Bailly (Oise)

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Bailly
Bailly (Oise)
L'église Saint-Joseph.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC des Deux Vallées
Maire
Mandat
Michel Lesueur
2013- En cours
Code postal 60170
Code commune 60043
Démographie
Gentilé Baillotins, Baillotines
Population
municipale
609 hab. (2021 en diminution de 5,14 % par rapport à 2015)
Densité 143 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 47″ nord, 2° 58′ 14″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 50 m
Superficie 4,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Bailly
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Bailly
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Bailly
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Bailly
Liens
Site web http://mairiedebailly60.fr/

Bailly est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Baillotins.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Bailly est un village périurbain picard situé sur la rive gauche de l'Oise, le long de la RD 165, entre les forêts domaniales de Laigue et d'Ousrcamps-Carlepont.

La commune se trouve à une dizaine de kilomètres au sud de Noyon, une quinzaine de kilomètres au nord-est de Compiègne et à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Soissons, dans l'aire urbaine de Compiègne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est limité à l'ouest par l'Oise (rivière) et traversé par plusieurs ruisseaux qui y confluent avec la rivière : le Ru du Moulin et le Ru du Daniel.

Il s'agit donc d'affluents de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bailly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,7 %), prairies (32,4 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (10 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 665, 6321, 6332 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ce toponyme peut dériver du vieux français baille : « enclos », à l’époque gallo-romaine, un vicus, formé en rectangle autour de la villa d’un dignitaire, qui prendra le nom de celui-ci Batallius auquel est ajouté le suffixe -acum de localisation et de propriété.

Homonymie avec Bailly (Yvelines).

Histoire[modifier | modifier le code]

Bailly tiendrait son nom du latin « Baillium » dû à l'existence d'un fort dont on a pu retrouver des vestiges de fossés et de souterrains. Ce fort fut occupé par les Normands au IXe siècle.

La terre de Bailly relevait du comté de Noyon. C'était un fief du domaine royal sous-inféodé[C'est-à-dire ?] par les évêques à des chevaliers qui prirent le titre de seigneurs de Bailly : Guy et Jean Bäes de Bailly, Enguerrand de Guynes, Philippe de Coucy, Jean II, Jean de Béthune, Jean et Gauthier de Hennin, Hugues et Bertrand du Bois, Guillaume de Marafin.

L'abbaye d'Ourscamp reste propriétaire de la terre de Bailly jusqu'à la Révolution française. Le château servait de résidence d'été et permettait de surveiller le travail des paysans dans les champs et les étangs, dont les poissons étaient destinés à la consommation des religieux.

Première Guerre mondiale

Bailly a été occupé par l'armée allemande dès 1914 et pendant une partie de la Première Guerre mondiale, Le clocher de l'église a servi de lieu d'observation allemand, amenant à des bombardements français, et la commune s'est retrouvée sur la ligne de front jusqu'en 1917[14],[15],[16],[17].

Bailly et ses deux châteaux ont été totalement rasés[18] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ribécourt-Dreslincourt[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bailly est membre de la communauté de communes des Deux Vallées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996.

Politique locale[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2020 dans l'Oise, une seule liste se présente sur laquelle figurait le maire sortant, Michel Lesueur, et est donc élue.

Toutefois, lors du premier conseil municipal, le maire sortant voit son ex-premier adjoint, Bernard Beblo briguer avec succès le mandat de maire, récoltant huit voix, contre sept pour le maire sortant. À l'instigation de Michel Lesueur, un collectif citoyen demande la démission totale du conseil municipal, largement approuvée par les habitants qui se seraient exprimés par 376 signatures sur 508 électeurs, dont 74 % désapprouvent la décision de Bernard Beblo de postuler. Mi juin 2020, le conseil municipal démissionne en totalité[21]. La commune est alors administrée par une délégation spéciale nommée par la préfecture et chargée d'organiser de nouvelles élections municipales, qui se tiennent le et voient le succès de la liste menée Michel Lesueur par 258 des 352 votes exprimés, face à celle menée par Pascal Rougelot (87 voix), soutien de Bernard Beblo[22].

