Saint-Martin-aux-Bois

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Saint-Martin-aux-Bois
Saint-Martin-aux-Bois
La mairie, dans la cour de l'école
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Alain Lebrun
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60585
Démographie
Population
municipale
277 hab. (2021 en diminution de 4,15 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 18″ nord, 2° 34′ 19″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 134 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Saint-Martin-aux-Bois
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Liens
Site web https://www.saintmartinauxbois.fr/

Saint-Martin-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Paysage du village : la rue de l'Abbaye.

Saint Martin aux Bois est un petit village rural du Plateau Picard, situé à 5 km de Maignelay-Montigny, à 15 km de Saint-Just-en-Chaussée et à 25 km de Compiègne.

Il est aisément accessible depuis l'autoroute A1.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Martin-aux-Bois
Maignelay-Montigny Coivrel Montgerain
Ravenel Saint-Martin-aux-Bois Ménévillers
Léglantiers Montiers

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 669 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86 %), forêts (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (2,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304, 6309, 6328 et 6342 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes eccl. beati Martini de Ruricurte (1146) ; abbatia S. Martini de Ruricurte (1150) ; Sancti Martini de Ruricurthe (1173) ; Sancti Martini de Ruricurte (1180) ; beati Martini de Ruricurte (1185) ; sigillum sancti Martini de Lauricuria (1190) ; Si martini de rericore (1190) ; Sanctus Martinus in nemore (1242) ; abbatia divi Martini in nemore (1242) ; Saint Martin ou bos (1255) ; Saint Martin de Relincourt (1255) ; Sanctus Martinus de Relicuria (1265) ; S. Martin au bos (1267) ; « couvent de saint martin de ruricourt en le dyocese de biauvais » (1277) ; Sanctus Martinus in bosco (1277) ; Saint Martin de Relicourt (vers 1297) ; Saint Martin de Ruricourt (1299) ; « abbatia Si Martini in bosco vel Ruricurtis » (XIIIe) ; Saint Martin ou boz (1373) ; Saint Martin du boz (1373) ; S. Martin de Reullancourt (1374) ; Sainct Martin de Ruricourt dit ou Bos (1491) ; Beati Martini de Ruricurte alias in bosco (1522) ; Saint Martin aux bois (1667) ; Saint Martin aux Bois de Ruricourt (XVIIe) ; Martin aux Bois (1794)[14].

Ruricourt, Ruvicourt, Rurecourt est un ancien hameau[15], un lieu détruit[14], attesté sous les formes Ruricurtis (1102) ; de Ruricurte (1150) ; ecclesia de ruricort (1152) ; Ruricurt (1167) ; Ruricuria (1170) ; Ruricort (1190) ; Ivo prepositus de Ruricurte (1190) ; de Relicuria (1265) ; de Relicourt (vers 1297) ; de Ruricourt (XIIIe) ; Ruellicourt (1470)[16].

Saint-Martin est un hagiotoponyme qui fait référence à Martin de Tours ou à Martin de Corbie.

Le déterminant -aux-Bois est dû aux grands bois situés entre l'abbaye et Saint-Just-en-Chaussée, dont le déboisement est postérieur au XIIe siècle[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

À la fin du XIe siècle, une communauté de chanoines réguliers de saint Augustin est venue fonder l'abbaye Saint-Martin de Ruricourt, dite "aux Bois" (Sancti Martini de Ruricorte alias in Bosco). Entre 1245 et 1260, l'église abbatiale est construite[18]. Elle était au XIIIe siècle une des plus riches d'Île-de-France, mais a été ruinée par la guerre de Cent Ans[19].

En 1445, un incendie allumé par les Anglais détruit une partie des bâtiments monastiques[18].

Henri IV aurait défini l’abbatiale comme “la plus belle lanterne de son royaume”[réf. nécessaire], bien qu'elle n'ait jamais été achevée. La façade n'est ainsi qu'un mur de soutènement provisoire[15].

En 1644, les chanoines de Saint-Augustin sont remplacés par les génovéfains, puis l'abbaye est cédée en 1675 au collège de Clermont à Paris. L'année 1677 marque l'extinction du titre d'abbé de Saint-Martin, puis, lors de la Révolution française, en 1793, les bâtiments abbatiaux sont vendus comme biens nationaux et démolis[15].

Le déboisement opéré pour permettre la construction des bâtiments abbatiaux et de ses dépendances fait que la commune porte mal son nom et 80 % de la surface boisée a disparu au fil des ans[15].

Première Guerre mondiale

Le , le général Anthoine fit à Saint-Martin-aux-Bois une revue du 10e corps d'armée, qu'il commandait[20],[21],[22].

Une partie des œuvres d'art de l'abbaye a été évacuée en par l'armée française afin de les préserver[23],[24],[25],[26],[27],[28],[29]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Maignelay-Montigny[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Estrées-Saint-Denis..

