Puits-la-Vallée

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Puits-la-Vallée
Puits-la-Vallée
Vue générale
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Gaudefroy
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60518
Démographie
Population
municipale
204 hab. (2021 en diminution de 0,49 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 59″ nord, 2° 11′ 37″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 183 m
Superficie 4,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Puits-la-Vallée
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Puits-la-Vallée

Puits-la-Vallée est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Paysage du village.

Puits-la-Vallée est un village rural du plateau picard. Son territoire comprend un plateau coupé de profondes vallées orientées sud-est. Le village est situé dans un creux de vallée.

Puits-la-Vallée se situe à 3 km de Froissy,11 km de Breteuil , à 20 km de Beauvais et son aéroport de Beauvais-Tillé, à 42 km d'Amiens , à 108 km de Paris.

Le territoire communal est limité à l'est par l'autoroute A16 (France), dont la sortie la plus proche est à Hardivillers. Il est desservi dans le sens nord-sud par la chaussée Brunehaut (RD 625) et est légèrement à l'écart de la RD 151 (Crèvecœur-le-Grand - Froissy).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Puits-la-Vallée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,2 %), zones urbanisées (10,8 %), forêts (5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6114 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Puteus villaris (1164) ; Putei (1165) ; Reinerus de Puteis (1190) ; Puiz (1201) ; Puis[14] (1201) ; « inter puteum logiarum et viam que ducet de Hardivillare ad Creveceur » (1218) ; puteus de logis in valle Belvacensi (1236) ; Puteoe (1238) ; Puteos (1246) ; de puteis apud francum castellum (1262) ; inter villam de Puis (1270) ; Puits (1270) ; les batis de Puis (vers 1270) ; Petrus de pucheis (1275) ; Pierres de puis (1278) ; de Puteo (1292) ; la ville de puys (1454) ; Puis et le valee (1469) ; Puit (1470) ; Puids[14] (1470) ; Puy la Vallée (1510) ; Puys (1540) ; Puitz (vers 1550) ; Puis des maisons[14] (1580) ; Puy la vallee[14] (1666) ; le Puy (1667) ; « marquis de Rouvroy seigneur de Puis la vallee » (1743) ; Puids la vallée (vers 1775) ; Puits-la-Vallée (1840)[15].

De l'oïl puits et du nom de lieu Villiers, remplacé par « Vallée »[16]. Le village se situant dans un creux de vallée.

Histoire[modifier | modifier le code]

La gare de Lachaussée-du-Bois-d'Écu - Puits-la-Vallée

Le village est situé sur la chaussée Brunehaut, ancienne voie romaine reliant Beauvais à Amiens.

Au début du XIIIe siècle, le village dépendait du prieuré de Wariville, tout comme Courlieu et Paillart[17].

Louis Graves indique que « L'abbaye de Breteuil avait des domaines étendus dans cette commune comme dans la plupart des autres lieux du canton ; elle y avait même des esclaves au treizième siècle. On apprend par une charte du mois de que Hugues de Fransures, pour le remède de son âme et le soulagement de ses ancêtres, donna en aumône et en toute propriété à ce monastère, un certain Wallérius, de Puits, avec ses héritiers et toutes leurs appartenances, tant en maisons que terres, bestiaux et autres possessions[14] ».

En 1469, la paroisse relevait de la prévôté de Montdidier[18].

En 1757, Étienne Lecouteulx, devenu propriétaire de la terre de Puits-la-Vallée, y introduit la culture de la pomme de terre[19].

La commune s'est formée de la réunion de deux anciens hameaux, Puits sur le plateau, La Vallée au fond du ravin principal[14].

Au milieu du XIXe siècle, on notait au village une production de bas et de filature de laine, ainsi que deux moulins à vent et une carrière[14],[20].

Le village était desservi de 1911 à 1953 par une station située entre Lachaussée-du-Bois-d'Écu et Puits-la-Vallée, sur la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie étroite du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise.

Circonscriptions d'Ancien Régime

Le village dépendant, dans l'ordre religieux, du diocèse de Beauvais, archidiaconé de Bray, doyenné de Montagne[14].

Pour les administrations civiles et militaitaires, Puits-la-Forêt dépendait de l'élection de Montdidier, généralité d'Amiens

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1802 1803 Nicolas Roisin    
1807 1808 M. Roisin    
1812 1813 Pierre Antoine Roisin    
1820   Pierre Étienne Lecouteulx    
1846   Paul Étienne Lecouteulx    
1849   Jacques François Lecouteulx    
avant 1866   Jean-Baptise Judenne[28]   Propriétaire
avant 1930   Arthur Dedreux    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2005[29] M. Dominique Douay   Agriculteur
Démissionnaire
juin 2005[30],[31] En cours
(au 17 juin 2020)
M. Dominique Gaudefroy DVD[32] Agriculteur retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026,[33]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2018 d'un réseau d'assainissement collectif et d'une station d'épuration, qui permet de supprimer les dispositifs d'assainissement individuels antérieurs et de protéger la qualité des eaux de la Noye et du captage d'eau potable de Maisoncelle-Tuilerie.

