Haucourt (Oise)

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Haucourt
Haucourt (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Laurent Inglard
2020-2026
Code postal 60112
Code commune 60301
Démographie
Gentilé Haucourtois, Haucourtoises
Population
municipale
131 hab. (2021 en diminution de 3,68 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 49″ nord, 1° 56′ 20″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 179 m
Superficie 3,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Haucourt
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Haucourt
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Haucourt
Liens
Site web https://www.mairie-haucourt.fr/

Haucourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Haucourt est un village picard rural de la vallée du Thérain situé dans la Picardie Verte, une sous-entité du Plateau Picard, l'une des grandes régions naturelles du département de l'Oise.

Il est situé à 14 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Beauvais, 29 km au nord-est de Gisors, 15 km à l'est de Gournay-en-Bray et 60 km de Rouen, et 50 km au sud-ouest d'Amiens.

En 1836, Louis Graves décrivait le territoire communal comme « bordé au nord par la rivière du Thérain près de laquelle le chef-lieu est bâti ; un vallon le divise du sud-ouest au nord-est[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bonnières, Crillon, Glatigny et Lhéraule.

Communes limitrophes de Haucourt
Crillon
Haucourt Bonnières
Glatigny Lhéraule

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étage entre la cote NGF 86 mètres, en fond de vallée au nord-est du territoire, et la cote 181 mètres sur le plateau, au sud, dans le bois des Demoiselles, soit une dénivellation de 95 m., importante pour une commune dont le territoire est de taille modeste[CC 1].

On y observe[CC 1] :

  • Le plateau agricole de la Picardie Verte, avec une altitude moyenne de 150 mètres, avec une déclivité sud-ouest/nord-est marquée au centre par une vallée sèche venant entailler le plateau de façon perpendiculaire à la vallée du Thérain ;
  • La vallée du Thérain avec une altitude moyenne de 90 mètres ;

Le sud du territoire communal se trouve en limite basse de la cuesta du Pays de Bray. Globalement, le plateau est assis sur un soubassement crayeux surmonté de limon des plateaux ou de limon sableux, le premier propice à l'agriculture, le second aux forêts, et les vallées actives sont occupées par des alluvions constituées de matériaux transportés par l’eau[CC 2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le nord du territoire communal est limité par l'un des bras du Thérain, un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

Haucourt se trouve à limite entre la Picardie Verte et le Pays de Bray, avec le plateau marqué par la grande culture, notamment céréalière, avec quelques vallons secs animant le paysage, le vallon dont le versant ouest, plus abrupt, est consacré aux prairies et pâtures, et le versant est à la culture. Le centre du vallon est boisé, ainsi que les espaces constituant le bois d'Haucourt et le bois des Demoiselles.

La vallée du Thérain est caractérisée par la présence de prairies, vergers et pâtures, où un étang artificiel a été aménagé. Les haies, arbres isolés, pièces boisées, donnent une ambiance bocagère à la vallée[CC 3].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La commune bénéficie de secteurs de biodiversité importante, et est concernée par des présente de zones naturelles d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF) :

  • deux ZNIEFF de type I (secteur de grand intérêt biologique ou écologique) constituées :
    • du bois des Croisettes et du bois d'Haucourt, qui sont des milieux de type montagnard (pelouses sèches et boisements), où l'on peut observer des espèces d’orchidées et la bois-gentil pour la flore ainsi que des rapaces et le pouillot siffleur pour la faune.
    • du cours du Thérain en amont d’Herchies et des rus de l’Herboval et de l’Herperie. Il s’agit de milieux aquatiques, de prairies humides et de bocages qui constituent une zone d’habitat remarquable pour une faune et une flore d’un grand intérêt patrimonial.
  • Une ZNIEFF de type II (grands ensembles naturels riches offrant des potentialités biologiques importantes) qui s'étend sur tout le territoire communal, au titre de la vallée du Thérain et du petit Thérain en amont de Troissereux[CC 4].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Haucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,4 %), forêts (27,8 %), prairies (15,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune est dépourvue de hameaux ou d'écarts, le hameau de la Petite France, certes limitrophe d'Haucourt, étant situé à Crillon[CC 2].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 59, alors qu'il était de 57 en 2013 et de 51 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 94,9 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 1,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Haucourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 96,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (98 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Haucourt en 2018.
Typologie Haucourt[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 94,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 1,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par deux voies départementales localisées en limites communales : la RD 95 reliant Gerberoy à Lhéraule et la RD 22 reliant Marseille-en-Beauvaisis à Gisors. Elle se également accessible depuis la RD 133 reliant Beauvais à Songeons, en traversant le Thérain à Crillon ou à Bonnières.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 612 et 6104 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est attestée sous les noms de Haulcourt, Haucourt-sous-Caigny, Hocourt, Houcort et Hoocort en 1200, Haucourt-Lhéraule (Haldulficurtis, Hovecurtis)[1].

