Saint-Germer-de-Fly

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Saint-Germer-de-Fly
De haut en bas et de droite à gauche : l'abbaye Saint-Germer-de-Fly (vue de la collégiale à droite et de la sainte chapelle à gauche), la porterie de l'hôtel de ville, la façade occidentale de l'abbatiale.
Blason de Saint-Germer-de-Fly
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Pays de Bray
Maire
Mandat
Alain Levasseur
2020-2026
Code postal 60850
Code commune 60577
Démographie
Gentilé Gérémarois
Population
municipale
1 690 hab. (2021 en diminution de 0,76 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 38″ nord, 1° 46′ 57″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 220 m
Superficie 19,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Saint-Germer-de-Fly
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Saint-Germer-de-Fly
Liens
Site web http://www.mairie-st-germer.fr/

Saint-Germer-de-Fly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Croisement de l'avenue verte avec la route d'Orsimont (D104).

Description[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'avenue verte qui relie Paris à Londres.

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Germer-de-Fly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), terres arables (28,5 %), zones urbanisées (7,9 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), zones humides intérieures (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 610, 6102, 6138, 6147 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes flaviacum monasterium quod sanctus Geremarus fundavit (807) ; monasterio Flaviaco (vers 845) ; Sanctus Geremarus de Flaviaco (1030) ; ad Flaviacense monasterium (1114-21) ; abbatia S. Geremari de Flaviaco (1150) ; Sancti Geremari de Flaviaco (1193) ; monasterium Si Geremari Flaviacensis (XIIe) ; ecclesie B. Geremari Flaviac (1220) ; Sanctus Geremarus Flaviacensis (1242) ; de Sancto Geremaro de Fliaco (1261) ; sainct germer de flay (1271) ; saint germers a flai (XIIIe) ; le convent de Saint Germer de Flai (1285) ; conventus flaviacensis (vers 1300) ; S. Germair de flay (1300) ; conventus Si Geremari de Flayaco (1301) ; Saint Germer de fley (1313) ; abbacie de Sancto Germaro (1316) ; eccl. de Flayaco Si Geremari (vers 1320) ; Sancti Geremari de Flayaco (1348) ; Saint Germer en beauvoisis (vers 1380) ; Saint Germer de Flay (1385) ; Saint Germer (XIVe) ; Sainct Germer de Fley (vers 1500) ; Saint Germer de Flayx (1667) ; Germer de Fly (1794) ; Saint Germer en Bray (XIXe) ; Saint Germer de Flais (XIXe) ; Saint Germer de Fly (XIXe)[14].

Saint-Germer est un hagiotoponyme faisant référence à Germer de Fly, le premier abbé de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly[15].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum, suffixe locatif gaulois, puis de propriété, précédé de l'anthroponyme latin Flavius « Le Blond », porté par un autochtone, qui a évolué en Flaius[16].

La paroisse est instituée commune lors de la Révolution française et porte en 1793 la dénomination de Germer. Elle devient en 1801 Saint-Germer-de-Fly, puis Saint-Germer avant de reprendre en 1961 le nom de Saint-Germer-de-Fly[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue générale du bourg au début du XXe siècle. L'abbaye Saint-Germer-de-Fly est bien visible à droite du cliché.
Le monument aux morts.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Coudray-Saint-Germer[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Beauvais-2.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du pays de Bray, créée fin 1997.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1832   Jules Fontaine    
1920 1921 François Alfred Mahaut    
1940   Eugène Sellier    
1944   Ulysse Deshayes    
1946   Ramire Grenet    
1960   Eugène Élie    
avant 1979 après 1985 Roland Duhamel[Note 3]    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Guy Maillard    
2014 En cours
(au 2 décembre 2020)
Alain Levasseur[19] SE Président (2017 → 2020) puis vice-président (2020 → ) de la CC du pays de Bray
Réélu pour le mandat 2020-2026[20]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée de ville.