Cette installation a coûté 1,3 million d'euros, et a bénéficié d'aides du département, de l'Agence de l'eau Artois-Picardie et de la réserve parlementaire de Caroline Cayeux[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 204 habitants[Note 3], en diminution de 0,49 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
341358359304267278251270270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
275265240235219217204201176
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
169151151129106110115114158
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
143131132125150195199200206
2014 2019 2021 - - - - - -
206207204------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 104 hommes pour 101 femmes, soit un taux de 50,73 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
2,9 
75-89 ans
2,0 
12,4 
60-74 ans
16,7 
28,6 
45-59 ans
20,6 
14,3 
30-44 ans
19,6 
21,0 
15-29 ans
19,6 
21,0 
0-14 ans
21,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Loisirs[modifier | modifier le code]

Un terrain de football communal a été créé en 2002. Pour améliorer cet endroit, la commune a installé un tourniquet, un terrain de basket, une table de pique-nique et de petits jeux pour les plus jeunes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Prix[40] : portes de la sacristie peintes avec les portraits d'évêques et d'abbés. L'ensemble des fonts baptismaux en pierre datent du XIIe siècle, avec un décor d’étoiles et, aux angles, de masques humains surmontant des colonnettes, et des statues d'une Vierge à l'Enfant (XIVe siècle) et de saint Jean-Baptiste en bois (XVIe siècle) sont classés monuments historiques[41].
  • Vestiges d'un château-fort, face à l'église[42],[14].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Puits-la-Vallée et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Puits-la-Vallée », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a b c d e f g h et i Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'Annuaire de 1832, 82 p. (lire en ligne), p. 24, 41-42, 78; sur Google Books.
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 458.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1098.
  17. E de Lépinoy, « Recherches historiques et critiques sur l'ancien comté et les comtes de Clermont en Beauvoisis du XIe au XIIIe siècle : Chapitre VI : autres localités du comté comprises dans le rôle de 1306 », Mémoires de la société académique de l'Oise, t. IX,‎ , p. 545 et suivantes, et notamment p. 592 (lire en ligne, consulté le ).
  18. Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, coll. « Mémoires de la Société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 328-332.
  19. H. Baumont, « Le département de l'Oise pendant la Révolution : l'année 1794 (fin) 1701 ̃») », Bulletin de la société d'études historiques & scientifiques de l'Oise, t. VI, no 3,‎ , p. 155-231, et notamment 213 (lire en ligne, consulté le ).
  20. Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique, administratif, postal, statistique, archéologique etc de la France, vol. 2, Paris, Librairie Hachette, (lire en ligne), p. 1850.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  24. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  25. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  26. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  27. « Les maires de Puits-la-Vallée », sur francegenweb.org (consulté le ).
  28. « Liste des membres du jury d'expropriation », dans Procès-verbal de la session du conseil général en 1866, Beauvais, Imprimerie de D. Père, (lire en ligne), p. 263.
  29. Philippe Créhange, « Le maire jette l'éponge », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Il y a quelques semaines, le maire, Dominique Douay, a en effet annoncé en toute discrétion son souhait de vouloir abandonner son mandat de premier magistrat (...) Par ailleurs, Dominique Douay semble avoir de plus en plus de mal à concilier un travail qui lui prend beaucoup de temps - il est agriculteur - et une fonction de maire qui est tout aussi prenante ».
  30. Stéphanie Esparza, « Le maire cherche toujours un successeur », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les 141 électeurs de la commune ont donc dû élire trois nouveaux conseillers municipaux la semaine dernière.Après deux heures de pourparlers, la séance du conseil municipal a donc été ajournée. Une nouvelle réunion pour désigner un maire pour Puits-la-Vallée se tiendra vendredi prochain à 19 h 30 ».
  31. « Enfin un nouveau maire ! », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « C'est fait ! Dominique Gaudefroy, 55 ans, a été élu maire de Puits-la-Vallée vendredi soir. Il aura fallu deux tours d'une élection complémentaire et deux conseils municipaux pour que la commune de deux cents habitants retrouve un premier magistrat, après la démission de Dominique Douay ».
  32. « Extrait de la fiche de M. Dominique Gaudefroy », sur lesbiographies.com, (consulté le ).
  33. « Dominique Gaudefroy réélu maire de la commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3607,‎ , p. 27.
  34. « Confort accru : 70 % des habitants déjà reliés à la nouvelle station d'épuration : vendredi après-midi, la municipalité a inauguré sa toute nouvelle station plantée de roseaux. Un investissement pour un confort accru et une garantie écologique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3616,‎ , p. 21.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Puits-la-Vallée (60518) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  40. Dominique Vermand, « Puits-la-Vallée, église Notre-Dame et Saint-Prix », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  41. Les objets classés de l'église Saint-Prix sur la base Palissy
  42. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 232.