Cernoy

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Cernoy
Cernoy
Le manoir des Trois-Etots
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Isabelle Barthe
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60137
Démographie
Population
municipale
291 hab. (2021 en augmentation de 0,34 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 29″ nord, 2° 32′ 29″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 155 m
Superficie 4,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Cernoy
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Cernoy
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Cernoy
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Cernoy

Cernoy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Cernoy est un village périurbain du Plateau picard située à 66 km au nord de Paris, 33 km à l'est de Beauvais, 21 km à l'ouest de Compiègne et à 54 km au sud d'Amiens.

La commune est située sur un plateau et s'étend entre 100 mètres et 155 mètres d'altitude.

Le territoire laisse apparaître son point culminant à la limite méridionale près de la Grande Montagne de Noroy. Le relief peu marqué est entaillé par quelques vallées sèches dont la pente s'oriente du sud vers le nord tel la Fosse à l'Argent, le Fond de Belleval et le Fond du Poirier, où se trouve le point le plus bas de la commune. Le village s'étend entre 120 et 125 mètres au-dessus du niveau de la mer, le hameau de Trois-Étots à 119 mètres[1].

Au début du XIXe siècle, Louis Graves indiquait que le territoire de Cernoy « est allongé dans la direction du nord au midi; il est formé d'un tertre argileux, boisé, coupé par quelques ondulations de terrain, et il se développe au midi sur la croupe des coteaux qui séparent le canton de Saint-Just de celui de Clermont. Il n'a point d'eau courante dans l'étendue la commune[2] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Cernoy
Pronleroy Cressonsacq
Noroy Cernoy
Fouilleuse Bailleul-le-Soc

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Cernoy n'est traversée par aucun cours d'eau. On trouve une mare rénovée au hameau de Trois-Etots ainsi qu'une grande mare au nord du chef-lieu et des étangs privés.

La présence de vallons témoigne d'une ancienne présence de ruisseaux, s'orientant au nord vers le bassin versant de l'Aronde dont la limite se trouve au sud de la commune[1].

Le hameau de Trois-Etots, par sa proximité avec plusieurs étangs, est situé au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Hormis les espaces bâtis couvrant 15 hectares soit 3 % de la surface communale, le territoire comprend 72 % d'espaces cultivés sur 361 hectares, 16 % d'espaces boisés sur 81 hectares ainsi que 39 hectares de vergers et de prairies[10].

La surface boisée correspond au bois de Trois-Étots entouré par quelques bosquets autour de Trois-Étots[1]. Ce dernier constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[11].

Un arbre remarquable dans la rue des saules : un saule blanc âgé de 200 ans avec son dédoublement de tronc (non labellisé).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cernoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), forêts (12,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Hormis le chef-lieu, la commune possède un hameau, Trois-Étots au nord[1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 111, alors qu'il était de 102 en 2013 et de 84 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 4,9 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cernoy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cernoy en 2018.
Typologie Cernoy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,2 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,9 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 3,9 7,1 8,2

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par deux routes départementales : la RD 37 et la RD 101.

La route départementale 37, de Breuil-le-Sec à Neufvy-sur-Aronde est le principal axe de circulation permettant d'accéder à l'agglomération de Clermont, la plus proche. Elle traverse la commune d'est en ouest par la rue Saint-Remy. Son tracé correspondrait à une ancienne voie romaine reliant Clermont à Gournay-sur-Aronde par Saint-Aubin-sous-Erquery et Moyenneville[18].

La route départementale 101, reliant Bulles à Estrées-Saint-Denis longe la limite communale sud et accède aux villages limitrophes de Noroy, Fouilleuse et Bailleul-le-Soc. Une route communale relie le village et le hameau deTrois-Etots, d'où l'on peut relier Pronleroy ou Noroy. Le chemin de Pont, en partie goudronné, se prolonge par un chemin..

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 41 km à l'ouest et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 62 km au sud-est. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Transports[modifier | modifier le code]

Les stations SNCF les plus proches sont celles :

Cernoy est desservie est desservie, en 2023, par les lignes 6304 et 6341 du réseau interurbain de l'Oise[19].