La commune est jumelée depuis le avec Drapeau de l'Allemagne Niedenstein (Allemagne).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 690 habitants[Note 4], en diminution de 0,76 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9509361 0011 0691 0051 0391 0831 0731 029
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0211 0539449621 0051 1191 0761 0371 082
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0801 0291 0721 1021 1701 1751 1169631 104
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1691 3271 3321 3551 5851 7611 7321 7441 762
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7031 7061 690------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 810 hommes pour 903 femmes, soit un taux de 52,71 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,3 
7,3 
75-89 ans
11,3 
20,3 
60-74 ans
21,2 
20,4 
45-59 ans
19,7 
16,7 
30-44 ans
16,9 
12,9 
15-29 ans
12,2 
21,6 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune compte en 2017[26] :

  • L’école maternelle de la gare Roland-Duhamel, de trois classes ;
  • L'école élémentaire Eugène-Élie, de quatre classes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Abbaye Saint-Germer-de-Fly[27], fondée au VIIe siècle par saint Germer, dont l'église abbatiale de la seconde moitié du XIIe siècle[28], considéré comme un remarquable exemple de transition entre le roman et le gothique, est fermée pour des raisons de sécurité, devrait rouvrir en 2018[29],[30]. La Chapelle de la Vierge, dédicacée en 1267 et qui se trouve dans le prolongement de l'abbatiale, est de pur style gothique rayonnant, et est la réplique de la Sainte-Chapelle de Paris[31],[32].
Une partie des bâtiments conventuels, datant des XIIIe, XIVe, XVIIe et XVIIIe siècles subsiste[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Germer-de-Fly Blason
Parti au premier d’argent à la hache de sable, au second de gueules à la crosse contournée d’or ; le tout sommé d’un chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. L'école maternelle du village porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Germer-de-Fly et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Saint-Germer-de-Fly », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 507.
  15. Joseph Depoin, « La vie de saint Germer », Congrès archéologique de France : séances générales tenues en 1905 à Beauvais, Paris / Caen, A. Picard / H. Delesques, vol. 72,‎ , p. 392-406 (lire en ligne)
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France -IVe partie, vol. I, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et Françaises », , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 558 sur Google livres.
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Les maires de Saint-Germer-de-Fly », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. « Noces d'or. Alain Levasseur, maire de Saint-Germer-de-Fly, signe pour un nouveau mandat : C'est dans une 4L, comme le jour de leur mariage le 12 octobre 1968, qu'Alain et Dany Levasseur sont arrivés à la mairie. Mais pour une fois, ce n'est pas le maire qui officiait… », L’Éclaireur - La Dépêches,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alain Levasseur consacre sa vie à ses concitoyens depuis plus de quarante ans. Dès 1977, il est conseiller municipal, puis second et enfin premier adjoint avant d’être élu maire en 2014. Il succède à Nadège Lefebvre à la présidence de la communauté de communes du pays de Bray en novembre 2017. Il est aussi vice-président du syndicat des eaux et a occupé le poste de président du comité des fêtes durant vingt-cinq ans ».
  20. « À Saint-Germer-de-Fly, Alain Levasseur est reconduit à la tête de la municipalité », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (En poste au conseil municipal depuis 1977 comme conseiller puis adjoint et enfin maire depuis six ans, Alain Levasseur continue son chemin après sa réélection au poste de maire, consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germer-de-Fly (60577) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  26. « Les écoles de Saint-Germer-de-Fly », sur mairie-st-germer.fr (consulté le ).
  27. « Abbaye de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur Saint-Germer », notice no IA60001558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Église abbatiale Saint-Germer, actuellement église paroissiale », notice no IA60001559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Fermée depuis dix ans, l'abbatiale de Saint-Germer va rouvrir », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Corinne Fourcin, « Saint-Germer-de-Fly : objectif printemps 2018 pour la réouverture de l’abbatiale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Chapelle de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur dite chapelle de la Vierge, actuellement annexe de l'église paroissiale », notice no IA60001560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Église et chapelle », notice no PA00114860, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Ancienne abbaye », notice no PA00114859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Verriers de la Vallée de la Bresle - un Lock-out - le 7/9/1908 », Le Figaro,‎ , p. 3 (lire en ligne).