Boullarre

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Boullarre
Boullarre
Église Saint-Étienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du Pays de Valois
Maire
Mandat
Joël Goniaux
2020-2026
Code postal 60620
Code commune 60092
Démographie
Population
municipale
207 hab. (2021 en diminution de 8,41 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 54″ nord, 3° 00′ 17″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 148 m
Superficie 7,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives 4e circonscription de l'Oise
Localisation
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Boullarre
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Boullarre
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Boullarre
Liens
Site web https://sites.google.com/view/boullarrenews/

Boullarre est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Boullarre est un village rural du Valois/Multien dans l'Oise, proche de la Seine-et-Marne, situé à 15 km au sud-est de Crépy-en-Valois, trente au nord-ouest de Château-Thierry, vingt au nord de Meaux et 56 km au nord-est de Paris.au

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire de Boullarre est essentiellement implanté sur le plateau agricole du Multien, marqué par une dépression assez profonde au nord du territoire communal constituée par la vallée de la Grivette.

Le long de la Grivette passe la Voie verte du Pays de Valois, qui relie Ormoy-Villers à Mareuil-sur-Ourcq[1].

Au milieu du XIXe siècle, le territoire de Boullarre était décrit comme constitué d'un « plateau d'étendue moyenne, qui s'incline vers le nord pour occuper les pentes ravinées de la vallée de Grivette[2] ». En 2011, les 757 hectares du territoire communal comprennet 145 hectares de bois et forêts et 63 % environ consacrés aux terres de cultures ou de paturage, exploitées par des agriculteurs de la commune ou des villages voisins[3].

Le territoire communal se trouve sur le substrat calcaire du bassin parisien datant de l'ère tertiaire, constitué d'épaisses couches de calcaire coquilliers surmontés d'une strate de calcaire de Saint-Ouen. Le plateau est recouvert d'une épaisse ouche de limons sur lesquels sont implantés de champs de la grande culture céréalière et industrielle[4].

Ambiance du village : un corps de ferme ancien.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La limite nord du territoire communal est constitué par le lit de la Grivette, une petite rivière longue de 15,3 km, qui jette dans le canal de l'Ourcq à Neufchelles[5], [6]. Le long de la Grivette se trouyve une zone à dominante humide occupée par une végétation spontanée, des patures ou des milieux marécageux[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le nord du territoiure communal est concerné pour une large part par le périmètre de la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF de type 1) de la basse-vallée de la Grivette.

On y constate la présence de plusieurs milieux remarquables, rares et menacés en Europe, relèvent de la Directive habitats de l'Union Européenne :

  • la chênaie-charmaie acidocline du Lonicero periclymeni-Quercetum petraeae (type subatlantique méridional) ;
  • la chênaie-charmaie à Jacinthe du Hyacinthoido non-scriptae-Fagetum sylvaticae (type subatlantique méridional à Tilia cordata) ;
  • la chênaie-hêtraie du Fago sylvaticae-Quercetum petraeae (type subatlantique méridional) ;
  • les pelouses et les lisières calcicoles..

qui abritent de nombreuses d'espèces végétales et animales de grande valeur patrimoniale, et où passent de grands mammifères, provenant notamment de la forêt de Retz

La flore comprend, entre autres la scutellaire naine (Scutellaria minor), le laiteron des marais (Sonchus palustris), le polystic à aiguillons (Polysticum aculeatum), le prunier à grappes (Prunus padus), le doronic à feuilles de plantain (Doronicum plantagineum)... Les animaux les plus remarquables sont, pour l'avifaune nicheuse : le martin-pêcheur (Alcedo atthis), le pic mar (Dendrocopos medius), le pic noir (Dryocopus martius) ou la bondrée apivore (Pernis apivorus) et le busard Saint-Martin (Circus cyaneus)[13].

Boullarre est également concerné par l'espace naturel sensible (ENS) de la basse vallée de la Grivette, considérée comme une zone humide d'intérêt départemental, aux termes du schéma départemental des ENS approuvé par le conseil général le [14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boullarre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,3 %), forêts (29,3 %), zones urbanisées (3,4 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 86 en 2013 et de 83 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 96,6 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 1,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boullarre en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Boullarre en 2018.
Typologie Boullarre[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 96,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 1,1 7,1 8,2

Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2011 d'un plan local d'urbanisme[21].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6432 du réseau interurbain de l'Oise[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Boularia[2] (1150)[23] ; de decima sua de Bolorria (vers 1170) ; Johannes dominus de Boulleria (1255) ; Boullearia[2] (vers 1260)[23] ; Boulloire (1263) ; Bouloirre (1263) ; Boulere (1342) ; Boulerria in Meldico (1353) ; Boullars (1430-1460) ; Boulard[2] (1430-1460)[23] ;Boullard et Boulards[2] (1430-1460)[23] ; Boullerria (1513) ; Boulers (1530-1560) ; Boullere[2] (1544)[23] ; Boulers en Mulcien (1667) ; Boullare (1671) ; Boulars[2] (1764)[23] ; Boullarre[2] (1948)[23].

Peut-être du gaulois bolo- « prunelle » et -durum : « forteresse des prunelliers »[24] ou de l'ancien français boul avec attraction du suffixe -aria au XIIe siècle pour désigner des boulaies[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les vestiges d'un cimetière médiéval a été découvert sur le territoire communal[14]

Louis Graves indiquait que, sous l'Ancien Régime, « Le seigneur de Boullarre était un des quatre vassaux fieffés de l'église de Meaux , obligés de porter l'évêque, de la porte (le la ville jusqu'à la cathédrale, lors de la première entrée ou installation du prélat. Cet usage qui existait dès les premiers siècles de la monarchie, dans un grand nombre de diocèses, était tombé en désuétude depuis la ligue, et long-terns avant, les fieffés qui étaient quelquefois de très-haute extraction, avaient coutume de se faire représenter.
Le chapitre de Meaux y avait une prévôté avec haute, moyenne et basse justice[2] ».