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-aux-Boix est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 1977 Henri Leblond    
mars 1977 1994 Pierre Guyard[32]   Directeur général adjoint des services du conseil régional de Picardie
juin 1995 mars 2001 Didier Warmé    
mars 2001 mars 2014 Bernard Thiou[33] SOC[34] Instituteur et journaliste
mars 2014[35] En cours
(au 14 avril 2021)
Alain Lebrun   Cheminot
Réélu pour le mandat 2020-0026[36].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

En 2021, la commune comptait 277 habitants[Note 2], en diminution de 4,15 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
358348371393404411405396412
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
390378370364388357336344349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
333321323261252263259274266
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
251218225220245282293294294
2017 2021 - - - - - - -
287277-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 145 hommes pour 140 femmes, soit un taux de 50,88 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
4,1 
75-89 ans
5,0 
13,2 
60-74 ans
17,2 
25,5 
45-59 ans
23,5 
18,4 
30-44 ans
16,9 
22,5 
15-29 ans
17,0 
16,2 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Les premières fêtes médiévales de l'abbaye ont eu lieu les 21 et [42], et les secondes le samedi 11 et dimanche 12 septembre 2021, avec une dizaine de troupes et un tournoi d'archerie[43]

Économie[modifier | modifier le code]

En 2016, le seul commerce de la commune est le Restaurant de l’abbaye[44], bistrot centenaire de Saint-Martin-aux-Bois, labellisé bistrot de pays et recommandé par le Guide du routard, le Club des bons vivants et l’association le Porc d’antan[45].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'imposante façade de l'église abbatiale.
L'aérien chevet de l'église abbatiale.

Saint-Martin compte un monument historique sur son territoire, la très imposante abbaye de Saint-Martin-aux-Bois, considérée comme un chef-d'œuvre de l'art gothique, et qui est longue de 31 mètres, large de 18,45 mètres et haute de 27 m sous les voûtes[46],[47] (dont l'église est classée monument historique par la liste de 1840, le mur d'enceinte, la ferme et le colombier sont classés en 1984 et la porte fortifiée ainsi que les vestiges du cloître sont inscrits en 1984[48]) : l'église abbatiale du XIIIe siècle faisait partie d'une abbaye fondée au XIe siècle. L'église mesure 31 mètres de long et 26 mètres de haut sous les voûtes.

Le chœur, à cinq travées terminées par un chevet à sept pans, est fait d'une immense verrière en grisaille de 20 m de hauteur, qui serait une réplique de celles de la Sainte-Chapelle de Paris[49].

Le mobilier comporte des stalles sculptées datant de 1498 et 1501, avec des miséricordes et des appui-mains sculptées représentent des monstres ou des animaux jouant de la musique, ainsi qu'un bas-relief en marbre blanc de saint Martin datant de 1344[50]. À l'origine appelée « abbaye de Saint-Martin-de-Ruricourt », elle fut construite au XIIIe siècle pour les chanoines de Saint-Augustin, et prend le nom de Saint-Martin-aux-Bois vers la fin de ce siècle. L'ancienne entrée de l'abbaye avec mâchicoulis existe encore avec sa porte charretière et sa porte piétonne, ainsi que des bâtiments abbatiaux, transformés à usage agricole.

Le Galata, datant des XIIIe et XVe siècles, est un long bâtiment à étage possédant de nombreux contreforts. Il devait autrefois servir de réfectoire, de caves et probablement de maison d’hôte. À partir de 1492 à jusqu’en 1931, il sera la demeure de l’abbé commendataire de l’abbaye. C'est une propriété privée[51]

Le pigeonnier carré, transformé en une chambre d’hôte et renommé le « colombier[52] ».

L'abbaye de Saint-Martin-aux-Bois est fermée au public. La rénovation du bâtiment et notamment des verrières est engagée en 2020, mais le budget de cette réhabilitation a été difficile a réunir par cette toute petite commune, propriétaire de l’édifice, qui a bénéficié de subventions de l'état et du département, ainsi que de mécénat d'entreprises[53],[49],[54]

On peut également noter :

  • Le "Jardin de Loisirs de l'Abbaye" : réalisé en 2002 par l'architecte-paysagiste Sophie Alexinsky (agence « SA-paysage »). La commune souhaitait réaliser un programme sportif sur la prairie de deux hectares attenante à l'édifice. Le jardin de loisirs intègre des aires de jeux dans une composition contemporaine sur le thème du jardin de cloître.
  • Le tour de ville
  • La mare, appréciée des pêcheurs

