Ève (Oise)

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Ève
Ève (Oise)
La mairie-école
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
Maire
Mandat
Agnès Champault
2020-2026
Code postal 60330
Code commune 60226
Démographie
Population
municipale
419 hab. (2021 en diminution de 1,18 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 24″ nord, 2° 42′ 18″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 119 m
Superficie 10,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives 4e circonscription de l'Oise
Localisation
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Ève
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Ève
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Ève
Liens
Site web https://mairie-eve.fr

Ève est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Vue sur l'église depuis le chemin d'Othis.

Eve est un village picard du Valois dans l'Oise, limitrophe de la Seine-et-Marne, situé à 37 km au nord-est de Paris, 15 km au sud est de Senlis, 55 km au sud-ouest de Soissons et 20 km au nord-ouest de Meaux.

Le territoire communal est tangenté au sud-est par la route nationale 2.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le ru du Longueau et le Ru Courtois, des affluents de la Nonette, et donc des sous-affluents de la Seine par l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 709 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records PLESSIS-BELLEVILLE (60) - alt : 116m, lat : 49°06'21"N, lon : 2°44'13"E
Records établis sur la période du 01-05-2003 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,9 3 5,3 8,4 11,5 13,1 12,9 10,3 8,2 4,9 2,2 6,9
Température moyenne (°C) 4 5 7,3 10,8 13,7 17,3 19,5 18,9 15,9 12,2 7,8 4,6 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,4 8 11,5 16,4 19 23 25,8 24,9 21,5 16,2 10,6 7 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−14,1
10.01.09
−11,9
07.02.12
−11,2
13.03.13
−3,9
07.04.21
−0,7
06.05.19
2,9
01.06.06
3,8
31.07.15
5,1
26.08.18
−0,3
30.09.18
−5,7
28.10.03
−5,7
30.11.10
−8,7
19.12.09
−14,1
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
09.01.15
19,4
27.02.19
23,8
31.03.21
29,1
20.04.18
31,4
27.05.17
35,5
18.06.22
42,2
25.07.19
40,1
06.08.03
34,9
09.09.23
28,3
01.10.11
21,7
08.11.15
16,6
17.12.15
42,2
2019
Précipitations (mm) 56,2 49,8 48,8 36,2 74,2 63,4 53,2 60,3 46 53,5 52,6 67,5 661,7
Source : « Fiche 60500004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,4 %), zones urbanisées (2,8 %), forêts (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 173, alors qu'il était de 164 en 2014 et de 157 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ève en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (2,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,9 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Ève en 2019.
Typologie Ève[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,3 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 636, 6214, 6403 et 6448 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes in villa quae dicitur Eva (1041) ; Herbertus de aeva (vers 1083) ; ad Evam (1117) ; Eva (1160) ; Aqua (XIIIe) ; curati de eva (1292) ; villa de Eve (1299) ; Aive (vers 1310) ; Johannes de eva (XVe) ; les dismes d’Eve (1505) ; Eve (1522) ; Eve sous Dammartin (1601) ; Eve soubz dampmartin (1687)[14].

Probablement du latin Aqua, attesté sous la forme, Eve « eau »[15],[16]. Le latin Aqua s'est transformé en ève dans les parlers de l'ouest , « eau » en langue d'oïl et aiga / aigo en occitan francisé en aigue[17].
Ève est sur le cours supérieur de la Launette.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nanteuil-le-Haudouin[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Nanteuil-le-Haudouin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ève est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1986[19] 2014 Jean-Luc Chartier   Agriculteur
2014[20] En cours
(au 2 décembre 2020)
Marie-Agnès Champault   Agricultrice
Réélue pour le mandat 2020-2026[21]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Ver-sur-Launette dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[22].