En 1851, la commune était propriétaire de sa mairie, de l'école, d'un lavoir, d'un jeu d'arc et de terres non cultivées. Deux carrières étaient mentionnées dans le territoire communal et la population vivait de l'agriculture[2].

En 1894 est mise en service la ligne d'Ormoy-Villers à Mareuil-sur-Ourcq qui longeait le cours de la Grivette, mais les stations les plus proches étaient celle d'Antilly et la gare de Mareuil-sur-Ourcq. Fermée au trafic voyageurs en 1939, elle a vu circuler des trains de marchandises jusqu'en 2005[26]. Sa plateforme est devenue en 2017 la Voie verte du Pays de Valois

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Betz[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nanteuil-le-Haudouin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Boullarre est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988   Jean Goniaux[Note 3]    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Michel Lemoine NC  
mars 2008 mai 2020 Philippe Lecot   Intérimaire
mai 2020[29] En cours
(au 2 décembre 2020)
Joël Goniaux   Retraité, fils de Jean Goniaux

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'adduction d'eau de la commune est réalisée depuis un point de captage situé dans le fond de la vallée de la Grivette qui alimente le réseau du syndicat d'eau de Boullarre-Étavigny, et dessert ces deux communes. Le château-d'eau est situé à la sortie ouest du village, le long de la RD 18.

En 2009, cette eau était potable mais on y constatait la présence de produits phytosanitaires, en quantité supérieure à la norme mais sans atteindre le seuil d'alerte[30].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Étavigny, Rouvres-en-Multien, Varinfroy et Neufchelles au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Boullarre accueille des enfants d'âge primaire[31].

Culture[modifier | modifier le code]

La bibliothèque Jean-Goniaux[32] a été inaugurée le . Son nom a été choisi par les habitants de Boullarre, il s'agit d'un ancien maire du village.

La bibliothèque contient plus de 3 200 ouvrages (romans, littérature jeunesse, magazine...). Elle est située dans la cour de l'école au 17 rue des fontaines. Elle est actuellement gérée par Mélanie Gilles (conseillère municipale) et par Maelle Gilles (bénévole). Cette dernière est ouverte un samedi sur deux (cf site internet en annexe pour avoir accès au calendrier d'ouverture).

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 4], en diminution de 8,41 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
205233263236216222228206194
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
185214203209234221181195197
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
192191192150148146164172163
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
145129168169222225227227225
2017 2021 - - - - - - -
223207-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 109 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,0 
1,8 
75-89 ans
3,6 
16,8 
60-74 ans
12,7 
21,2 
45-59 ans
22,7 
23,0 
30-44 ans
27,3 
15,0 
15-29 ans
16,4 
21,2 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monument[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Étienne (inscrite aux monuments historiques) date de 1180, avec beaucoup de modifications au niveau de la nef (voûtes Renaissance, adjonction d'un bas-côté, d'une chapelle au XVe siècle et d'un clocher au XVIIe siècle). Très beaux chœur et chevet plat d'origine, romans avec voûtes d'ogives[38],[39].
  • Ancien lavoir.
L'ancien lavoir.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Georges Laugée (1853-1937), artiste peintre, se retire à Boullare, villa Demanne, vers 1930 pour y vivre les dernières années de sa vie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La bibliothèque communale porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Boullarre » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boullarre - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boullarre - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Voie verte du Pays de Valois : Cet aménagement de 18 km, inauguré en septembre 2017, emprunte en grande partie le tracé de l’ancienne voie ferrée entre Ormoy-Villers et Mareuil-sur-Ourcq. Le site est idéal pour se promener en toute sécurité puisque les véhicules motorisés y sont interdits. Piétons, cyclistes et rollers se partagent une voie en enrobé de 3 mètres de large. Quant aux cavaliers, ils cheminent sur une piste parallèle qui repose sur le terrain naturel », Entreprendre, innover, découvrir, sur cc-paysdevalois.fr (consulté le ).
  2. a b c d e f g h i et j Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Betz, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 77-79, sur Google Books.
  3. Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 7-8.
  4. a et b Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 12.
  5. « Boullarre », sur SIGES - Seine-Normandie (consulté en ).
  6. « La Grivette : Code Sandre : F6365000 », SANDRE (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Boullarre et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « [https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/220013842.pdf Basse vallée de la Grivette (Identifiant national : 220013842) : ZNIEFF Continentale de type 1 date=5/7/2018] » [PDF], Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. a et b Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 28.
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Documents d'urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Transports en commun à Boullarre », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  23. a b c d e f et g Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 80.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 175.
  25. Société de linguistique picarde, Toponymie du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 66.
  26. Ludovic Claudel, Atlas historique des chemins de fer français, t. 2 : Bretagne - Centre-Val de Loire - Hauts-de-france - Ile-de-France - Normandie - Pays de la Loire, Paris, Les Éditions La Vie du rail, , 400 p. (ISBN 2370620927), p. 146
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. « Les maires de Boullarre », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. « Procès-verbal de l'installation du conseil municipal et de l'élection du maire et des adjoints », Les délibérations, Mairie de Boullarre, (consulté le ).
  30. Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 13.
  31. « Établissement scolaire », Vie municipale et locale, sur sites.google.com (consulté le ).
  32. « Bibliothèque Jean GONIAUX », sur sites.google.com (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boullarre (60092) », (consulté le ).
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  38. Dominique Vermand, "Églises de l'Oise ; Canton de Betz ; Valois, Multien et Vallée de l'Ourcq", Beauvais, 34 p..
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