Le Fayel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Fayel
Le Fayel
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Isabelle Fafet
2020-2026
Code postal 60680
Code commune 60229
Démographie
Gentilé Fayelois, Fayeloises
Population
municipale
232 hab. (2021 en augmentation de 5,94 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 22″ nord, 2° 41′ 58″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 81 m
Superficie 2,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Fayel
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Fayel
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Le Fayel
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Le Fayel

Le Fayel est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de la LGV Nord à Longueil-Sainte-Marie et Le Fayel en 2014

Le Fayel est située à 8 km d'Estrées-Saint-Denis, 9 km de l'A 1 (vers Paris),13 km de Compiègne et 14 km de Pont-Sainte-Maxence.

En 1832, Louis Graves indique que « Le petit territoire de Fayel est formé d'une plaine légèrement inclinée du Midi vers le Nord; il est entièrement dépourvu .d'eau courante : le village est au centre[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Fayel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (17,4 %), forêts (10,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 100, alors qu'il était de 97 en 2014 et de 90 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 9,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Fayel en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement au Le Fayel en 2019.
Typologie Le Fayel[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 9,1 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par l'autoroute A1, dont l'accès vers Lille se trouve à 5 km et la LGV Nord. Le sentier de grande randonnée GR124A — rejoint par une voie verte utilisant la plateforme d'une ancienne voie ferrée et qui permet de se rendre à Estrées-Saint-Denis et Longueil-Sainte-Marie ou Rivecourt[14] — passe dans le village.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 661, 6301 et 6322 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été dénommée le Fayel, Fayel, le Fay (Fayellum)[1]

De l'oïl faï « bois de hêtres » et du suffixe diminutif -el[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au VIIe siècle, le Fayel n'est une simple dépendance du palais de Verberie, dont il est séparé à l'époque de la fondation du prieuré de Rivecourt par le roi Childebert IV. « Les ravages des Normands obligèrent bientôt, les. moines de Saint-Vandrille, propriétaires de Rivecourt, à placer, leur maison et les lieux .voisins sous la sauvegarde des seigneurs de Pierrefonds ; ceux-ci envoyèrent dans. le pays un chevalier pour lequel les religieux constituèrent un fief spécial.
Les successeurs de oe chevalier agrandirent leur possession de quelques acquisitions faites aux clercs de Saint-Corneille ; telle fut l'origine de la terre de Fayel, et l'on voit encore [en 1832] dans le parc les restes du premier manoir qui fut élevé[1] ».

« La chapelle de Fayel est comprise dans l'énumération des biens que le roi Childebert donna, en 693 , aux moines de St.-Vandrille pour former le prieuré de Rivecourt, et depuis lors cette chapelle dépendit de la cure de Rivecourt[1] ».

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Lors des guerres de Religion, la chapelle de Fayel est détruite par les huguenots. Elle est réédifiée en 1642 par le maréchal de la Mothe-Houdancourt, seigneur du lieu, « au moyen d'une fondation de cinq cents livres que l’évêque de Mende avait laissée dans ce but et pour établir une paroisse ; mais cette seconde partie du testament ne reçut pas d'exécution[1] ».

Le , la reine Christine de Suède venant en France pour Compiègne où se trouvait la Cour, est accueillie au Fayel par Louis XIV[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La gare de Canly - Grandfresnoy, sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves dessert la commune de 1882 à 1939.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d’Estrées-Saint-Denis[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le Fayel est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Aimé de Cossé-Brissac   châtelain
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2014 Édouard de Cossé-Brissac[18]   Comte, Châtelain du Fayel
Cadre dirigeant d'entreprises puis agriculteur
2014[19] mai 2020 Julien Geoffroy[20]   Ouvrier
mai 2020[21] En cours
(au 2 décembre 2020)
Isabelle Fafet   Personnel de la santé et du travail social

