Rocquemont (Oise)

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Rocquemont
Rocquemont (Oise)
L'église Saint-Laurent.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Arnaud Peters
2020-2026
Code postal 60800
Code commune 60543
Démographie
Population
municipale
117 hab. (2021 en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 34″ nord, 2° 49′ 09″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 114 m
Superficie 6,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Rocquemont
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Rocquemont
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Rocquemont
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Rocquemont

Rocquemont est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud du département de l'Oise, sur le plateau du Valois et non loin de la vallée de l'Automne, à 5,5 km au nord-ouest de Crépy-en-Valois. Rocquemont est un village à caractère rural en dehors de toute agglomération[1]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 56 km[2]. Le chef-lieu de d'arrondissement de Senlis est éloigné de 18 km[3], et le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne de 17 km[4], et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 36 km au sud[5]. Rocquemont comporte un hameau, le Plessis-Châtelain, situé à l'extrémité nord-ouest du territoire communal. Le hameau comportait une partie habitée sise sur la commune de Néry.

Communes limitrophes de Rocquemont (Oise)[6]
Béthisy-Saint-Martin
Néry Rocquemont (Oise)[6] Glaignes
Trumilly Duvy Séry-Magneval

Le territoire communal est occupé pour sa plus grande partie par des surfaces agricoles et présente un paysage dénudé, pratiquement sans arbres, à l'exception d'une toute petite parcelle boisée au nord et du vallon de Baybelle. Orienté dans un sens ouest-est, il tient son nom du ruisseau de Baybelle qui y prend sa source, pour s'écouler à Séry-Magneval dans le ruisseau Sainte-Marie, affluent de l'Automne. Le vallon présente de coteaux raids et escarpés et atteint une quarantaine de mètres de profondeur par rapport au plateau agricole. Le point le plus bas de la commune se trouve par ailleurs à la sortie du ruisseau du territoire communal, à 59 m au-dessus du niveau de la mer. Le village est bâti immédiatement au nord du vallon, près de son origine, où il s'appelle encore vallée du Mont Jouy. Ailleurs, le relief est peu accentué sur la commune. Le point culminant atteint 114 m, soit seulement dix à quinze mètres de plus que le plateau dans les environs de Rocquemont, le village lui-même étant bâti à 102 m d'altitude. Il n'y a pas d'autres cours d'eau.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rocquemont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), forêts (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Concernant les voies de communication, Rocquemont est desservie par une seule route départementale, la RD 25 Béthisy-Saint-Martin - Duvy. En direction du nord, elle permet de rejoindre Verberie et Compiègne par la RD 200 ; en direction du sud, elle débouche à Duvy sur la RD 1324 Senlis - Crépy-en-Valois. Des voies communales relient Rocquemont à d'autres communes voisines : Néry par son hameau de Verrines, Glaignes et Trumilly. Depuis cette dernière commune, il est également possible de rejoindre la RD 1324 en direction de Senlis et de l'autoroute A1.

Rocquemont ne dispose pas d'une gare sur son territoire, la gare la plus proche étant celle de Crépy-en-Valois. Elle est desservie par des trains TER Hauts-de-France et la ligne K du Transilien depuis la gare de Paris-Nord.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6441 et 6447 du réseau interurbain de l'Oise[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Rupimons, Roquemons, Roquemons en 1288, Rocmont, Rokemont, Roquemont[20].

Il s'agit d'une formation médiévale en -mont. Le premier élément roque est la forme normanno-picarde correspondant au français roche[21], tous deux procédant du gallo-roman ROCA, d'origine celtique (gaulois). cf. breton roc'h. Il signifie « roche » mais aussi « fortification sur une roche », puis « château ». L'appellatif toponymique mont a le sens ancien de « hauteur, colline, mont » et est issu du gallo-roman MONTE, lui-même de l'accusatif singulier montem du latin mons, montis « mont, élévation de terrain, montagne ». Composé du picard roc / roque et du latin mons : « (le) mont de la roche »[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 n'achève pas le mandat 2008-2014 Michel Peters   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2008-2014
? En cours
(au 27 septembre 2014)
Arnaud Peters   Réélu pour le mandat 2014-2020[22]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 117 habitants[Note 3], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
164177160139163166168188151
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
150146110126138140134128127
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
125111122116116120159107108
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
841031049510410410096103
2015 2020 2021 - - - - - -
115118117------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 64 hommes pour 56 femmes, soit un taux de 53,33 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
6,3 
75-89 ans
5,5 
20,6 
60-74 ans
23,6 
27,0 
45-59 ans
16,4 
25,4 
30-44 ans
21,8 
6,3 
15-29 ans
10,9 
14,3 
0-14 ans
21,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

Vue partielle de l'église et croix de cimetière.

