Montjavoult

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Montjavoult
Montjavoult
Église Saint-Martin
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Laura Catry
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60420
Démographie
Population
municipale
510 hab. (2021 en augmentation de 7,82 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 54″ nord, 1° 47′ 01″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 207 m
Superficie 16,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Liens
Site web https://www.montjavoult.fr/

Montjavoult est une commune française située dans le Vexin français, dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont les Montjoviciens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Montjavoult est un village situé entre Paris et Rouen qui fait parie du Vexin français et culmine à 207 mètres, étant ainsi l'un des plus hauts villages du Bassin parisien. Le village n'est desservi par aucune grande route, mais la RD 915 y passe à proximité (axe Pontoise-Gisors-Dieppe).

La commune compte six hameaux et lieux-dits habités, qui sont Beaugrenier, Hérouval, le Bout du Bois, le Marais, le Vouast et Valécourt. Les communes limitrophes sont les suivantes :

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montjavoult est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75 %), forêts (18,7 %), prairies (4,7 %), zones urbanisées (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 270, alors qu'il était de 240 en 2013 et de 236 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 73,1 % étaient des résidences principales, 19,1 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montjavoult en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Montjavoult en 2018.
Typologie Montjavoult[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 73,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,1 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 7,8 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 605, 6106 et 6136 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes monte jocundiaco en 832 et 862[14],[15],[16] ; monte Genvoldi en 1157[14],[15],[17],[16] ; monte jovis et mont Jove en 1207 ; Montgeuvol et Montjavou en 1208 ; Mongeuvolt en 1213 ; Mongenvolt en 1213 ; Mont Genvolt en 1214 ; montis jovis en 1220 ; monte iovis en 1234 ; monte jovis en 1248 ; Monjavou au XIIIe siècle ; Mons jovis en 1337 ; Monjanvult en 1487 ; Mont Javoust en 1488 ; Mont Javoult en 1497 ; Montiavoult en 1554 ; Mont javou en 1635 ; Moniavoult en 1654 ; Montjavolt en 1720 ; Montjavoult en 1840[14],[16].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Mont- « hauteur, colline, mont » (mot issu du gallo-roman MONTE, formé à partir de l'accusatif du latin mōns, c'est-à-dire montem) suivi d'un anthroponyme germanique[15],[17],[16] qui seul est capable de rendre compte des formes anciennes en -oldi / -olt et qui explique par évolution régulière la terminaison -oult de Javou[lt]. Les avis divergent cependant sur la nature exacte de ce nom de personne : Albert Dauzat considère que la forme initiale est Genvold, François de Beaurepaire propose Givald / Givold (il lit *Geuvoldi pour la forme de 1157) qu'il latinise en Givaldus / Givoldus, bien attesté[17] et Ernest Nègre suppose une variante de Genvold avec la désinence latinisée -us, à savoir *Genboldus, dont seul le féminin Genbolda est attesté[16].

Ni Ernest Nègre, ni François de Beaurepaire ne tiennent compte des formes du IXe siècle, car elles n'expliquent pas les formes postérieures et le toponyme actuel, seul Dauzat remarque qu'il y avait un toponyme primitif en -acum formé avec le nom de personne latin Jucundius[15] et qui aurait dû aboutir à *Jongy localement (cf. Jongieux, Savoie, Jongiacum 1399[15]). En revanche, Ernest Nègre s'intéresse aux latinisations savantes en Monte Jovis argant du fait qu'elles sont motivées par la tradition qui veut que ce lieu soit initialement consacré à Jupiter[16], peut-être sous-entend-t-il que l'attraction qu'elles auraient exercées explique le passage anormal du [b] de *Genboldus au [v] de *Genvoldus ? La formation toponymique Monte Jovis existe par ailleurs et a régulièrement donné Montjoux (Drôme, [castrum] Montis Jovis 1278[15]). François de Beaurepaire rapproche Montjavoult des nombreux Jeufosse (Yvelines, Fossa Givaldi au IXe siècle Guiolt fossa sans date), Géfosse (Calvados, Guioldfosse 1160), Guéfosse (Orne), Geffosses (Manche, Givolli fossa 1084), ainsi que du type Courgivaux (Marne, Courgivolt 1153, Curia Givoldi 1209), etc.[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Montjavoult a longtemps été un fief dépendant de l'abbaye de Saint-Denis. Au XIVe siècle, Raoul de Presles mentionne les trois buttes de Montjavoult, Courdimanche et Montmartre dédiées, selon lui, respectivement à Jupiter, Apollon et Mars, et communiquant entre elles par des feux (l'utilisation de la butte de Montjavoult pour des communications optiques pendant des siècles est attestée[19]). Les restes d'un fanum gallo-romain (plateforme carrée[Note 3]) ont été retrouvés au XIXe siècle sur le site de l'église. Jacques Cambry en parle dans sa Description du département de l'Oise, de 1803[20], et Louis Graves mentionne les fouilles de 1826 dans son Précis statistique du canton de Chaumont-en-Vexin.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie, rue de la Mairie

