Saint-Sulpice (Oise)

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Saint-Sulpice
Saint-Sulpice (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Philippe Van Der Haegen
2020-2026
Code postal 60430
Code commune 60598
Démographie
Gentilé Sulpiciens
Population
municipale
1 043 hab. (2021 en augmentation de 4,2 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 05″ nord, 2° 07′ 30″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 170 m
Superficie 8,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Sulpice
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Saint-Sulpice
Liens
Site web http://www.saint-sulpice-oise.fr

Saint-Sulpice est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants se nomment les Sulpiciens et les Sulpiciennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune, de 8,88 km2, comprend 10 % de bois et est situé dans la combe du Pays de Bray, une plaine vallonnée et humide au pied d'un coteau boisé[1].

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte huit hameaux, le Bout de Brie, Crécy, les Godins, la Grosse Saulx, la Hauteville, Troussencourt, le Val de l'Eau et la Vallée[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Sulpice est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,1 %), prairies (34,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), forêts (7,3 %), zones urbanisées (3,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'autoroute A16 et la ligne Paris-Nord - Beauvais, avec, sur son territoire, la gare de Saint-Sulpice - Auteuil desservie par les trains du réseau TER Hauts-de-France.

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6101 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village était dénommé Sainct-Supplix, Sainct-Souplix, Sanctus-Sulpitius[1], Sulpice en 1793 et Saint-Sulpice en 1801[15].

Saint-Sauveur est un hagiotoponyme qui fait référence à un Saint Sulpice.

Histoire[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-Sulpice - Auteuil, vers 1918.

Le village comptait sept cafés en 1900, et avait une activité agricole et artisanale[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noailles[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Chaumont-en-Vexin

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune a adhéré en 2000 à la communauté de communes du pays de Thelle[16] (CCPT).

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[18],[19].

La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [20].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1806 1826 Jean-Baptiste Delaherche   Cultivateur
1826 30/3/1832 Jean-Baptiste Dèsprés   Homme de lettres
30/3/1832 4/8/1843 Louis Prosper Truptil   Capitaine en retraite
4/8/1843 26/6/1848 Alexandre Fauchet   Arpenteur
26/6/1848 17/8/1848 Pierre Alexandre Régnier   Cultivateur
17/8/1848 4/8/1860 Prosper Paschal Chantepie   Maitre brossier
4/8/1860 20/10/1875 Comte François Victor de Chérisey   Propriétaire
20/10/1875 20/5/1888 François Hippolyte Lenoble   Cultivateur
20/5/1888 4/11/1894 Jean Baptiste Prévost   Fabricant de brosses
4/11/1894 9/12/1897 Prosper Hippolyte Lenoble   Cultivateur
9/12/1897 17/5/1908 Prosper Dupont   Menuisier
17/5/1908 9/7/1917 Prosper Hippolyte Lenoble   Cultivateur
9/7/1917 10/12/1919 Hyacynthe Prévost   Cultivateur
10/12/1919 17/5/1925 Eugène Delachapelle   Cultivateur
17/5/1925 27/11/1932 Gustave Dozet   Cultivateur
27/11/1932 17/01/1945 Georges Marle   Retraité SNCF
17/01/1945 02/03/1977 Maurice Gourdin   Cultivateur
20/03/1977 24/06/1995 Maurice Breton   Cultivateur
24/06/1995 mars/2008 Marcel Brunel   Cultivateur
mars 2008 En cours
(au 3 février 2017)
André Mélique   Directeur d'école
Réélu pour le mandat 2014-2020[21]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune a réalisé l'assainissement collectif de la plupart de ses habitations, réparties dans sept hameaux, ce qui a impliqué des coûts élevés, qui se reflètent dans le prix de l'eau, qui atteignait 7,54 €/m2 en 2011, l'un des plus élevés de France[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 043 habitants[Note 3], en augmentation de 4,2 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
532522569566530554550561535
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
517533532512541575530561599
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
641607544526569532547505598
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
588549613650886951940934975
2018 2021 - - - - - - -
1 0321 043-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 515 hommes pour 517 femmes, soit un taux de 50,1 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,0 
3,1 
75-89 ans
5,0 
14,2 
60-74 ans
14,9 
23,5 
45-59 ans
23,6 
18,4 
30-44 ans
20,5 
16,7 
15-29 ans
12,6 
23,7 
0-14 ans
22,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés par le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) de Saint-Sulpice et Abbecourt, avec une école maternelle et une école primaire au village, respectivement de deux et trois classes pour l'année scolaire 2014-2015[28].