Deux arrêts ont été établis, l'un à l'école de Cernoy, le second au hameau de Trois-Étots[19].

Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6803) relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers, avec la commune de Noroy[19].

La commune fait partie d'un dispositif de transport solidaire autonome "Le rezo pouce" autostop volontaire" sécurisant et d'un rézo senior pour les ainés, organisé par la communauté de communes du Plateau Picard[réf. nécessaire].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ancienne plaque de cocher.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cernois[2] en 1222[21] ; Sarnoy (1222) ; Cernoy (1222) ; Sernoy (1230) ; de Sarnoy a Pruneroy (1281) ; Cervoy (1547) ; Cernoi[2] (1550)[21].

Voir Cernay.

Histoire[modifier | modifier le code]

Louis Graves indiquait « Les anciennes paroisses de Cernay et de Trois-Étots, dont le territoire a peu d'étendue ,et dont la population est faible, furent réunies en 1826 à la commune de Noroy. Les réclamations des localités, fondées sur l'éloignement du nouveau chef-lieu, ont fait modifier cette circonscription, après un intervalle de sept années. Par ordonnance du , les villages de Noroy et de Trois-Étots ont été détachés de Noroy ; mais au lieu de composer, comme par le passé deux municipalités distinctes, ils sont demeurés réunis en une seule commune dont le chef-lieu a été fixé à Cernay[2] ».

Cernoy, sous l'Ancien Régime, n'était pas une paroisse mais était rattachée à celle de Noroy. Son église est dévasté durant les guerres du XVe siècle et le logement du vicaire transformé en écurie. Il aurait existé au XIIe siècle un couvent dénommé Sainte-Croix[2].

Trois-Étots est une ancienne seigneurie qui appartenait au XIVe siècle à la maison de Villers-Saint-Paul, alors l'une des plus importantes du Beauvaisis[2].

Cernoy possédait au début du XIXe siècle, après l'intégration de Trois-Étots, une fontaine publique , une sablonnière, et quelques parcelles de friche. La population était alors constituée par des agriculteurs, des bûcherons et des charretiers. Des femmes étaient occupées à la couture des gants[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Cernoy est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Nicole Traen SE[23]  
mars 2008 En cours
(au 15 janvier 2022[24])
Isabelle Barthe SE Vice-présidente de la CC du Plateau Picard (2016 →)
Réélue pour le mandat 2020-2026[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 291 habitants[Note 3], en augmentation de 0,34 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
131139138112192174191199215
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
199210197192200208202185175
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
17019114113513011012010884
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
8794100145189213215232290
2019 2021 - - - - - - -
295291-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 10,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 147 hommes pour 149 femmes, soit un taux de 50,34 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
0,7 
75-89 ans
3,4 
7,5 
60-74 ans
8,8 
24,5 
45-59 ans
19,6 
25,9 
30-44 ans
25,7 
17,0 
15-29 ans
12,8 
24,5 
0-14 ans
29,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le Celebration days festival est un festival de musique rock organisé depuis 2008 au bois de Cernoy. En 2019, il a présenté 29 concerts dont ont profité les festivaliers pendant 3 jours[31] ,[32]

Associations[modifier | modifier le code]

  • L'association Trois-Etôts Renaissance qui organise chaque année le marché de l'apéro en avril, la fête de la musique et d'autres événements ponctuels notamment des expositions.
  • Association pour la sauvegarde de la Chapelle de Trois-Etôts.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle à Trois-Etôts

La commune compte un monument historique sur son territoire : la Chapelle de Trois-Etôts.

  • La chapelle date de 1544 et est érigée au milieu du petit cimetière du hameau de Trois-Étôts où se trouve la sépulture d'un "grognard" de l'armée napoléonienne.
    :D'architecture polychrome, elle se distingue des autres églises de la région (généralement en pierre) par sa construction en brique rouge chaînée de pierre de calcaire blanc. Elle possède un portail Renaissance et un autel-retable remarquable[33],[34].
    La chapeklle est classée au titre des monuments historiques depuis 1970[35].