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Élisabeth Gourdain    
mars 2008 mai 2012 Gérard Lubrano   retraité
Démissionnaire
15 juin 2012 mai 2020 Pierre Corade   Ingénieur à la retraite
mai 2020[21] En cours
(au 4 juin 2022)
Laura Catry   Cadre retraitée

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 510 habitants[Note 4], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
650642615661642626654702654
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
628579539525543513475456441
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
421441477386434378361431394
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
366313292324449465496475482
2021 - - - - - - - -
510--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 254 hommes pour 227 femmes, soit un taux de 52,81 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
5,1 
75-89 ans
9,4 
18,6 
60-74 ans
17,4 
23,6 
45-59 ans
19,9 
15,3 
30-44 ans
18,4 
18,8 
15-29 ans
13,6 
18,2 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

Montjavoult compte un seul monument historique sur son territoire.

  • Église Saint-Martin (classée monument historique par arrêté du [28]) : Bâtie sur le sommet d'une butte, à 207 m d'altitude, elle marque le paysage à plusieurs kilomètres à la ronde, et représente l'un des principaux monuments de l'ancien canton de Chaumont-en-Vexin. Son grand portail Renaissance, bâti vers 1565 par Jean Grappin, de Gisors, constitue son élément le plus remarquable. À l'instar du volumineux clocher de la même époque qui le jouxte à l'ouest, il serait digne d'une grande église de ville. À l'intérieur, le collatéral sud voûté à la même hauteur que le vaisseau central, forme avec la nef un vaste volume unifié de proportions élancées, inattendu dans un village aujourd'hui sans importance. Son style flamboyant tardif intègre quelques éléments Renaissance. Le reste de l'église est beaucoup plus modeste, et a été édifié majoritairement entre la fin du XVe siècle et le premier quart du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant, en reprenant en partie des structures plus anciennes, notamment la base d'un clocher central du XIIe siècle. Dans la nef tout comme dans le chœur et ses collatéraux, l'on observe des types de piliers atypiques et des manières particulières de faire retomber les voûtes, ce qui permet de conclure à un lien de parenté avec l'église de Parnes. Cependant, une partie subsiste encore de l'église romane du XIe siècle. Il s'agit du bas-côté nord de la nef, qui s'ouvre par trois arcades en plein cintre sans style particulier, mais possède à l'intérieur une voûte en berceau très ancienne renforcée par quatre arcs-doubleaux déformés sous le poids de la voûte[29].

Autres éléments du patrimoine[modifier | modifier le code]

