d’une séance à huis clos de commission permanente à l’Hôtel du Département, le groupe de la majorité de droite, dirigé par la présidente LR, Nadège Lefebvre ».
  41. « Noyon-Guiscard : Delavenne renonce », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A gauche, le leadeur incontesté est Patrick Deguise (PS), maire de Noyon et conseiller général sortant. Cela implique que son coéquipier soit une femme, et contraint donc Thibaud Delavenne, maire et conseiller général sortant de Guiscard, à ne pas être candidat ».
  42. Stéphane Le Barbier, « Thibaut Delavenne, nouveau conseiller départemental de Noyon : « Nous voulons apaiser le territoire » : Thibaut Delavenne, nouveau conseiller départemental aux côtés de Corinne Achin, reprend un canton profondément divisé entre les partisans de la majorité du Pays noyonnais et l’ancienne équipe de Patrick Deguise. Il n’entend pas prendre parti et plaide l’équité des subventions », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Thibaut Delavenne repart en campagne à Guiscard », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Thibaut Delavenne, 46 ans, maire sortant, est de nouveau en lice pour les municipales ».
  44. « Guiscard : Seul en lice Thibault Delavenne évidemment réelu », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Arnaud Brasseur, « Un lieu unique pour tous les services publics : Dans la Poste de Guiscard, il est désormais possible de suivre son dossier CPA, MSA ou Carssat, de quoi rapprocher les habitants des services publics », Le Journal de Ham, no 7,‎ , p. 9.
  46. S.L.B., « À Guiscard, la colère reste forte pour garder les 12 classes : Les pancartes en carton étaient bien là, vendredi 10 février 2023, en fin de cortège : les parents d’élèves des écoles élémentaire et maternelle de Guiscard ont rejoint la manifestation cantonale contre les projets de fermetures de classes, organisée à l’initiative des familles noyonnaises de Saint-Exupéry », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Avec 14 classes, les effectifs au collège de Guiscard sont finalement « raisonnables », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Stephane Lebarber, « La Maison de santé de Guiscard, en quête de médecins supplémentaires, sera agrandie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. S.L.B., « À Guiscard, la Maison de santé sera agrandie début 2024 : Les locaux, qui accueillent onze praticiens dont deux médecins généralistes, sont trop exigus. Le Pays noyonnais prévoit 410 000 euros de travaux. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Page de la médiathèque sur le site de la mairie.
  51. Alexis Bisson, « Guiscard : enfin une « vraie » médiathèque ! », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  52. L.G., « A Guiscard, les élus veulent garder leurs gendarmes », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. S.L.B., « Le nouveau commandant des gendarmes de Noyon et Guiscard: «Le harcèlement scolaire est une chose qui revient de plus en plus» : Le lieutenant Sébastien Cojean, 31 ans, a pris début août le commandement de la communauté de brigades du Noyonnais », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. S.L.B., « À Noyon et Guiscard, un nouveau chef aux centres de secours : Le lieutenant Philippe Couriol coordonnera les interventions avec les casernes de Lassigny et Guiscard, afin de « mutualiser les effectifs » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  60. Site de la Jeunesse Sportive de Guiscard, sur Facebook.
  61. Site du Tennis Club
  62. « Le club de handball de Guiscard fête ses 40 ans et tend la main aux jeunes : Avec 80 joueurs, le club affiche une belle forme au moment de fêter ses 40 ans. Il n’y a pas que la compétition : une section baby, dès l’âge de 3 ans, et une pratique en loisirs sont aussi proposées. L’équipe de joueurs de 12 à 13 ans, «Les Sharks», évolue au niveau départemental. Tous viennent prendre avant tout du plaisir. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Cécile Lauffenburger, « Guiscard: le club de handball n’en finit plus de grandir : Le Handball club de Guiscard compte 87 licenciés. Les effectifs ont augmenté depuis ces dernières années et ce, quel que soit le niveau », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  64. Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, des prêtres partout grâce à la « super paroisse » : L’ancienne paroisse Saint-Éloi a monté une équipe unique avec Guiscard, Lassigny, Ribécourt-Thourotte et Carlepont, aidée par une société de conseil en management. De quoi répondre aux nombreuses demandes de cérémonies de baptême ou d’obsèques, qui repartent à la hausse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. « Sucreries & distillerie de Guiscard », sur Etablissements sucriers de Guiscard (Oise) (consulté le ).
  66. « Chapelle funéraire de la famille de Berny dans le cimetière », notice no PA60000030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. Site du Musée Ferme de la Patte d'Oie.
  68. « Dans le Noyonnais, le dernier espoir de sauver le musée-ferme : Les 25 bénévoles du musée associatif du Plessis-Patte-d’Oie tentent d’innover en multipliant les animations à l’extérieur. Le litige avec la municipalité, qui interdit depuis près de trois ans l’accès au local, les empêche toujours d’accueillir le public », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  69. Dominique Cesari, « Le Parc de Guiscard », sur parcsafabriques.org, (consulté le ).
  70. « Guiscard », sur Sites historiques Grimaldi de Monaco (consulté le ).