Rocquemont compte deux monuments historiques sur son territoire.

  • Église Saint-Laurent (inscrite monument historique par arrêté du [29]) : elle a été construite à la fin de la période romane, vers 1130, et ne comporte à l'origine qu'un vaisseau unique. L'adjonction de bas-côtés et de croisillons à la période gothique transforme la silhouette de l'église et modifie les élévations latérales de la nef romane et de la base du clocher, mais tous leurs éléments d'origine restent visibles à l'intérieur. Il faut notamment citer les deux voûtes d'ogives précoces du chœur, qui sont parmi les premières du département. Elles sont simples et robustes, et tel est le caractère de l'ensemble de l'église, hormis le portail occidental du milieu du XIIe siècle, qui fait preuve d'une certaine recherche. L'église Saint-Laurent ne se démarque donc pas par le raffinement de son architecture, mais par sa rusticité, ce qui n'empêche pas un appareillage et des finitions soignés et des proportions harmonieuses. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1951[29], et a été restaurée d'une façon intelligente à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle. L'ambiance du XVIIIe siècle a ainsi pu être restituée, ce qui fait aujourd'hui le principal intérêt de l'église. Elle possède encore sa clôture du chœur en fer forgé de 1758, et des retables baroques en pierre et en bois du XVIIe siècle. Dans la nef, des peintures murales discrètes animent les murs. La sobriété de l'espace intérieur favorise le recueillement[30].
  • Croix de cimetière du XVIe siècle (inscrite monument historique par arrêté du [31]) : C'est une petite croix en pierre sculptée, dont les quatre bras sont reliés par des volutes. Le Christ ne subsiste que sous la forme de traces. La croix est montée sur un long fût sans décor, planté sur un petit socle octogonal. Ce dernier repose sur un piédestal circulaire, qui se retraite à cinq reprises à la façon d'un escalier. Un autel est aménagé dans le piédestal côté ouest.

Autres éléments du patrimoine[modifier | modifier le code]

  • Ferme du Plessis-Châtelain, au hameau du même nom : l'une des deux fermes constituant le hameau est réputée pour avoir été la résidence des premiers officiers châtelains du château royal de Béthisy. Elle comporte une chapelle de la première moitié du XIIIe siècle et un logis seigneurial assez simple. Le rez-de-chaussée est pratiquement aveugle ; une poterne donnait accès sur les jardins. L'étage comporte encore une fenêtre étroite se terminant par un trilobe, ainsi qu'une autre fenêtre agrandie au XVe siècle. Le comble est éclairé par deux fenêtres rectangulaires dans l'un des pignons. Quant aux bâtiments d'exploitation, ils datent pour l'essentiel de leur substance de l'époque moderne[32],[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Robert Fuzier (1898-1982), dessinateur de presse et responsable politique socialiste, est mort à Rocquemont.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre Rocquemont et Paris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Rocquemont et Senlis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Rocquemont et Compiègne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Rocquemont et Tremblay-en-France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  6. « Communes limitrophes de Rocquemont (Oise) » sur Géoportail..
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Rocquemont et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Transports en commun à Rocquemont », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  20. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 155.
  21. a et b Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 62.
  22. « Rocquemont », Cartes de France (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rocquemont (60543) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. a et b « Église Saint-Laurent », notice no PA00114842, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Dominique Vermand, Rocquemont - Église Saint-Laurent, Association pour la restauration de l'église de Rocquemont, coll. « Monuments de l'Oise 9 », , 8 p..
  31. « Croix de cimetière », notice no PA60000073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Cf. Jean Mesqui, « Maisons, maisons fortes ou châteaux ? : Les implantations nobles dans le comté de Valois et les franges occidentales du comté de Champagne au XIIIe et XIVe siècles », La maison forte au Moyen Âge, Actes de la table ronde de Nancy - Pont-à-Mousson, 31 mai - 3 juin 1984, Paris, Éditions du CNRS,‎ , p. 185-214 (lire en ligne [PDF]) ; p. 204 et fig. 10 p. 207.
  33. Cf. Jean Mesqui, « Notes sur l'habitat noble rural dans le nord et l'est de l'Île-de-France du XIIe au XVe siècle », Manorial domestic buildings in England and Northern France (occasional papers), Londres, Society of Antiquaries of London,‎ , p. 121-140 (lire en ligne [PDF]) ; ill. 11 p. 130.