Boissy-Fresnoy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Boissy-Fresnoy
Boissy-Fresnoy
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
Code postal 60440
Code commune 60079
Démographie
Population
municipale
968 hab. (2021 en diminution de 6,83 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 52″ nord, 2° 52′ 17″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 137 m
Superficie 15,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives 4e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Boissy-Fresnoy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Boissy-Fresnoy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Boissy-Fresnoy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Boissy-Fresnoy
Liens
Site web http://boissyfresnoy.fr

Boissy-Fresnoy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route nationale 2 qui a été mise en 2 x 2 voies à la fin des années 2010, rendant difficile l'accès au village[1],[2]. Elle est également traversée par le tracé initial de l'ancienne Route nationale 322 (actuelle RD 922)[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Boissy-Fresnoy
Ormoy-Villers Levignen
Péroy-les-Gombries Boissy-Fresnoy Betz
Villers-Saint-Genest

Géologie[modifier | modifier le code]

Le substrat profond est un calcaire lutétien grossier (affleurant dans les bas de Rouville et de Lévignen), propice à une agriculture intensive qui explique que les boisement ont très tôt presque disparus sur ces zones. Le Lutécien est un étage de l'Éocène qui s'étend de 47,8 à 41,3 millions d'années.

Mais des sols acides et siliceux (reliques de l’ère tertiaire) sont encore présents sur la butte résiduelle de sables auversiens et de grès de Beauchamp, qui repose sur une couche de Marne parfois mélangée de calcaire lutécien, puis sur une couche de calcaire lutécien pur abritant la nappe phréatique du Lutétien).

Sur les hauteurs sableuses les sols superficiels sont de type « lessivés », de type « podzoliques » ou « sols bruns acides ». Le substrat sableux et parsemés de zones de grès et localement en périphérie de taches argileuses. Non loin de Boissy-Fresnoy les grès ont laissé (mais moins qu’à Fontainebleau) des rocs aux formes inhabituelles qui étaient des points de repères et qui ont marqué la toponymie (Pierre à Tablettes ; Pierre aux Loups, Pierre aux Corbeaux, Pierre Foucart sur Rouville ; Pierre au Coq ; Pierre Glissoire ; Pierre Couloire et « Pierre Sorcière », ou « Sortière » du bois des Braies (citée dans l'Annuaire du département de 1843, comme « la Pierre Shortière sur laquelle on vient signer les contrats de mariage).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune laisse penser quelle abritait autrefois une frênaie ou de nombreux frênes (espèce aujourd'hui menacée par la chalarose du frêne).

Le nord-est de la commune abrite une partie du Bois-du-Roi, classé ZNIEFF de type 1 et ZPS (zone de protection spéciale pour les oiseaux) et ZICO (Zone importante pour la conservation des oiseaux). Ce bois est pour l'essentiel privé. Ce site de grand intérêt écopaysager s'inscrit dans un ensemble plus vaste dénommé dans un ensemble dénommé Forêts picardes : massif des Trois Forêts et bois du Roi[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boissy-Fresnoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), forêts (19,9 %), zones urbanisées (2,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 375, alors qu'il était de 363 en 2013 et de 327 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,1 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boissy-Fresnoy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Boissy-Fresnoy en 2018.
Typologie Boissy-Fresnoy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 6,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 693, 6402 et 6411 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Boissy est attesté sous les formes de Buisseiio (vers 1195) ; Bussy (vers 1200) ; Boissiacum (1230)[18] ; Boissy les Gombries (XVe) ; boissy en combrie (1524) ; Boissy en Gombrie (1536) ; boissy les combriez (1551) ; Boissy le Gombrils (1667) ; Boissi les Gombries (1764) ; Boissy-Fresnoy (1840)[19].
Le nom de Boissy provient du latin buxetum (« ensemble de buis »)[18].