On peut également signaler :

  • Église Saint-Rémi : petit édifice dont le clocher recouvert d'ardoise est situé au-dessus de la porte.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, construite en 1756. On y venait autrefois en pèlerinage[2]
  • Manoir de Trois-Étôts : l'une des façades date du XVe siècle, l'autre du XVIe siècle et sont réalisées en calcaire blanc avec des compartiments de brique en lits réguliers ou posés en oblique. Au rez-de-chaussée, piliers de bois à écussons sculptés, dont un mi-parti de France et de Bretagne. De 1724 à 1813, il est demeuré la propriété de la famille de Herte, et demeure aujourd'hui propriété privée.
  • Calvaire qui tient lieu de monument aux morts au Hameau de Trois-Étôts à proximité de la chapelle.
  • Calvaire rue de St Rémi devant la Chapelle-Notre-Dame-de-Bon-Secours au sein du village.
  • Calvaire rue des Saules
  • Calvaire sur la route de Cressonsacq RD37
  • La commune compte des anciens porches, portes cochères et mûrs en Pierre protégés par décision municipale[C'est-à-dire ?], dans les différentes rues du village et notamment celle de St Rémi.
  • Trois anciennes pompes à eau manuelle dont 2 dans la rue de St Rémi et la 3e rue de la Fontaine à Trois-Etôts ;
  • Une ancienne plaque de cocher est fixée sur le mur en face de la mairie rue de St Rémi.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La seigneurie de Cernoy appartenait au XVIIe siècle à la maison italienne de Doria, l'une des principales de la République de Gênes. Pierre Doria, capitaine de la galère de la Reine[Laquelle ?], a légué Cernoy en 1630 à son neveu François Desfriches , à condition pour lui et sa descendans de porter le nom et les armes de Doria[2].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Parmentier, « Le hameau de Trois-Étaux », Bulletin de la Société archéologique & historique de Clermont-de-l'Oise, vol. 1,‎ , p. 211-249 (lire en ligne, consulté le ); sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cernoy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cernoy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cernoy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 30 août 2016)..
  2. a b c d e f g h et i Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 49-51.
  3. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Cernoy et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Cernoy », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Bois de Trois-Etots et de Pronleroy, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. M. Alix, « Historique des routes du département de l'Oise : Liste des principales voies romaines », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. XXIV,‎ , p. 228-229 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  19. a b et c « Transports en commun à Cernoy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  20. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Cernoy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 120.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  24. Lucien Djani, « L’année 2022 placée sous le signe du patrimoine à Cernoy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Alice Porcher, « Nouveau mandat, même équipe à la tête de la Communauté de communes du Plateau picard : Le conseil communautaire a eu lieu samedi 11 juillet dans la salle des fêtes de Lieuvillers. Les délégués ont réélu Frans Desmedt, maire de Saint-Just-en-Chaussée, président de l’intercommunalité », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cernoy (60137) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  31. « Trois jours de rock plein les oreilles à Cernoy : Les premiers festivaliers faisaient déjà la queue vendredi 10 août, devant la caravane, en fin d’après-midi, pour retirer leur place. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Ludivine Razloznik, « Succès pour les dix ans de Celebration days de Cernoy : Cette année, le festival caché dans la forêt de Cernoy, sur le plateau picard, fêtait ses dix ans. Ayant gardé son esprit roots inspiré de Woodstock, il a de nouveau su combler les attentes des festivaliers », Le Courrier picard,‎ (Cette année, le festival caché dans la forêt de Cernoy, sur le plateau picard, fêtait ses dix ans. Ayant gardé son esprit roots inspiré de Woodstock, il a de nouveau su combler les attentes des festivaliers, consulté le ).
  33. L'église de Trois-Etots sur Loisirs60.com
  34. Armand Prin, « Cernoy : la renaissance de l’église de Trois-Étôts : Interview de Pierre Cagnat, président de l’Association pour la sauvegarde de l’église de Trois-Étôts, », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Notice no PA00114571, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.