Houdancourt
Houdancourt | |||||
Mairie - école. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC de la Plaine d'Estrées | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Portenart 2020-2026 |
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Code postal | 60710 | ||||
Code commune | 60318 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Houdancourtois, Houdancourtoises | ||||
Population municipale |
665 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 38″ nord, 2° 38′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 61 m |
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Superficie | 6,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Houdancourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Houdancourtois et les Houdancourtoises.
Géographie[modifier | modifier le code]
Description[modifier | modifier le code]
Handancourt est un village périurbain picard de la vallée de l'Oise situé dans le bassin parisien à 66 kilomètres au sud d'Amiens, à 42 kilomètres à l'est de Beauvais, à 15 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 59 kilomètres au nord de Paris. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 41 km au sud.
Il est situé historiquement à la limite entre le Valois et le Beauvaisis.
La Ligne de Creil à Jeumont y passe, mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Pont-Sainte-Maxence, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent notamment des liaisons Gare de Paris-Nord - Maubeuge, Gare de Saint-Quentin, Cambrai ou Compiègne. La RD 200, une voie rapide[1] passe également dans les zones humides proche de l'Oise, et donne accès à l'autoroute A1. La commune est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 17 (actuelle RD 1017).
La commune est proche du parc naturel régional Oise-Pays de France.
En 1832, Louis Graves indique que « l'Oise limite au midi la commune dont l'étendue comprend un marais couvert. de bois du côté de la rivière, et une plaine sablonneuse au-delà du village. Les maisons sont entourées d'arbres et de fossés remplis d'eaux stagnantes ; le voisinage d'un marais inondé nuit à la salubrité du pays. La Contentieuse, le ruisseau de Chevrières, le rû de Nancy qui se réunissent à l'Oise sur le territoire d'Houdaneourt, ne procurent qu'un écoulement imparfait aux eaux qui se renouvellent sans cesse par des sources abondantes. Les rues du village sont pavées[2] ».
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Bazicourt, Chevrières, Grandfresnoy, Longueil-Sainte-Marie, Pontpoint et Pont-Sainte-Maxence.
Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est limité au sud par le lit de l'Oise, l'un des affluents principaux de la Seine
Le Ru du Poirier, gonflé des eaux de la Contentieuse, y conflue.
Plusieurs étangs y sont aménagés
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
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Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre :
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senlis », sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 41 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
L’exploitation du petit marais a permis de mettre en évidence un site écologique remarquable par sa faune et sa flore rares (libellules, oiseaux,…) et où a été découvert de l’ambre[16].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Houdancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), forêts (22,3 %), eaux continentales[Note 8] (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 278, alors qu'il était de 242 en 2013 et de 230 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,8 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Houdancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) légèrement inférieure à celle du département (2,5 %) et significativement inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Typologie | Houdancourt[I 1] | Oise[I 3] | France entière[I 4] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,2 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,3 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,5 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes in loco qui dicitur Hutdonecurte (828) ; de villa Haldinicurte (917) ; Hodencuria (939) ; Houdencourt (1209) ; inter Basicurtem et Houdencurtem (1218) ; Houdencort (1231) ; Hodencourt (1231) ; Colardus de houdencort (1250) ; prior de hodencurt (1259) ; Houdencuria (1260) ; Phelipe de Houdencourt (1278) ; el tieroir de Houdencourt (1278) ; le prieur de Hodencourt (1298) ; Johannis de houdencurte (1332) ; Audenecourt (XVe) ; Haudencourt (XVe) ; Hodencourt (XVe) ; Hudencourt (XVe) ; ecclesia sancti Georgii de Houdencourt (XVIe) ; Houdancourt (1597) ; Haudencourt (1605) ; Houdencour (1667) ; Houdencour (1711)[23].
Ce nom dérive du nom d'homme Hodenc (ou Hodene), défricheur du lieu[16].
