Le Hamel (Oise)

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Le Hamel
Le Hamel (Oise)
Façade de l'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jean-Jacques Adoux
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60297
Démographie
Population
municipale
189 hab. (2021 en augmentation de 8,62 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 53″ nord, 1° 59′ 34″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 189 m
Superficie 7,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Le Hamel
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Le Hamel

Le Hamel est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Paysage rural à la moisson, depuis le cimetière.

Localisation[modifier | modifier le code]

Le Hamel est un village agricole du Plateau picard, situé sensiblement à mi-distance d'Amiens et de Beauvais, desservi par la route reliant Grandvilliers à Crèvecœur-le-Grand.

En 1840, Louis Graves indiquait que « cette commune affecte la figure d'un triangle irrégulier qui aurait un angle au nord-est, au point de contact des communes de Sommereux et de Conteville. Un ravin se dirigeant vers ce point divise l'étendue du territoire.
Le chef-lieu, à l'angle nord-est, est un village de trente maisons disposées sur trois rues tortueuses, irrégulières, mal nivelées
[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cempuis, Conteville, Grez, Hétomesnil, Le Mesnil-Conteville, Prévillers et Sommereux.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 808 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Hamel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), prairies (9,6 %), forêts (4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un hameau, Rieux.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 75 en 2013 et de 72 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Hamel en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement au Le Hamel en 2018.
Typologie Le Hamel[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 90,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 3,9 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 614, 616, 6103 et 6109 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Énergie[modifier | modifier le code]

Un projet d'implantations de 10 éoliennes d’une puissance de 2,3 mégawatts chacune et réparties entre Grez et Le Hamel est mené par l'entreprise Enertrag depuis 2007, malgré l'opposition de certains habitants à l'initiative de l'association Éolienne 60 soutenus par la région Hauts-de-France et sa campagne intitulée « Stop à l'éolien ». Ceux-ci s'inquiètent en effet du nombre, jugé excessifs, d'éoliennes dans le secteur[15],[16],[17]. Les recours sont rejetés en mai 2022, ouvrant la voie à la construction des éoliennes[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été dénommée Hamel et Le Hamel-Notre-Dame (Hamellum en 1507)[1].

La commune est instituée par la Révolution française sous le nom de Hames en 1793, puis de Le Hamel et Grez en 1801. Elle ne prend son nom actuel qu'ultérieurement[19], lorsque Grez est séparée du Hamel.

Hamel est l'ancien singulier de hameaux, qui s'est conservé comme forme dialectale en picard et en normand. Hamel est plus spécifiquement un diminutif de l'ancien français septentrional ham « village », dérivé avec le suffixe gallo-roman -ELLU > -el qui signifiait, en ancien français, « petit village »[20].

Le hameau de Rieux était dénommé Ruex en 1209 , Rieu, Riex, Ruieux, Rieulx (Ruieu, Ruolium, Rualiæ en 1152)[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts

Le village de Grez a été détaché du Hamel pour former une commune autonome en 1832[19]. À l'inverse, le Petit-Cempuis a été réuni au Hamel en 1886.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'Abbaye Saint-Germer-de-Fly avait la seigneurie du lieu et le patronage de la cure[1].

Rieux est rattaché en 1192 au comté de Clermont, lorsque l'abbé Lambert le met sous la protection du Comte Raoul, moyennant une redevance de de mines d'avoine par habitant[1].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, les moines de Saint-Germer avaient un château à Rieux. Les dîmes étaient partagées entre les abbayes de Saint-Lucien , de Saint-Germer et de Chaalis[1].

Louis Graves indique qu'au XVIIIe siècle, Le Hamel était « réputé par le commerce considérable d'eau-de-vie qu'on y faisait ; cette spéculation avait eu le pélerinage pour premiere cause[1] ».

La légende du Sire de Créquy[modifier | modifier le code]

Dans l'église Notre-Dame du Hamel classée monument historique, se trouvent d'énormes chaînes, pendues au plafond devant des tableaux relatant la légende du sire de Créquy.