Fresnoy, ancien hameau de la commune, est attesté sous les formes apud frenoy (1182) ; Freneium (1230) ; Fresnoy de Gombria (1283) ; Fresnoy oultre les bois (1376) ; Fresnoy les Gombries (XVe) ; Fresnoy-Boissy (vers 1517) ; Fresnois en Gombries (XVIe) ; Fresnoy le Gombrils (1667) ; Frenoy lès Gombries (1764) ; Fresnoy les Gombries (1789) ; Fresnoy (1944)[20]. De l'oïl fresnoi, « lieu planté de frênes »[21].
Le déterminant complémentaire, "Les Gombries", des formes anciennes, fait référence à une petite région, petite partie du Multien, près de Boissy-Fresnoy[22], attesté sous les formes in foresta gobrie (vers 1200) ; Galerus dogier gruier de nemoribus de Goimbrie (vers 1260) ; de Gombria (1283) ; in foresta Gobriae (XIIIe) ; mes bois de gonbrie (1376) ; Gombries (XVe) ; terres et bruyeres des Gombries (XVIe) ; Gombrilz (XVIIe) ; Gombrils (1667)[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Boissy est la propriété du XVe au XVIIe siècle de la famille de Paris. Cette famille, issue de la grande bourgeoisie marchande de Paris (premier contribuable de Paris sous Louis XI)[Note 3], a préféré s'établir au début du XVIe siècle à Forfry, sachant qu'elle possédait par ailleurs le seigneurie d'Eve[réf. nécessaire].

La commune de Boissy, instituée par la Révolution française, absorbe dès 1790-1794 celle de Frenoy (qui étaient les deux paroisses d'Ancien Régime de Boissy-lès-Gombries et Fresnoy-lès-Gombries) et prend son nom actuel de Fresnoy-Boissy[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nanteuil-le-Haudouin[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Nanteuil-le-Haudouin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Boissy-Fresnoy est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Roland Roger DVG  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Christian Simar DVD[25]  
mars 2008 2014 Thierry Filiberti    
2014 7 juin 2021[26],[27] Alain Lépine   Gérant d’une entreprise de menuiserie
Décédé en fonction
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune a racheté le local de l'ancienne boulangerie, l'unique commerce du village, ce qui a permis sa réouverture en février 2019 après 2 ans de vacance[28].

Boissy-Fresnoy dispose d'une bibliothèque animée par des bénévoles et qui prête à ses 250 adhérents livres, CD et DVD et contribue à l'animation du village par des soirées à thème[29].

Le Hang'arts est un bâtiment de 700 m2 animé par le centre socioculturel des Portes du Valois[30] destiné à devenir un tiers-lieu qui accueille des cours de cirque et d'autres événements (loto, concerts…), tels qu'un festival de théâtre organisé en octobre 2019[31].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 968 habitants[Note 4], en diminution de 6,83 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
542590566627695713653622600
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
568545544502515444449403398
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
419445449410486493431547474
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4494784334946347998868991 015
2017 2021 - - - - - - -
999968-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 13 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 500 hommes pour 485 femmes, soit un taux de 50,76 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,0 
3,2 
75-89 ans
4,0 
8,7 
60-74 ans
9,8 
22,7 
45-59 ans
22,1 
23,0 
30-44 ans
25,2 
17,1 
15-29 ans
15,2 
24,9 
0-14 ans
23,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Étienne.
  • Église Saint-Étienne, dont la première travée de la nef date du XIIe siècle, qui supporte le clocher, plus récent. Cette travée communique avec le reste de la nef par avec la nef par une arcade en plein cintre à ressaut. Le chapiteau qui la reçoit au nord est décoré de deux masques crachant des rinceaux. Une chapelle de deux travées, comprenant une fenêtre à deux lancettes trilobées surmontées d’un quadrilobe inscrit dans un cercle de style gothique flamboyant, est construite du XIIIe siècle au sud du chœur, très remaniée, ainsi que le chœur au XVIe siècle. la nef est dotée du bas-côté sud de style gothique tardif au début du XVIIIe siècle[37]
  • Un moignon subsiste de l'ancienne église Saint-Pierre de Fresnoy, écroulée en 1816, et qui était peut-être une partie du clocher[37].
  • Calvaire breton à Fresnoy, près de la chapelle. La date de son édification est inconnue.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gustave Macon, « La Gombrie : Boissy-Fresnoy, Peroy-les-Gombries, Bonneuil », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, années 1919-20, Senlis, Imprimerie E. Vignon fils, 5e série, vol. VIII,‎ , p. 25-79 (lire en ligne), sur Gallica