Histoire[modifier | modifier le code]
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
D’après l’abbé Morel, curé de Houdancourt au XIXe siècle, membre de la société historique de Compiègne qui publia deux livres sur Houdancourt, intitulés « Houdencourt – Seigneurie et Paroisse », le nom de Houdancourt a été retrouvé dans un texte daté du fait à Aix-la-Chapelle par Louis le Débonnaire pour un échange de terre entre l’abbé de Saint-Denis nommé Hilduin et le seigneur Lantfred. À cette époque le nom de Houdancourt était orthographié « Hutdonecurte » et dans un autre texte établi par Charles le Simple en 917 Haldinicurte.
L’abbé Morel a relevé, dans les archives du château du Fayel, l’existence en 1138 d’un seigneur se prénommant Hélias de Hodencourt. À la fin du XIVe siècle, les terres de Houdancourt appartenaient à la famille du Bois d’Houdancourt.
C’est au XIIe siècle qu'est fondé le prieuré bénédictin de Houdancourt par le seigneur de l’époque, dépendant de l’Abbaye Saint-Sauveur de Charroux. L’église actuelle est construite à la fin du XIIe début du XIIIe siècle et a servi d’église conventuelle aux moines[2].
Temps modernes[modifier | modifier le code]
Peu avant 1500, Catherine du Bois d’Houdancourt épouse Jehan de la Mothe fondant la famille de la Mothe Houdancourt. Celle-ci s’illustre surtout dans les domaines militaire et ecclésiastique aux XVIIe et XVIIIe siècles, Le comte Louis Charles de La Mothe-Houdancourt est nommé maréchal de France et Grand d’Espagne ainsi que Philippe de La Mothe-Houdancourt.
Henri de La Mothe-Houdancourt est archevêque d’Auch et Jérôme de La Mothe-Houdancourt évêque de Saint-Flour. Plusieurs représentantes féminines de la famille de la Mothe Houdancourt sont proches de la famille royale et vivent à la cour de Versailles. Anne-Louise-Lucie occupe la fonction de demoiselle d’honneur de la reine Marie-Thérèse d’Autriche, épouse de Louis XIV. Charlotte de La Mothe-Houdancourt est gouvernante des enfants de France de 1704 à 1717 et plus particulièrement du futur Louis XV dont elle sauve la vie et qui l'appellera « Chère maman » ou « Maman Ventadour ». Elles sont toutes deux des maîtresses de Louis XIV.
Malheureusement pour le développement du village de Houdancourt, aucune de ces illustres personnes, surtout à partir du milieu du XVIIe siècle n’y résident. Il y a bien trace dans les archives d’un château sur les terres de Houdancourt. D’après ce que l’on en sait, il se serait agi plutôt d’une enceinte de type féodal sans caractéristiques architecturales. En 1696, il est procédé à l’inventaire des meubles et objets du château. Celui-ci fait nettement apparaître la pauvreté du lieu et son état d’abandon, sans doute avait-on pillé ou déménagé probablement cette demeure. Il ne reste donc au village, en tant que vestige des siècles passés, que l’église.
Le monastère a été démoli sans doute au XVe siècle puisque des textes du XVIe ne signalent plus que des terres de culture tout autour.
Au XVIe siècle, on note déjà un moulin qui, jusqu’en 1914, produit de la mouture de ménage (grain moulu, mélange par tiers de froment, de seigle et d’orge)[16].
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Au XIXe siècle et jusqu'au milieu du XXe siècle, Houdaincourt est un village agricole, dont la culture principale est, en 1830, le chanvre dont on faisait des cordes et des sacs. L'apparition de charrues puissantes font émerger de nouvelles cultures : la pomme de terre, le blé, la betterave[16]. En 1832, on note dans la commune deux moulins et une sablonnière[2].
En 1908, une vingtaine d'exploitations cultivent les terres, mais elles ne sont plus que onze en 1940. Au XXIe siècle, il n’y plus que deux GAEC à le faire[16].
En 1914, le moulin, suite à de nombreuses inondations, est transformé pour activer une scierie, activité qui cesse en 2002. La cressonnière, toujours en activité, est créée en 1885 par Henri Masson accompagné de quelques artisans[16],[24].