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'abbé Jean de Rouvilliers, qui offre, en 1260, le vitrail du chœur[18].
  • L'abbé Gallon de Montigny, mort en 1271, enterré devant le maître-autel dans le chœur[18].
  • Guy de Baudreuil (1492-1531), premier abbé commendataire, nommé en 1492[18].
  • Jean-François Lemaire (né à Saint-Martin en 1775, mort en 1844), chef d'escadron, lieutenant aux grenadiers à cheval de la Garde impériale, participa à toutes les campagnes de 1793 à 1814, chevalier de la Légion d'honneur[55].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Martin-aux-Bois et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Saint-Martin-aux-Bois », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a et b Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 518.
  15. a b c et d « Saint-Martin-aux-Bois et son abbaye du XIIIe siècle », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510,‎ , p. 16.
  16. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 491.
  17. Maury 1867, p. 175.
  18. a b c d et e « Église abbatiale de chanoines réguliers de saint Augustin Notre-Dame », notice no IA60001566, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. « Abbaye de Saint-Martin-aux-Bois », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine ; les drapeaux », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine : le général remettant des décorations », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine ; le général pendant le défilé », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. Évacuation des œuvres d'art. L'église ; descente de la statue de la Vierge placée au-dessus de la porte de la sacristie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Section photographique de l'armée, « Photo : Compiègne. Au palais : dépôt d'œuvres d'art : œuvres provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  25. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  26. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  27. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  28. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Accotoir de stalle (XIVe siècle) provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  29. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Statue en pierre, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. « Les maires de Saint-Martin-aux-Bois », sur francegenweb.org (consulté le ).
  32. « Hommage à Pierre Guyard », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Bernard Thiou : 40 ans d’histoire avec l’abbaye », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510,‎ , p. 20 « À 68 ans, l’ancien maire du village de 2001 à 2014, en est encore aujourd’hui le premier adjoint. Cet instituteur retraité est arrivé à Saint-Martin-aux-Bois, il y a 40 ans : « Je revenais d’Agadir au Maroc où j’avais fait de l’enseignement en coopération pendant 4 ans, je suis arrivé ici dans la France rurale et profonde. J’ai été très bien accueilli par les habitants et notamment Pierre Guyard (ndlr : l’ancien maire), c’est ce qui m’a tout de suite plu dans le village : il y a un vrai sens de l’accueil » ».
  34. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 9782352581604, lire en ligne).
  35. « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 21.
  36. « Procès-verbal de séance du conseil municipal - Séance du 25 mai 2020 » [PDF], Arrêtés et comptes-rendus, sur saintmartinauxbois.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Martin-aux-Bois (60585) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  42. Carlos Da Silva, « Une première fête médiévale à Saint-Martin-aux-Bois : Sollicitée par la confrérie du Cerbère, la commune a répondu favorablement à l’organisation d’une fête médiévale autour de l’abbaye », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Lucien Djani, « La Médiévale de retour les 11 et 12 septembre prochains à Saint-Martin-aux-Bois : L’édition 2020 ayant été annulée, les organisateurs n’ont pas baissé les bras et proposeront la Médiévale sur le site de l’abbatiale. L’opération est portée par la municipalité, le comité des fêtes, l’association des Amis de l’abbaye et la Confrérie du Cerbère », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Site du Restaurant de l'abbaye
  45. Élisabeth Gardet, « Saint-Martin-aux-Bois : le Restaurant de l’abbaye, « c’est un peu comme chez Mamie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. L'église : intérieur ; Pieta », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  47. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. L'église : porte de la sacristie surmontée d'une statue de la Vierge », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  48. « Abbaye de Saint-Martin-aux-Bois », notice no PA00114868, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. a et b Simon Gourru, « Son abbaye, un «cadeau empoisonné» pour ce petit village de l’Oise : Chef-d’œuvre de l’art gothique, son abbaye du XIIe siècle est difficile à entretenir pour la mairie de Saint-Martin-aux-Bois, commune de 300 habitants. Si des travaux ont pu débuter sur les verrières de 20 mètres de haut, il aura fallu dix ans pour boucler le financement », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Trois richesses de la commune : Les stalles », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510,‎ , p. 18.
  51. « Trois richesses de la commune : Le Galata », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510,‎ , p. 18.
  52. « Trois richesses de la commune : Le pigeonnier carré », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510,‎ , p. 18.
  53. Lucien Djani, « L’abbatiale de Saint-Martin-aux-Bois entre les mains de maîtres-artisans jusqu’en 2022 : Le confinement a retardé l’avancée des travaux, mais l’équipe de l’abbatiale espère pouvoir reprendre les visites dès 2022 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. Lucien Djani, « Des spécialistes au chevet de l’abbatiale de Saint-Martin-aux-Bois : La rénovation de l’imposante bâtisse du XIIIe siècle est prise en charge par des compagnons ou maître-artisans rompus aux techniques de restauration des monuments anciens. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  55. « Jean-François Lemaire », base Léonore, ministère français de la Culture.