Corbeil-Cerf

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Corbeil-Cerf
Corbeil-Cerf
La mairie.
Blason de Corbeil-Cerf
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC des Sablons
Maire
Mandat
Laurent Chevallier
2020-2026
Code postal 60110
Code commune 60162
Démographie
Gentilé Corbeilessartiens, Corbeilessartiennes
Population
municipale
306 hab. (2021 en diminution de 14,04 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 50″ nord, 2° 06′ 16″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 190 m
Superficie 3,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Corbeil-Cerf
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Corbeil-Cerf
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Corbeil-Cerf

Corbeil-Cerf est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La rue du Déluge.

Corbeil-Cerf est un village périurbain du Pays de Thelle dans l'Oise, limitrophe de Méru, situe à 17 km au sud de Beauvais, à 23 km à l'est de Gisors et à 25 km au nord de Pontoise.

Au début du XIXe siècle, Louis Graves décrivait son territoire comme « de médiocre étendue, de forme, à. peu près rectangulaire, constitue une plaine dépourvue d'eau courante. »[1]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont : Saint-Crépin-Ibouvillers, Ressons-l'Abbaye, Le Déluge, Laboissière-en-Thelle, Méru et Lormaison.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 718 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Corbeil-Cerf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), zones urbanisées (8,7 %), forêts (4,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 141, alors qu'il était de 132 en 2013 et de 130 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Corbeil-Cerf en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Corbeil-Cerf en 2018.
Typologie Corbeil-Cerf[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 10,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Corbeil-Cerf est desservie par l'ancienne route nationale 327 (actuelle RD 927) et son territoire est tangenté au sud-ouest par le tracé de l'autoroute A16, dont la sortie la plus proche est celle de Méru.

La station de chemin de fer la plus proche est la Gare de Laboissière - Le Déluge, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6112, 6121, 6131, 6132, 6138 et 6144 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village a été désigné Colleberium essartum (1210) ; Corbellessart[1] (1223) ; Corboliolum[1] (vers 1240) ; Colliberium essartatum[1] (vers 1250) ; Corbelessart (1263) ; Corbolium (1280) ; Corbelium (1280) ; Corbolessart (1316) ; corbelessart (1376) ; Corbelescart (XIVe) ; eccl. de Corbelessart (XVe) ; Corbelsacq (1549) ; Corbeil le Secq (1549) ; Corbel le seq[1] (vers 1550) ; Corbeilsart (1577) ; Corbeilessart[1] (XVIe) ; Colbersert[1] (XVIe) ; Corbeilcert[1] (XVIe) ; Corbelcerf (XVIe) ; Corbelsart (vers 1600) ; Corbelsac[1] (1631) ; Corbeil le secq (1667) ; Corbeil-Cerf (1840)[15].

Du gaulois Corbos (corbeau)[réf. nécessaire] et du latin exsartum (défrichement). Le latin Corbus a été utilisé comme nom d’homme par les Gaulois et les Gallo-romains, mais sans le sens péjoratif que le Corbeau porte aujourd’hui et qui n’apparaît que très tardivement au Moyen Âge.

A noter que le mot cerf est une altération, par étymologie populaire du mot sart (essart)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Corbeil-Cerf était situé autrefois dans la Forêt de Thelle, qui s'étend de Saint-Germer-de-Fly jusqu’aux environs de Beaumont-sur-Oise[1].

En 1837, la commune disposait d'une école. Une partie des habitants était occupée à la fabrication des « blondes » et des ouvrages de tabletterie[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Méru[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Corbeil-Cerf est membre de la communauté de communes des Sablons, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1935[réf. nécessaire] 1981 François de Lubersac[Note 3]    
mars 2001 2009[18] Jean-Marie Chevallier   Démissionnaire
2009[19] En cours
(au 2 décembre 2021)
Laurent Chevallier   Fils de Jean-Marie Chevalier
Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Crépin-Ibouvillers dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal. Ils poursuivent leurs études à Méru[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 306 habitants[Note 4], en diminution de 14,04 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
280282333306319317331344352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
338331332308310337301303310
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311334334326300261254227217
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
220224245243259290315322343
2018 2021 - - - - - - -
320306-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 155 hommes pour 165 femmes, soit un taux de 51,56 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
5,2 
75-89 ans
4,2 
19,4 
60-74 ans
18,2 
18,1 
45-59 ans
21,2 
21,3 
30-44 ans
20,6 
14,8 
15-29 ans
20,0 
21,3 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Sainte-Honorine est un édifice homogène du XVIe siècle, de la fin du style gothique et construite en moellons et silex. L'édifice est constitué d'une nef sans bas-côtés suivie d’une abside à trois pans, recouverts d'une charpente en carène. S'y rajoutent un petit porche à l'extrémité sud de la nef et une chapelle, sans doute à usage seigneurial au nord de la nef et dotés de voutes d'ogives.
    L'église dispose d'un mobilier complet constitué de boiseries, grilles de chœur en fer forgé, luminaire, confessionnal, bancs, statues, tableaux. Les boiseries du chœur, le retable du XVIIIe siècle qu’une Vierge à l’Enfant en pierre du XVIe siècle sont à remarquer
    L'ensemble est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1966[28].
  • Le château des XVe et XVIIIe siècles de style Renaissance, construit par la famille Brinon, alors titulaire de la seigneurie. Le parc est réaménagé au XIXe siècle pour le marquis de Lubersac[29],
  • La mairie, construite en brique au XXe siècle et typique de l'architecture picarde du nord du Vexin-Thelle[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le nom de certains seigneurs de Corbeil-Cerf nous est oarvenu[1] :

Corbeil-Cerf dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Corbeil-Cerf Blason
De sable au cerf couché d'argent regardant, au chef aussi de sable chargé du nom CORBEIL-CERF en lettres capitales aussi d'argent[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Corbeil-Cerf » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Corbeil-Cerf - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Corbeil-Cerf - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k et l Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Méru, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 117 p. (lire en ligne), p. 46-17.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Corbeil-Cerf et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Corbeil-Cerf », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 155.
  16. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 39.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Corbeil-Cerf : Jean-Marie Chevalier nous a quittés », L’Écho du Thelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de 2001 à 2009, Jean-Marie Chevalier s’en est allé le 7 décembre 2009, à l’âge de 71 ans ».
  19. « Laurent Chevallier », sur maires2014.fr, (consulté le ).
  20. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés », L'Echo du Thelle, no 523,‎ , p. 12.
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Corbeil-Cerf », Les communes, sur cc-sablons.com (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Corbeil-Cerf (60162) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  28. Dominique Vermand, « Corbeil-Cerf, église Sainte-Honorine : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  29. a et b « Patrimoine », sur corbeilcerf.fr (consulté le ).
  30. Photos
  31. http://corbeilcerf.fr