Le nouveau conseil municipal réuni le a vu la réélection de Michel Lesueur comme maire du village[23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 janvier 2013[24] Philippe Brou[Note 3] DVD Aviculteur
Président du Syndicat d'assainissement Bailly-Saint-Léger-aux-Bois
Décédé en fonction
mars 2013[25] mai 2020 Michel Lesueur   Agriculteur
mai 2020[26] juin 2020[21] Bernard Beblo   Commerçant retraité
octobre 2020[23] En cours
(au 18 octobre 2020)
Michel Lesueur   Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 609 habitants[Note 4], en diminution de 5,14 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
387358349365430417406904429
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
411420385366334322306323337
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
354340312173219230206232232
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
264303402455599585595599670
2015 2020 2021 - - - - - -
642615609------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 329 hommes pour 300 femmes, soit un taux de 52,31 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
5,6 
75-89 ans
4,4 
20,8 
60-74 ans
22,2 
27,3 
45-59 ans
22,9 
14,6 
30-44 ans
18,4 
14,3 
15-29 ans
14,7 
17,4 
0-14 ans
16,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Lucien, reconstruite vers 1922, de style néo-roman, avec un tympan sculpté en 1924 par Henri Vallette et représentant deux anges se prosternant. Les fenêtres de l’abside sont garnies de trois vitraux de style art déco réalisés par le maître verrier parisien Lardeur. Le mobilier comporte deux autels et une chaire, en ébénisterie, également de style art déco[32],[33] ;
  • Monument aux morts, inauguré le dimanche , devant le cimetière, élevé pour les treize enfants de la commune tombés au champ d'honneur.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La salle communale porte le nom de ce maire
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bailly et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Bailly », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. « La traversée du département », La guerre de mouvement, sur 14-18.oise.fr, Archives départementales de l'Oise : L'Oise au cœur de la Grande Guerre (consulté le ).
  15. « Carte postale ancienne : Bailly - Oise : Abri de soldats Allemands pendant la guerre 14 / 18 », Guerre 1914-1918, Cartorum - Cartes postales anciennes françaises localisées, (consulté le ).
  16. Section photographique de l'armée, « Photographie : Bailly. Oise. Spahis derrière les tranchées de première ligne. », Photographies 14-18, Numelyo - bibliothèque numérique de Lyon (consulté le ).
  17. Guy Friadt, « Saint-Léger-aux-Bois dans la Première Guerre mondiale », sur stleger.info (consulté le ).
  18. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  19. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a et b « À Bailly dans l’Oise, l’ensemble du conseil municipal démissionne : Pétition, manifestation, courriers… Ce village d’environ 650 habitants se déchire suite à l’élection du nouveau maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Trois retraités ont géré un village de l’Oise… sans maire depuis 4 mois : Depuis la démission de tous les élus, en juin, la commune de Bailly, 600 habitants, est gérée par un triumvirat mandaté par la préfecture. Trois hommes qui resteront aux affaires jusqu’à l’installation officielle du nouveau maire, Michel Lesueur, élu ce dimanche », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (Stéphanie Forestier, consulté le ).
  23. a et b « Michel Lesueur élu maire de Bailly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Le maire de Bailly vient de disparaître », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu conseiller municipal en 1971, avant de devenir maire en 1977. Depuis, il a été réélu sans discontinuer ».
  25. « Michel Lesueur élu maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Alexis Bisson, « Psychodrame municipal dans un village de l’Oise qui devra revoter en octobre : Trahison », « coup bas ». A Bailly, 650 habitants, le 1er adjoint s’est présenté au dernier moment face au maire sortant et a été élu, provoquant la colère des habitants. Tout le conseil a alors démissionné », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bailly (60043) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Dominique Vermand, « Bailly, église Saint-Joseph », Diocèse : Noyon, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  33. « Carte postale ancienne : Bailly (Oise) : Le Monument aux Morts et l'Eglise en construction », Photo Declein à Ribécourt, sur geneanet.org, vers 1925 (consulté le ).