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 232 habitants[Note 3], en augmentation de 5,94 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
227256255228217206202179186
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
162145151171146151132131131
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
106135119132131126127104139
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
121124120126200213225227228
2015 2020 2021 - - - - - -
219230232------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 118 hommes pour 105 femmes, soit un taux de 52,91 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,9 
1,6 
75-89 ans
1,9 
24,6 
60-74 ans
17,6 
18,9 
45-59 ans
23,1 
15,6 
30-44 ans
21,3 
23,0 
15-29 ans
10,2 
15,6 
0-14 ans
24,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame.
  • Château du Fayel construit au XVIIe siècle pour le maréchal Philippe de La Mothe-Houdancourt, aussitôt après l'érection du duché-pairie, son parc, ses communs et sa chapelle[27],[28].
    Louis Graves indiquait en 1832 « c'est un édifice en brique et en pierre, formé d'un corps-de-logis principal et de deux ailes en retour d'équerre : son dessin , simple , noble et commode, est attribué à Mansard ; de vastes dépendances, des jardins dessinés par Lenôtre, un parc de cent hectares au moins, de longues avenues garnies d'arbres fruitiers embellissent ce château et en font un séjour agréable[1] ».
  • Monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le nom de certains seigneurs de Fayel nous est parvenu[1] :

  • Reynaud, qui prend au XIIe siècle le titre de chevalier.
  • En 1450, Guillaume le bègue, vicomte de Breteuil et chambellan du roi, possède aussi les terres du Meux et d'Armancourt
  • James de Fayel, son petit-fils, est chevalier, conseiller et également chambellan du roi, Il n'a qu'une fille qui épouse Guillaume de Ferrières , baron de Thury et de Dangu.
  • Pierre de Ferrières , fils de celui-ci, vend le les terres de Fayel, Rucourt , Armancourt... , à Michel Gaillart seigneur de Longjumeau , dont les descendants les ont possédées jusqu'en 1627.
  • Daniel de La Mothe Duplessis Houdancourt, évêque de Mende, grand-aumônier et chancelier de Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre, les achète alors lors d'une adjudication.
  • Le propriétaire suivant est son frère, le maréchal Philippe de La Mothe-Houdancourt, vice-roi de Catalogne, en faveur duquel elle est érigée en duché-pairie par Louis XIV.
  • Le duc d'Amont en devient propriétaire par sa femme, Angélique de la Mothe
  • En 1682 , le duché de Fayel est cédé à Henri de La Mothe-Houdancourt, archevêque d'Auch, grand-aumônier de la reine Anne d'Autriche, moyennant deux cent mille livres.
  • Jérôme de La Mothe-Houdancourt, son frère, en hérite en 1684 et le donne en 1686 à son neveu le comte de la Mothe, tué le 2 novembre 1710 à la défense d'Aire. Les descendants de cette maison continuèrent à posséder le domaine de Fayel, mais le titre de duché s'éteint faute d'enfants mâles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 au Le Fayel » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 au Le Fayel - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 au Le Fayel - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 106 p. (Achille Desjardins), p. 37-40, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Fayel et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duCompiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Fanny Dolle, « À vélo, les élus traquent les défauts de la coulée verte entre Estrées-Saint-Denis et Rivecourt : Quel avenir pour la coulée verte ? La création de cette piste cyclable de 18 kilomètres, reliant Estrées-Saint-Denis à Rivecourt, remonte à 2005. Une réflexion est menée pour rendre cet axe encore plus accessible », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Transports en commun au Fayel », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1238.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Jean Boulangé, « Au Fayel, le maire, c'est le châtelain », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Fayel », Cartes de France (consulté le ).
  20. En 2017 Julien Geoffro a apporté son parrainage à la candidature de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle: « Tableau des parrainages validés par Conseil constitutionnel, présidentielle 2017 », sur Tous les parrainages validés - Conseil constitutionnel présidentielle 2017 (consulté le ).
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Fayel (60229) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  27. Jean Marot, Recueil des plans, profils et élévations des [sic] plusieurs palais, chasteaux, églises, sépultures, grotes et hostels bâtis dans Paris et aux environs par les meilleurs architectes du royaume desseignez, mesurés et gravez par Jean Marot, vues 62 et 63 (voir)
  28. « Photographies du château du Fayel », sur gettyimages.fr (consulté le ).