Ivors

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Ivors
Ivors
Église Saint-Étienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
Maire
Mandat
Michel Collard
2020-2026
Code postal 60141
Code commune 60320
Démographie
Population
municipale
256 hab. (2021 en augmentation de 1,99 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 07″ nord, 3° 01′ 02″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 151 m
Superficie 8,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives 4e circonscription de l'Oise
Localisation
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Ivors
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Ivors
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Ivors

Ivors est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ivors est une commune du Valois dans l'Oise comprenant une partie de la Forêt de Retz, limitrophe de l'Aisne, située à 8 km à vol d'oiseau au sud-ouest de Villers-Cotterêts, 9 km à l'ouest de La Ferté-Milon et 10 km au sud-est de Crépy-en-Valois.

La commune d'Ivors comprend une enclave dans la Forêt de Retz, à l'intérieur du territoire de la commune de Coyolles.

Ivors est aisément accessible depuis la route nationale 2[1], et son accès principal est réalisé par la RD 51.

En 1851, Louis Graves indiquait « cette commute est entourée de trois côtés par la forêt de Retz. Deux, petites enclaves complètes, nommées les Palis. et le Coinfendu, sises vers la limite de Cuvergnon, endépendent. Le chef-lieu, cerné de bois ; est isolé du reste du canton : cette position extra-légale, contraire aux réglemens du cadastre, infiniment nuisible aux, intérêts du pays, subsiste depuis 1789, malgré les réciamations incessantes,de la population.
Le village d'Ivors est sur un terrain sablonneux, à l'origine de la vallée d'Autheuil. Il comprend plusieurs rues assez bien bâlies, larges, alignées, un château, une grosse ferme
[2] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Coyolles, Autheuil-en-Valois, Boursonne et Cuvergnon.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Ivors se trouve au nord du bassin Parisien, caractérisé par une succession de couches de roches sédimentaires traduisant des reliefs de côte. Son altitude varie de84,4 m à 143,7 m, et une moyenne à l'altitude 114 m. L'espace bâti se trouve globalement à une altitude de 98 m[R 1].

Il est situé sur un plateau bartonien, constitué durant l’éocène entre 40,4 et 37,2 millions d’années. On y trouve des limons loessiques du Bartonien moyen, des limons sableux et un ensemble marno-calcaire de Saint-Ouen du Bartonien moyen, des sables de Beauchamp du Bartonien inférieur, des alluvions récentes et des sables soufflés[R 2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas de cours d'eau de surface dans le territoire communal.

Néanmoins, une une hydrographie souterraine constituée par le Ru d'Autheuil se trouve sous le territoire communal, s’arrêtant à la limite sud-est de l’espace bâti[R 1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 715 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 22 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans la sous-entité paysagère de l'Oise dénommée Valois-Multien[9].

On trouve à Ivors[10] :

  • des espaces agricoles, constitués d'espaces cultivés, de pâtures et de superficies toujours en herbe ;
  • des espaces forestiers sur près d'un tiers du territoire communal, regroupés au nord et à l'est de celui-ci et notamment constitués de hêtres, où de nombreux animaux trouvent refuge ou alimentation, avec la constitution de corridors écologiques

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le tiers environ des 8,35 km2 du territoire communal est occupé par de la forêt[R 3].

Une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEF) de type I[Note 1] constituée par le massif forestier de la forêts de Retz, s'étend sur la partie nord et est de la commune[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ivors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), forêts (42,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,4 %), zones urbanisées (3,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 118, alors qu'il était de 114 en 2013 et de 102 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 3,5 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ivors en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ivors en 2018.
Typologie Ivors[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 86,2 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 10,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6431 du réseau interurbain de l'Oise[18].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est soumise à une sismicité négligeable mais non nulle[R 4].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est attestée souls les noms de Ivortium (1219), Ivor, Yvort, Yvors[2]