Cette légende est ainsi relatée par Jacques Cambry, premier préfet de l'Oise, dans son ouvrage Description du Département de l'Oise (1803) : « Francois Ier, prisonnier de Charles-Quint après la bataille de Pavie, ne pouvoit payer la forte rançon que l'empereur exigeoit de lui ; M. de Créquy, qui ressembloit beaucoup à François Ier, lui proposa de se charger de ses chaînes : refus ; on insiste : Créquy obtient enfin la faveur qu'il sollicite. Charles-Quint, instruit de cette ruse, traite fort mal M. de Créquy ; il est chargé de chaînes énormes, et maltraité par ses geoliers : sa confiance en Notre-Dame-du-Hamel le tira de cette facheuse situation : il fut, par son intercession, miraculeusement transporté pendant la nuit de Madrid dans un champ voisin du Hamel. Un berger, surpris de voir ses moutons danser gaiement autour d'un homme à longue barbe, fort mal vêtu, chargé de chaînes, s'approche et le salue : Créquy l'interroge ; il apprend qu'il est sur les terres voisines de son château, où sa femme, qui le chérissoit, forcée par ses parents, qui le croyoient mort, de contracter une nouvelle alliance, devoit se marier le même jour. Avant d'entrer chez lui Créquy se prosterne aux pieds de la Vierge sa bienfaitrice, et dépose sur les marches de l'autel les chaînes dont le berger l'aida sans doute à se débarrasser. Il se rend au château : on refuse de le laisser parler à madame de Créquy ; il est enfin reçu en faisant présenter à sa femme un anneau sur lequel étoit gravé son portrait et celui de l'épouse qu'il adoroit ; sa barbe, ses cheveux hérissés, ses vêtements, le faisoient encore méconnoître ; il est forcé de lui parler d'une marque qu'elle avoit sur le corps et que seul il pouvoit connoître. On devine les transports des deux époux qui n'avoient jamais cessé de s'aimer. Créquy prend les habits d'un chevalier français ; il se rend à la cour, reproche au roi de l'avoir oublié dans les prisons de Madrid : ce prince s'excuse en lui proposant pour récompense ce qu'il voudroit lui demander : Je ne yeux, lui dit Créquy, qu'ajouter une fleur de lis à mes armes : Je vous en donne mille, lui dit François Ier. Depuis ce temps le lion des Créquy et le champ qui le renfermoit étoient couverts de fleurs de lis. »

D'autres racontent la même histoire, mais placée au temps des croisades.

Le pèlerinage à Notre-Dame du Hamel commémorait ce miracle.

Circonscriptions d'ancien régime[modifier | modifier le code]

Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime[21] : Paroisse : Notre-DameDoyenné : MontagneArchidiaconé : BrayDiocèse : Beauvais.

Circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime[21] : Intendance (1789): ParisÉlection (1789) : BeauvaisSubdélégation : Amiens • Grenier à sel (1789): GrandvilliersCoutume : Amiens et ClermontParlement : Paris Bailliage : Beauvais et Clermont Gouvernement : Île-de-France.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le hameau de Grez, qui faisait partie de la commune lors de son institution par la Révolution française, est érigé en commune autonome en 1832[19].

En 1840, la commune est propriétaire du presbytère, de l'école, ainsi que d'un terrain de jeu de balle au tamis situé à Rieux. On y comptait deux moulins à vent. La population vivait du tissage de bas en laine[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Grandvilliers[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Grandvilliers, porté de 23 à 101 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Louis François Gratien[Note 3]   Mort en 1851
         
avant 1995[23]   Émile Wallet    
         
mars 2001 mars 2008 Michel Ladoubart DVD  
mars 2008 En cours
(au 6 juin 2023)
Jean-Jacques Adoux[24] FN[25],[26] Chauffeur-livreur
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune aménage en 2023 sa première salle communale dans une maison qui lui a été léguée[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 189 habitants[Note 4], en augmentation de 8,62 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9651 0081 012975931398389358352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
321288297259257233189199172
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
167140140118116132122135152
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
144139145143113127164175169
2018 2021 - - - - - - -
187189-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

La chute de population constatée entre 1831 et 1836 est liée au détachement, en 1832, du hameau de Grez, devenu alors commune de plein exercice[19].