A partir des années 1970, le village évolue avec la création d'un lotissement destiné à attirer une population jeune et pour faire vivre l’école communale, ce qui n'empêche pas la fermeture des commerces dans les années 1980[16].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis porté de 15 à 71 communes
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Houdancourt est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Sacy-le-Petit dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[16].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2020, la commune comptait 665 habitants[Note 10], en augmentation de 4,89 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 323 hommes pour 345 femmes, soit un taux de 51,65 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L’église Saint-Georges est constituée du chœur, de la nef principale et de la nef latérale méridionale. Elle aurait dû avoir en façade nord une autre nef latérale qui n'a jamais été construite. Seule une chapelle, démolie par la suite, a été bâtie sur cette façade dont on voit encore les traces sur le mur extérieur. Son entrée sur le chœur a été murée en partie et remplacée par une large fenêtre.
- Centre équestre, créé en 2003[36].
- Promenade du Petit marais[16].
-
L'église dans la végétation.
-
Eglise Saint Georges...
-
... et son clocher.
-
Le monument aux morts.
-
Croix de chemin D13
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
Pour faire vivre le passé historique du site de Houdancourt, la commune utilise, chaque fois que cela est possible, sur l’ensemble de ces documents la représentation des armoiries de la famille de la Mothe Houdancourt qui contribua au fonctionnement de la paroisse et à son embellissement et dont l’un des descendants réside encore dans la région au château du Fayel.
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Abbé Émile Morel, « Houdancourt, seigneurie et paroisse », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. 3, , p. 200-245 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- Abbé Émile Morel, « Houdancourt, seigneurie et paroisse (suite) », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. 4, , p. 43-132 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- Abbé Émile Morel, « Houdancourt, seigneurie et paroisse (suite et fin) », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. 5, , p. 119-294 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Dossier complet : Commune de Houdancourt (60318) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Houdancourt » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le stade de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Houdancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Houdancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- Amandine Meunier, « La D 200 à 2 x 2 voies entre Compiègne et Pont : Tronçon par tronçon, la liaison Compiègne-Creil passe à deux fois deux voies. Elle vient de gagner 2,7 km », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 106 p. (lire en ligne), p. 45, sur Google Livres.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Senlis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Houdancourt et Senlis », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Senlis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Houdancourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Houdancourt », La Plaine d’Estrées > Le territoire et ses communes, sur https://www.ccplaine-estrees.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 283.
- Mireille Cardot, « Pourquoi pas du cresson de Houdancourt pour le réveillon ? : Yannick Vassant exporte la majeure partie de sa production, mais en vend aussi directement. Le Courrier picard vous suggère quelques recettes pour apporter une touche originale à vos soirées en petit comité, couvre feu oblige », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Une élection cantonale… », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française, , p. 1050.
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Houdancourt », Cartes de France (consulté le ).
- « Daniel Hiberty élu président », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 53 ans, Daniel Hiberty (CFDT) vient d'être élu président du Conseil de la caisse primaire d'assurance maladie de Beauvais,[...] Administrateur de la Cpam depuis 1984, Daniel Hiberty occupait d'ailleurs le poste de président du feu conseil d'administration depuis 1996. Éducateur spécialisé, il est également maire de la commune de Houdancourt ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Houdancourt (60318) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Le centre équestre d’Houdancourt teste une nouvelle méthode pour le bien-être des chevaux : Aux Écuries d’Houdancourt, les chevaux se déplacent toute la journée et se nourrissent librement. Pour leur plus grand confort. Et pour la sécurité des cavaliers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « La cressonnière d'Houdancourt », Produits locaux, sur https://www.compiegne-pierrefonds.fr/ (consulté le ).
- Patrick Vincent, France Bleu Picardie, « Yannick Vassant producteur de Cresson à Houdencourt(60) », Circuits courts en Picardie, sur https://www.francebleu.fr/, (consulté le ).