Ivors est un toponyme de la même catégorie que Gisors[19], du gaulois eburo-[20] ou ivo-[21] « if[22] » et du suffixe atone -etius[20] ou eto-, ce suffixe semble avoir été utilisé essentiellement pour créer des dérivés de noms d’arbres : auquel cas Ivortio en 1185 serait un « bois d’ifs » plutôt qu’un domaine d'Eburos[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Louis Graves indiquait au milieu du XIXe siècle « Ivors a commencé par faire partie du domaine royal, on ne sait à quel titre. La seigneurie a passé avec le teins aux comtes de Crépy, qui en transmirent la propriété en même tems que celle de Cuvergnon à leurs officiers désignés sous la dénomination de burgares..Ceux-ci bâtirent un château dont les seigneurs de Billy-sur-Ourcq firent l'acquisition à ta fin du treizième siècle. La terre resta dans cette maison jusque vers le milieu du seizième siècle, que ;Marie de Billy l'apporta en dot à Jean de Nicolaï, premier président de la chambre des comptes de Paris. Une seconde alliance fit passer temporairement ce domaine au duc de Mortemart.
Il appartient encore à la maison de Nicolaï. La terre avait le titre de marquisat avec haute, moyenne et basse justice.
Le roi Philippe-le-Bel était le deux novembre 1307 au château d'Ivors.
Il y était encore; le vingt-six octobre suivant, venant de Pierrefonds et allant à La Ferté-Milon ; il y resta deus jours
[2] ».

La seigneurie d'Ivors XIVe-XVIe siècle[24]

Au début du XIVe siècle, la seigneurie d'Yvor est entre les mains de Jean, seigneur d'Yvor, marié avant 1301 avec Nicole de Néry. Elle passe par sa petite-fille, Marguerite, dans la maison de Billy, par son mariage avec Philippe de Billy, chevalier, seigneur de Mauregard, qui vivait en 1331.

Pendant la deuxième partie de la Guerre de Cent Ans, les membres de la maison de Billy sont majoritairement dans le parti anglo-bourguignon. Un arrière-petit-fils, Jean de Billy, était en 1428 seigneur d'Yvor, mineur et page du duc de Bedford, régent du royaume de France pour le roi de France et d'Angleterre, Henri VI. Décédé sans enfants, Yvor passe à l'un des descendants de son oncle Antoine de Billy, Perceval II de Billy, décédé en 1507.

Son fils, François, baron de Courville et seigneur d'Yvor, est maître général des Eaux et Forêts du duché de Valois à partir de 1515.

Une de ses petites-filles, Marie de Billy, est mariée à l'âge de 12 ans le avec Jean II de Nicolaï, premier président de la Chambre des comptes, auquel elle apporte le seigneurie d'Ivors.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au milieu du XIXe siècle, la population est essentiellement constituée de bucherons[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Betz[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nanteuil-le-Haudouin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ivors est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1988 mars 2008 Jean Delacroix FN[26]  
mars 2008 En cours
(au 6 juin 2023)
Michel Collard DVD agent de maitrise
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'adduction d'eau et l'assainissement des eaux usées est réalisé en 2011 par la SAUR[R 5].

En 2011, la collecte des ordures ménagère est réalisée par le syndicat mixte de la vallée de l’Oise (SMVO) et valorisés à Villers-Saint-Paul[R 5].

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2011, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Boursonne et d'Autheuil-en-Valois dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[R 6]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 256 habitants[Note 4], en augmentation de 1,99 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408369371345373373395404407
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
389406423387409423349313339
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
306285248220245217243279229
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
221215208163198211228249255
2021 - - - - - - - -
256--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 135 hommes pour 120 femmes, soit un taux de 52,94 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
0,8 
3,7 
75-89 ans
8,3 
12,6 
60-74 ans
13,3 
20,7 
45-59 ans
17,5 
20,0 
30-44 ans
24,2 
16,3 
15-29 ans
15,0 
25,2 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Ivors est un village rural où l'activité agricole est importante. Selon le recensement général agricole de 2000, 396 des 835 hectares de la commune sont des terres labourables cultivées. En 2011, deux exploitatations agricoles sont localisées dans la commune[R 7], Ces exploitations concernent à la fois des grandes cultures et de la polyculture.

