Larbroye

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Larbroye
Larbroye
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Didier Wattiaux
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60348
Démographie
Gentilé Larbroyens, Larbroyennes
Population
municipale
516 hab. (2021 en augmentation de 2,58 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 25″ nord, 2° 57′ 56″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 150 m
Superficie 2,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://mairielarbroye.e-monsite.com

Larbroye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Entrée du village.

La commune est un village périurbain situé sur les axes Noyon-Lassigny et Noyon-Compiègne.

La commune est desservie par l'ex-route nationale 38 (actuelle RD 938), qui supporte en 2016 un trafic de 5 300 véhicules journaliers[1] et est aisément accessible par la route nationale 32.

Une voie douce, dite « voie douce du Maigremont », permet de relier le village à Noyon via le quartier Beauséjour et la zone d'activités du Mont-Renaud, évitant aux cyclistes d'emprunter la RD 938[2]

Elle est concernée par la future déviation ouest de Noyon, qui devrait supporter un trafic de 5 000 véhicules journaliers[3]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Suzoy Vauchelles Rose des vents
N Noyon
O    Larbroye    E
S
Ville Passel

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le Ru Soyer, sous-affluent de la Seine par la Divette puis l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 19 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Larbroye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (18,7 %), zones urbanisées (13,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 674 et 675 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Arboreta (1060)[17] ; Arbreia (1098)[18] ; alodium de Arbreia (1108)[17] ; Arborea (1126) ; Arborea villa (1128) ; apud Arboream (1130) ; grangiam de Arborea (vers 1130) ; maioria de arborea (1136) ; vineis de arborea (1136) ; in curte de arborea (1138) ; de domo Arboree (1138) ; vineam in monte de Arboreie (vers 1180) ; de monte Arboree (1186) ; grangiam que vocatur Arbroie (1228) ; Gregorius de arborea (1241) ; es loges de Larbroie (1266) ; Labroye (vers 1300) ; apud arboream (1304) ; l’ourmissel d’Arbroie (1310) ; Arbroye (1375) ; la broie (1376) ; l’Arbroye (1384) ; la Broie (vers 1450) ; Larbroie (vers 1450) ; l’Arbroie (vers 1517) ; Larbrois (1640) ; Lar Broye (1667) ; Larbroy (vers 1700) ; Larbroye (1840)[17].

Le français arbre en tant que tel n'est pas fréquent dans la toponymie. Les dérivés du type arbrée, arbroie ont pu désigner des vergers[19],[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini de Larbroye et des environs (vers 1750)

Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye.

Au site du Petit-Ourscamps ont été retrouvées des poteries communes d'époque gallo-romaine[21]

Larbroye possédait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328[22]

Au XVIIIe siècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: une ordonnance royale du nomme un garde pour surveiller les vignobles[23]. Le village possédait un pressoir banal[24].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait de la coutume de Noyon[25]. Au début de la Révolution française, l'abbaye d'Ourscamp indiquait posséder à Larbroye « 16 set. de mauvaises terres, et 17 set. partie de 10 set. en vignes, et le surplus en Savart, où se trouve une maison reconstruite depuis deux ans, pour cause de vetusté, un pressoir, fournil et étable, laquelle maison est occupée par un concierge qui veille à la conduite des travaux nécessaires aux vignes.... que tout le vin qui en provient est consommé dans la maison d'Ourscamp[26]... »

La commune de Suzoy, instituée par la Révolution française, a été fugacement rattachée à celle de Larbroye de 1828 à 1832[22]. Elle achète une maison d'école en 1838. Un nouveau bâtiment est construit et inauguré en 1845[27].

Première Guerre Mondiale

Dès le début du mois de , Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations.

Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre, son château avait été pillé et incendié par l'ennemi[28].

Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.

En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [29]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[30] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [31].

Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noyon[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 42 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise et qui succédait au district de la haute vallée de l’Oise.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1982 octobre 2006[34] Gilbert Giraudeau   Décédé en fonction
décembre 2006[35] mars 2014 Michèle Nguyen    
mars 2014[36],[37] En cours
(au Jusqu'à ce jour mise à jour du 29 juin 2023)
Didier Wattiaux   Retraité d'entreprise publique

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 516 habitants[Note 3], en augmentation de 2,58 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
262225216252639251247223232
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
239232214223207203200174180
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
214211199162200202200184210
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
210221270267376373448470494
2018 2021 - - - - - - -
514516-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 263 femmes, soit un taux de 51,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
4,4 
75-89 ans
6,1 
17,5 
60-74 ans
12,5 
20,7 
45-59 ans
21,7 
19,5 
30-44 ans
19,8 
15,5 
15-29 ans
15,2 
21,9 
0-14 ans
24,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.
L'église St-Pierre-ès-Liens.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La mairie-école actuelle est reconstruite après la Deuxième Guerre mondiale[27].
  • Église Saint Pierre-ès-Liens de Larbroye. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'église est reconstruite sur les plans de l'architecte J.M. Warin, en conservant une partie du chœur de l'église du XIXe siècle[43].
  • Maisons de la Reconstruction, 52 et 60 rue de Noyon[44], et 247 rue de Montdidier[45].
  • Château de Larbroye, propriété des Marcotte devenue par héritage, propriété de Marie Marcotte d'Argenteuil, épouse de Alexandre Legentil, bombardé par les Allemands, démoli et pillé en [46].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Larbroye se blasonnent ainsi :
tiercé en fasce : au premier d'azur à l'ours au naturel, au second d'argent à l'arbre de sinople, au troisieme parti au premièr de sable à la broye d'argent et au second de gueules à la fasce d'argent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Déblocage sur l’axe Noyon-Lassigny : Larbroye va renoncer à la pose de neuf ralentisseurs pour un projet anti-vitesse plus doux, à cette sortie où passent 5 300 véhicules chaque jour. Le point sur le dossier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Noyon ouvre une voie douce », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. « Ils craignent le bruit de la future déviation ouest de Noyon : Les habitants de la sortie de la ville, à Larbroye, réclament des mesures limitant l’impact sonore de la route prévue pour 2021. Le Département mise sur la pose d’un revêtement spécial », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Larbroye et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Transports en commun à Larbroye », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. a b et c Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 302.
  18. Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
  19. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 207.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1322.
  21. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise, Paris, Imprimerie impériale, coll. « rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département », , 213 p. (lire en ligne), p. 144, lire en ligne sur Gallica.
  22. a et b Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 259-260, lire en ligne sur Gallica.
  23. Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Fragments de registres d'audiences extraordinaires Août 1702-20 octobre 1706 ; 19 mai 1708, 4 janvier 1715. », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII,‎ , p. 201 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  24. Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Plaids du 5 juin 1646 au 30 octobre de la même année », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII,‎ , p. 159 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  25. Gaëtan Legrand, La Région soumise à la coutume du Vermandois, , 21 p. (lire en ligne), p. 16, lire en ligne sur Gallica.
  26. A. Ponthieux, « Les derniers religieux des Abbayes et Couvents de Noyon en 1790 : L'abbaye d'Ourscamp », Comptes rendus et mémoires lus aux séances - Comité archéologique et historique de Noyon, vol. 2, t. XXIV,‎ , p. 182-190 (lire en ligne, consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
  27. a et b Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Mairie et école primaire de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  28. Baron A de Maricourt, L'Oise dévastée, Paris, Librairie Félix Alcan, coll. « La France dévastée », , 142 p. (lire en ligne), p. 109, lire en ligne sur Gallica.
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  35. « Le carnet », Courrier d'État, no 18,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  36. « LARBROYE Didier Wattiaux en pôle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Didier Wattiaux, retraité, conseiller municipal sortant et adjoint au maire de 2008 à 2012, conduit l’unique liste pour les municipales ».
  37. « Larbroye », Cartes de France (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Larbroye (60348) », (consulté le ).
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  44. Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Ensemble de deux maisons à Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  45. Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Maison à Labroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  46. Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre, vol. 3, éditions de l'Atelier, coll. « Patrimoine » (no 1), , 1174 p. (ISBN 2-7082-2978-8, lire en ligne), p. 1062.