Une maison familiale et rurale, située au château de Crécy propose des formations en alternance : 4e et 3e de l’enseignement agricole, seconde et Bac pro Conduite et gestion de l’exploitation agricole (CGEA) en élevage équin et porcin[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Le village ne compte plus, en 2016, de commerçants, mais accueille 17 artisans[1].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église.
Restitution du parterre du château de Crécy au XVIIIe siècle, Saint-Sulpice, Oise.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Sulpice, des XVe et XVIe siècles, édifiée sur un coteau le long de la chaussée Brunehault, voie romaine reliant Paris à Beauvais[1].
  • Château des seigneurs de Crécy dont le corps principal date du XVIe siècle. La façade construite en briques encadrées de pierre, porte la signature Louis XIII. Depuis 1968, c'est le siège de la maison familiale rurale de Saint-Sulpice[1].
  • Briqueterie Leullier, de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, créée par Albert Leullier à 200 m de la gare de Saint-Sulpice - Auteuil. Depuis 1988, le site accueille un centre équestre, dit Poney-Club du Bonheur[30].
  • Le prieuré Jeanne-d'Arc, édifié en 1742, était occupé jusqu'en 1999 par les Sœurs missionnaires des campagnes[1].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Baptiste-Denis Dèsprès (1752-1832), ancien conseiller à l'université de Paris, secrétaire du Conseil du commerce (1803), traducteur d'Horace, maire (1826-1832), mort à Crécy le à l'âge de 80 ans[31].
  • Louis Truptil (1773-1857), ancien capitaine d'infanterie, chevalier de la Légion d'honneur, longtemps 1er adjoint puis maire (1832 à 1843)[32].
  • Prosper Paschal Chantepie (1807-1876), fondateur de la manufacture de brosserie fine Chantepie de Saint-Sulpice en 1836, participe à la première exposition universelle de Paris en 1855 où il concourt dans la section tabletterie, brosses à dents et à ongles et obtient une mention honorable, conseiller municipal puis maire de 08/1848 à 08/1860[33].
  • François Victor comte de Chérisey (1793-1878), capitaine d'état-major, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Ferdinand d'Espagne propriétaire du château de Crécy, conseiller général de Noailles (1839-1871), président du conseil d'arrondissement de Beauvais, maire de Saint-Sulpice (1860-1874)[33].
  • Docteur Albert Marcais (1861-1936), créateur de la médecine homéopathique complexe[32].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i Philippe Delattre, « Une curieuse légende sur l'église : Tout savoir sur le village de Saint-Sulpice », L'Observateur de Beauvais, no 984,‎ , p. 20.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Sulpice et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Transports en commun à Saint-Sulpice », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Arrêté préfectoral du 30 décembre 1999, mentionné page 6 des Statuts de la CCPT.
  17. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  18. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  19. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  20. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
  21. « Saint-Sulpice », Cartes de France (consulté le ).
  22. « Saint-Sulpice champion de France du prix de l'eau? », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Le responsable de Veolia ajoute : « A Beauvais, j'ai un client tous les 7,50 m. A Saint-Sulpice, j'ai un client tous les 80 ou 100 m. C'est normal que le coût du service soit plus élevé. » « Plus élevé peut-être mais pas au point de multiplier le prix de l'eau par quatre en moins de dix ans », dénonce Didier Chilloux (lire encadré) qui, avec d'autres habitants, réclame une réduction du prix de l'eau ».
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Sulpice (60598) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  28. « Les écoles », sur http://www.saint-sulpice-oise.fr/, (consulté le ).
  29. « Sainte-Geneviève : portes ouvertes à la maison familiale et rurale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  30. « Briqueterie Leullier, actuellement école de poney club », notice no IA60001317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noailles, p. 104-105.
  32. a et b Site de la mairie
  33. a et b Archives départementales de l'Oise