Moins de 6 % des habitants travaillent dans la commune en 2020[I 5]. Les principaux lieux d'emplois des hanitants sont en 2006 Compiègne, Soissons, Meaux et Roissy-en-France[R 8]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Étienne - Cloche de l'église sonnant la demie :

Ferme Saint Georges

Portail classé de l'ancien château.
  • Église Saint-Étienne, du troisième quart du XIIe siècle (mur sud de la nef, chœur), avec forts remaniements au XVIe siècle (adjonction de deux chapelles de style gothique tardif) et agrandissement ultérieur de la nef[34],[35].
  • Le portail de l'ancien château des XVIIe et XVIIIe siècles, située place du Château est classé aux monuments historiques[36].
  • Une maison inspirée d'une villa romaine

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Anonyme, Ivors. Découvertes archéologiques, Exposition "Mémoires de nos villages", Foyer rural du Valois-Multien, Betz, 1982, 14 p.
  • Anonyme, Ivors, Histoire du tir à l'arc et de la compagnie d'arc d'Ivors, Exposition "Mémoires de nos villages", Foyer rural du Valois-Multien, Betz, 1982, 17 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une ZNIEF de type I est un secteur, d’une superficie en général limitée, caractérisé par la présence d’espèces, d’associations d’espèces ou de milieux rares, remarquables ou caractéristiques du patrimoine naturel national ou régional.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Rapport de présentation du PLU[modifier | modifier le code]

Topos, « Rapport de présentation » [PDF], Plan local d'urbanisme de la commune d'Ivors, sur geoportail-urbanisme.gouv.fr, (consulté le ) :

  1. a et b p. 10
  2. p. 11
  3. p. 6.
  4. p. 12
  5. a et b p. 9
  6. p. 7
  7. p. 18
  8. p. 35.

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Cindy Belhomme, « Grâce à la déviation, Gondreville respire à nouveau : Dans le cadre de la mise en 2 x 2 voies de la N 2, le village a été contourné. Les habitants se réjouissent de cette quiétude », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Betz, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 178 p. (lire en ligne), p. 87-88, sur Google Livres.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Ivors et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. p. 13.
  10. p. 14.
  11. « ZNIEFF 220005037 : massif forestier de Retz », Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Transports en commun à Ivors », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. Michel Roblin, Le terroir de l'Oise aux époques gallo-romaine et franque : peuplement, défrichement, environnement, Picard, , p. 91-181-273.
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 136.
  21. Jacques Lacroix, Les Noms d'origine gauloise (NE) : La Gaule des combats, , p. 103.
  22. Jean-Marie Ploneis, L’Onomastique au carrefour des sciences humaines : Toponymie romane : le substrat celtique. Exemple : la flore, Paris, Société française d'onomastique, coll. « Actes des colloques de la Société française d'onomastique », , p. 224.
  23. « Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne », sur numilog.com (consulté le ).
  24. Anselme de Sainte-Marie (Augustin ; 1625-1694), Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume... Tome II, Paris, la compagnie des libraires, 1726-1733, 944 p. (Gallica), p 117 et suivantes.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Gilbert Laval, « Les parrains du FN échaudés depuis 1995 : Montrés du doigt, les élus qui ont accordé leur parrainage à l'extrême droite en ont parfois pâti », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Ivors », Cartes de France (consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ivors (60320) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. Dominique Vermand, "Eglises de l'Oise ; Canton de Betz ; Valois, Multien et Vallée de l'Ourcq", Beauvais, 34 p.
  35. Dominique Vermand, « Ivors, église Saint-Etienne : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  36. Notice no PA00114718, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.