En 1793, la commune porte le nom révolutionnaire de Gerbe[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Haucourt était compris dans le duché de Boufflers et dans le marquisat de Saisseval. Une partie du territoire relevait du vidamé de Gerberoy, et l'autre du comté de Beauvais. En 1037, Hilon, châtelain de Beauvais, donne les cures d'Haucourt et d'Hanvoile à la collégiale de saint Berthelemy[1]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune, instituée par la Révolution française est perd en 1835 une partie de son territoire qui devient la nouvelle commune de Lhéraule[15].

En 1836, la commune est propriétaire du presbytère, d'une école, ainsi que de quelques terres labourables. Les habitants vivaient de l'agriculture ainsi que du tissage d'étoffes de laine[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Songeons[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Haucourt est membre de la communauté de communes de la Picardie Verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981[17]   Denis Proaskat    
         
mars 2001 mars 2008 Laurent Inglard    
mars 2008 2014 Évelyne Benard    
2014[18] En cours
(au 7 septembre 2014)
Laurent Inglard   Artisan
Rééélu pour le mandat 2020-2026[19]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'adduction en eau potable est réalisée en 2007 depuis un captage situé à Martincourt par le syndicat intercommunal des eaux de l’agglomération beauvaisienne au moyen d’une conduite de 150 mm via le hameau de la Petite France. La défense incendie est assurée au moyen d'une conduite de 350 mm qui n’est pas utilisée pour desservir le village en eau potable[CC 5].

L'assainissement des eaux usées est réalisée pour chaque propriété par des dispositifs d’assainissement non collectif, malgré la proximité du Thérain[CC 6].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Crillon, Martincourt et Vrocourt dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré situé à Crillon et doté d'un accueil périscolaire et d'une cantine[20].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 3], en diminution de 3,68 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
397421459428432162156151154
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
14512413611193891028984
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
799488635972687872
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
96627676118128139142141
2018 2021 - - - - - - -
139131-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

La chute démographique constatée entre 1831 et 1836 correspond aux conséquences de la transformation du hameau de Lhéraule en communje, intervenue en 1835[15].

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 71 hommes pour 68 femmes, soit un taux de 51,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
2,8 
75-89 ans
2,9 
19,7 
60-74 ans
16,2 
31,0 
45-59 ans
25,0 
21,1 
30-44 ans
19,1 
11,3 
15-29 ans
13,2 
14,1 
0-14 ans
23,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Vaast, constituée d'une nef d'origine romane, très réparée précédent le chœur du XVIe siècle, et un agrandissement de la nef vers l’ouest réalisé sans doute peu après, celle-ci étant surmontée en son milieu d'un petit clocher en charpente et ardoises. Le mur mur nord de la nef est resté en silex avec, au centre, une fenêtre en plein cintre romane datable sans doute du XIIe siècle : L'église, ruinée après les conflits des XIVe et XVe siècles est dotée d’un nouveau chœur au XVIe siècle alors que la nef, à la charge des paroissiens, est simplement réparée. Ce nouveau chœur est constitué de deux travées droites suivies d'une abside à trois pans, construit en grès et silex, appareillés en damier, pour les murs, et la pierre calcaire pour les fenêtres, qui conservent un beau réseau flamboyant.
    Ce chœur est remarquable par sa charpente, l'une des plus belles de la région, en forme de carène de bateau et dépourvue de tirants et de poinçons, avec ses bardeaux en bois d’origine dont les couvre-joints sont décorés de boutons de fleurs. Les sablières sont richement ornées, avec une polychromie peut-être d’origine constituant un décor raffiné où se mêlent des serpents, des cornes d’abondance, des cygnes, des visages…dans un style qui est déjà celui de la Renaissance. On note également la présence de dix blochets remarquables qui représentent des têtes ou des bustes parfois caricaturés. La charpente de la nef est, elle, plus simple. Également en forme de carène, elle comprend deux tirants, dont celui de la limite du chœur constitue une poutre de gloire[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Haucourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Haucourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  3. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Rapport de présentation de la carte communale d'Haucourt, 2007[modifier | modifier le code]

Urba-Services, Rapport de présentation de la carte communale d'Haucourt approuvée le , Beauvais, , 75 p. (lire en ligne [PDF]).

  1. a et b p. 22
  2. a et b p. 34
  3. p. 25-28
  4. p. 28-29
  5. p. 14-15
  6. p. 17

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Songeons, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 76-77, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Haucourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Haucourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Les maires de Haucourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  17. « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1069.
  18. « Haucourt », Cartes de France (consulté le ).
  19. « Compte rendu du conseil municipal du 28 mai 2020 » [PDF], Vie municipale > Comptes rendus du Conseil Municipal, sur mairie-haucourt.fr (consulté le ).
  20. « Enfance & jeunesse », Vie quotidienne, sur mairie-haucourt.fr (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Haucourt (60301) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  26. Dominique Vermand, « Haucourt, église Saint-Vaast : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).