Ancienne croix de cimetière.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine Vion d'Hérouval (1606-1689), érudit et historien, résidant au manoir d'Hérouval.
  • Jean de Chaumont-Quitry (1583-1667), seigneur de Boisgarnier (Beaugrenier), garde des livres du cabinet du roi[33].
  • Alexandre Sanson-Davillier (1793-1863), banquier et industriel, résidant au manoir d'Hérouval.
  • Simone de Villeneuve-Bargemont (1872-1937), sculpteur, résidant au château du Bout-du-Bois[34].
  • Théophile Lorriaux (1838-1910), pasteur, fondateur de l'Œuvre des Trois-Semaines (la Clé des Champs)[35], œuvre continuée par son fils Robert, mort à Montjavoult en 1952.
  • Pierre Gillouard (1889-1970), agriculteur, maire de Montjavoult (1923-1959), chef de la Résistance locale, participe avec son secrétaire de mairie Marcel Dumont au sauvetage des enfants juifs et des aviateurs alliés, et à la distribution de faux papiers. Membre de l'académie d'Agriculture en 1954[36].
  • Marcel Dumont (1892-1978), instituteur et secrétaire de mairie[36].
  • Louis Coache (1920-1994), prêtre intégriste, curé de Montjavoult, organisa dans les années 1960 des pèlerinages très suivis sur place, à la grande joie du cafetier du village.
  • Dado (1933-2010) et Hessie (1936-2017), peintre et artiste textile contemporaine installés dans les années 1960 dans le moulin d'Hérouval[37].
  • Aymar Pezant (1846-1916), peintre animalier français des XIXe et XXe siècles.
  • Matthieu Gourdain, né en 1974, champion olympique de sabre.
  • Jeanne Lamboux (1881-1954), infirmière, reconnue juste parmi les nations, pour avoir sauvé deux fillettes juives en les hébergeant chez elle[38]. Une stèle implantée en 2022 honore sa mémoire[39],[40].

Montjavoult au cinéma[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montjavoult Blason
D'or au sautoir ancré d'azur chargé en cœur d'une fleur de lis du champ, soutenu de deux doloires adossées de gueules, celle de dextre posée en barre, l'autre en bande.
Détails
Armes empruntées à des seigneurs de la commune : les Broglie (sautoir ancré) et les seigneurs du Bout du Bois (haches).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé L. Le Blévenec, Montjavoult des origines à nos jours, Beauvais, Imprimerie départementale de l'Oise, , 44 p.
  • Christian Ménard, « Promenades au travers des villages du Vexin-Thelle : Montjavoult », Les cahiers de la Société historique et géographique du bassin de l'Epte, Le Coudray-Saint-Germer, no 34,‎ , p. 13-25 (ISSN 0756-6336)
  • Philippe Champy, « Montjavoult au carrefour de trois régions », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupe d'étude des monuments et œuvres d'art de l'Oise et du Beauvaisis (G.E.M.O.B.) « bulletins n° 156-157-158 »,‎ (ISSN 0224-0475)
  • Philippe Champy, « Montjavoult, village de Justes », Amis du Vexin français, no 71,‎ , p. 2-7 (ISSN 0335-4172)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. On sait que le fanum gallo-romain était de plan carré
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Montjavoult » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjavoult - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjavoult - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Montjavoult et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Montjavoult », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a b et c Émile Lambert, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, 1982 (réédition), p. 363.
  15. a b c d e et f Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 369b-470b
  16. a b c d e et f Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II : formations romanes, formations dialectales, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 990, n° 17838 (lire en ligne sur Google Books) [1]
  17. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 121 - 122
  18. François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 194
  19. Champy 2013, p. 57-58
  20. tome I, p. 145-146
  21. Matthieu Le Tirant, « Après un an de mandat, la maire de Montjavoult plus que jamais attachée à la démocratie participative : Élue dans le cadre d'une liste « participative et ouverte », Laura Catry, maire de Montjavoult (Oise) est entourée depuis un an d'une équipe qui a fait émerger de nombreux projets », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montjavoult (60420) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  28. Notice no PA00114757, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Bernard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Montjavoult, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 237-239.
  30. Champy 2013, p. 4, 11-13, 17-18
  31. Champy 2013, p. 21, 25-27
  32. Champy 2013, p. 25
  33. Jean de Chaumont-Quitry sur data.bnf.fr.
  34. Champy 2013, p. 12, 13 et 20.
  35. lire en ligne
  36. a et b Champy 2013, p. 14-15 et 53-55, Champy 2015, p. 2-3.
  37. Cf. le site du peintre Dado.
  38. Champy 2015, p. 4-7.
  39. « Montjavoult : une stèle en la mémoire d'une Juste du village : La grande Histoire a été commémorée à l'occasion de cette cérémonie chargée d'émotion et de reconnaissance », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Jeanne Lamboux - dossier n°13890a », Les Justes de France, Comité français pour Yad Vashem (CFYV) (consulté le ).
  41. Visite de Montjavoult.