Santé[modifier | modifier le code]

Une résidence pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) est aménagée au château d'Ève[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 419 habitants[Note 3], en diminution de 1,18 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
494390389389363360341360369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
364336329318315292301278303
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305302316258294313320255265
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
314289276354456467433425426
2015 2020 2021 - - - - - -
424421419------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 206 hommes pour 215 femmes, soit un taux de 51,07 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
3,1 
90 ou +
6,9 
4,7 
75-89 ans
14,8 
20,9 
60-74 ans
17,2 
23,1 
45-59 ans
20,2 
17,1 
30-44 ans
15,4 
12,1 
15-29 ans
11,1 
19,1 
0-14 ans
14,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ève compte un monument historique sur son territoire :

  • Église Notre-Dame (classée monument historique par liste de 1862 en ce qui concerne la tour ; classée en totalité par arrêté du [29]) : elle se singularise par sa façade dissymétrique, à quatre travées, qui englobe un étage et demi d'un clocher roman du milieu du XIIe siècle. Le très riche décor à pinacles plaqués, accolades, animaux fantastiques et réseaux flamboyants, ainsi que l'élégante flèche cumulant à 44 m de hauteur, datent de la première moitié du XVIe siècle. Comme la façade l'augure déjà, le plan de l'église est également irrégulier, au moins dans la première travée de la nef, qui se compose de la base du clocher plusieurs fois remanié, et d'un narthex. Le reste du vaisseau central est inhabituellement large pour une petite église rurale, et se termine par une grande abside à cinq pans. Les deux premières travées à l'est du clocher représentent le chœur gothique du second quart du XIIIe siècle, dont l'architecture est d'une grande qualité. Les travées adjacentes du bas-côté nord datent de la même époque.
    Il faut savoir que la nef se situait à l'ouest du clocher avant sa destruction sous la guerre de Cent Ans. Au lieu de la reconstruire à son emplacement primitif, il fut décidé, au XVIe siècle, de transformer le chœur gothique en nef, et de prolonger cette dernière vers l'est, afin d'obtenir un nouveau chœur. Le vaisseau central est donc augmenté d'une travée droite et d'une abside à cinq pans, le bas-côté nord est prolongé d'une travée, et un bas-côté est ajouté au sud. Ces travaux s'échelonnent sur deux campagnes de construction, et s'achèvent avant 1540. C'est cette date qui se lit sur la verrière d'axe du chevet, qui comporte des vitraux de la Renaissance remarquables, au sujet de la dormition de la Vierge Marie et de son Assomption[30],[31].

On peut également signaler ses maisons traditionnelles

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative de Paul Réau.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Ève » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Ève - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Ève - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ève et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Ève », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 202.
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 302-303.
  16. Ernest Nègre, Les noms de lieux en France, Paris, A. Colin, , p. 119.
  17. Philippe Rey, Bonheurs et surprises de la langue, Éditions Philippe Rey, coll. « Académie française », , p. 1990.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Frédéric Normand, « Incendie mortel : le village s'interroge », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En fait, dans le village, on connaît davantage Jean-Luc, le père. Et pour cause : voilà plus de vingt ans qu'il porte l'écharpe de premier magistrat de la commune ».
  20. « Ève », Cartes de France (consulté le ).
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. Cindy Belhomme, « Oise : à Eve, la devise républicaine des écoliers s’affiche sur la mairie : Les élèves de CM 1 et CM 2 ont travaillé durant l’année sur la citoyenneté. Ils ont notamment étudié la devise républicaine. Leur travail figure désormais en belle place sur la mairie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Cindy Belhomme, « A Eve, le jardin de l’Ehpad est le meilleur des médicaments : L’établissement vient de créer un jardin thérapeutique et un parcours de santé pour ses résidents. L’objectif est d’améliorer leur bien-être en réduisant la prise médicamenteuse », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ève (60226) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. Notice no PA00114681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Nanteuil-le-Haudouin, Beauvais, Conseil général de l'Oise / comité départemental du tourisme, , 32 p., p. 12-13.
  31. Dominique Vermand, « Eve, église Notre-Dame : Diocèse : Senlis », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).