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Henry de Paris avait l'honneur d'accueillir Louis XI à sa table. Son épouse Étiennette de Besançon est enlevée en 1468 à Paris, consentante, par le comte de Foix, qui ensuite l'abandonne à Tours (cf. Chronique scandaleuse. Journal d'un Parisien au temps de Louis XI[réf. incomplète]).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Boissy-Fresnoy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boissy-Fresnoy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boissy-Fresnoy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Cindy Belhomme, « Les habitants de Péroy-les Gombries et Boissy-Fresnoy n'ont plus accès à la N2 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. Cindy Belhomme, « Boissy-Fresnoy : blocage symbolique pour un accès direct à la N 2 : À l’appel du maire, plusieurs habitants sont venus retarder le début du chantier de la déviation de Peroy-les-Gombries. Ils réclament un accès direct à la route nationale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Cindy Belhomme, « Boissy-Fresnoy souhaite que ses sorties de village soient sécurisées », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis des années, la commune se bat pour obtenir un aménagement au carrefour du C 7 et de la D 922 qui relie Nanteuil-le-Haudouin à Betz ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Boissy-Fresnoy et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Massifs forestiers d’Halatte, de Chantilly et d’Ermenonville « FR2200380 » (SIC) & Forêts picardes : massif des Trois Forêts et bois du Roi « FR2212005 » (ZPS)»
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Boissy-Fresnoy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. a et b Toponymie générale de la France, Ernest Nègre, page 335.
  19. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 71.
  20. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 232.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1245
  22. Maurice Lebègue, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 164.
  23. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 245.
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 43.
  26. Nicolas Aubouin, « Boissy-Fresnoy : la cour d'école ouverte pour se recueillir après le décès du maire Alain Lépine : Alain Lépine, maire de Boissy-Fresnoy (Oise), est brutalement décédé ce lundi 7 juin. Un premier hommage lui a été rendu dans la cour de l'école où chacun peut venir se recueillir », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. François Nerrand, « Boissy-Fresnoy. Décès du maire Alain Lépine à 58 ans », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gérant d’une entreprise de menuiserie dans la commune, responsable associatif, Alain Lépine était élu au sein du conseil municipal, avant de devenir maire-adjoint, puis d’être élu maire en 2014 (...) Il avait rompu avec son prédécesseur quand il était encore son adjoint, juste avant les élections de 2014 ».
  28. Alexis Bisson, « Deux ans plus tard, Boissy-Fresnoy retrouve un commerce : La boulangerie vient de rouvrir ses portes cette semaine. La municipalité a racheté le fonds de commerce pour la faire revivre », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La boulangerie, qui fait par ailleurs office de petite supérette, doit encore s'agrandir dans les mois à venir, après les travaux du local voisin ».
  29. Cindy Belhomme, « La bibliothèque de Boissy-Fresnoy recherche des bénévoles : La structure municipale ouvre tous les soirs après l’école et propose de nombreuses animations à destination des enfants et des adultes », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Site du centre socioculturel des Portes du Valois
  31. Cindy Belhomme, « Boissy-Fresnoy : un festival de théâtre au Hang’arts : Pour la première fois, cinq compagnies professionnelles vont se produire dans ce lieu très rural », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boissy-Fresnoy (60079) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  37. a et b Dominique Vermand, « Boissy-Fresnoy / Boissy, église Saint-Etienne : Diocèse : Meaux », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).