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 89 hommes pour 98 femmes, soit un taux de 52,41 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
0,0 
7,9 
75-89 ans
9,2 
7,9 
60-74 ans
9,2 
22,5 
45-59 ans
14,3 
22,5 
30-44 ans
21,4 
18,0 
15-29 ans
13,3 
20,2 
0-14 ans
32,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame, siège d'un ancien pèlerinage rappelant le miracle du sire de Créqui. La nef, la chapelle et les fonts baptismaux en pierre sont du XIIIe siècle. Le chœur, bien plus haut que la nef, les vitraux et fresques murales sont du XVIe siècle[35],[36].
Les fonts baptismaux datent du XIIIe siècle[37]. Plusieurs éléments de vitraux datent du XVIe siècle – l’un est daté de 1541 – subsistent dans le chœur parmi d’intéressants vitraux du XIXe siècle. Le retable du maître-autel, du XVIIe siècle, représente l'Assomption de la Vierge.
Le château de Rieux.
  • Château au hameau de Rieux

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La sépulture de la famille Gratien dans le cimetière de l'église indique que Louis François Gratien, décédé le à l'âge de 62 ans, a été maire de la commune.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 115 p. (lire en ligne), p. 49-52, lire en ligne sur Gallica
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Hamel et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun au Hamel », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Julien Barbare, « Oise : les éoliennes, ça suffit ? : Alors que l’avenir d’un projet de dix mats se joue cette semaine au tribunal administratif, une campagne de la région Hauts-de-France dénonce le trop plein d’éoliennes sur son territoire. », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Le tribunal administratif d’Amiens autorise dix éoliennes à Grez et Le Hamel : Le tribunal administratif d’Amiens a annulé l’arrêté préfectoral du 13 octobre 2016, interdisant le projet d’éolienne porté par Enertrag. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Les éoliennes de Grez et du Hamel à nouveau devant le tribunal : C’est peut-être le dernier épisode judiciaire pour le projet éolien de Grez-Le Hamel. La société Enertrag, qui veut implanter dix éoliennes dans ces deux villages du Beauvaisis depuis 2007, sera ce mardi 9 avril à nouveau devant le tribunal administratif d’Amiens. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Benjamin Merieau, « Les dix éoliennes de Grez – Le Hamel sur la bonne voie : La cour administrative d’appel de Douai a donné raison à la société Enertrag contre l’association Éoliennes 60 qui s’oppose au projet », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, collection Que sais-je ?, Paris, P.U.F., 1969
  21. a et b Robert Lemaire, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire démographique et démographique - Département de l'Oise, École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1976
  22. « Les maires de Hamel (Le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5743.
  24. Le réveil du 27 mars 2008
  25. Patrick Caffin, « Municipales : comment Le Hamel vit avec son image de village d'extrême droite », Le Parisien,édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 24 mars 2013, au soir du second tour des législatives partielles de l'Oise, Le Hamel, un petit village (180 habitants) situé entre Crèvecoeur et Grandvilliers, défraie la chronique. La raison ? Florence Italiani, candidate FN, obtient plus de 82 % des voix sur les 134 électeurs inscrits. Un véritable raz-de-marée obtenu, qui plus est, face à un ténor de l'UMP, le député sortant et ex-président du conseil général Jean-François Mancel. Un chiffre qui s'explique aussi par la personnalité du maire du village, Jean-Jacques Adoux, membre du FN et suppléant de Florence Italiani ».
  26. Nolwenn Le Blevennec et Audrey Cerdan, « Municipales : voici les onze maires lepénistes de France », Rue89,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Matthias Scheisguth, « Un grand merci à ceux qui font vivre le village : Maire depuis 1994, Jean-Louis Becquerel ne se représente pas aux élections municipales », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3585,‎ , p. 5 « Le maire Jean-Jacques Adoux a annoncé depuis un mois qu'il se présenterait à nouveau devant les électeurs ».
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Oise : Le Hamel dispose depuis peu de sa toute première salle communale », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Hamel (60297) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  35. Notice no PA60000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Dominique Vermand, « Le Hamel, église Notre-Dame », Diocèse de Beauvais (consulté le ).
  37. Barraud, « Fonts baptismaux du Hamel (canton de Grandvilliers) », Mémoires de la société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. III,‎ , p. 314 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.